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Auteur : Tom BURGHARDT

Aux armes (contre) les citoyens.

Tom BURGHARDT
En juillet dernier, j'ai écrit dans un article que Raytheon (No. 4 sur la liste du magazine Washington Technology des cent premières compagnies qui travaillent pour le ministère de la Défense et qui réalise un chiffre d'affaires de $5.170.829.645) préparait un programme d'armes non létales pour l'armée américaine. Pour un coût de 25 millions de dollars, cinq armes non létales à ondes électromagnétiques montées sur des camions vont être prochainement expédiées dans les grandes villes en Irak pour refouler les employés de sites pétroliers ou les citoyens mécontents, au cas où les multinationales du pétrole finiraient par mettre leurs petites mains avides sur les importantes ressources pétrolifères du pays. Une version "light" de l'Active Denial System (ADS) destinée au maintien de l'ordre sur le territoire national intéresse les autorités. D'après "Aviation Week", Raytheon se lance actuellement dans un projet pour l'armée américaine d'armes non létales à énergie dirigée (d'une portée de plus de 250 mètres) (...) Lire la suite »
Alors, comme ça, vous pensiez que les choses allaient changer après Bush ?

La déclaration impériale du régime de Bush : guerres sans fin, conquêtes sans fin, répression sans fin. (II)

Tom BURGHARDT

Alors que partout dans le monde on se prépare à célébrer le départ de George W. Bush de la Maison Blanche, le 20 janvier 2009, les hauts officiels du gouvernement sont en train de mettre en place une législation qui pérennisera les pires excès de ce régime criminel.

En cette année électorale, on peut faire confiance au Congrès, dominé par les Démocrates, pour abdiquer devant son rôle de frein ou de contrôle du pouvoir exécutif, toujours paniqués à l'idée que les chiens de garde de l'extrême-droite et leurs complices des média les accusent de « complaisance envers le terrorisme ». Vu sous cet angle, un récent article du New York Times décrit la voie qui scellera définitivement la mise en place du « fascisme à visage humain » du gouvernement Bush, inauguré par le parti Républicain le 12 décembre 2000 lorsque la Cour Suprême fit cadeau d'une élection volée à la cabale Bush-Cheney. Comme l'a amèrement écrit le juge Paul Stevens dans une critique du jugement rendu dans l'affaire Bush vs Gore, « il se peut que nous ne connaissions jamais l'identité du vainqueur de l'élection présidentielle de cette année, mais le perdant est parfaitement identifié. C'est la confiance de la nation dans le juge en tant que gardien impartial de l'état de droit. » Cogitez ces parloes et examinez (...) Lire la suite »