Auteur Joe EMERSBERGER

L’affaire Assange montre que le soutien à la liberté d’expression dépend de la personne qui s’exprime. (FAIR)

Joe EMERSBERGER
Le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire a conclu en février 2016 que les gouvernements du Royaume-Uni et de la Suède avaient contraint l’éditeur de WikiLeaks Julian Assange à une détention arbitraire à l’ambassade de l’Équateur à Londres, où il se trouve depuis 2012. Le communiqué de presse du groupe déclarait : Le groupe d’experts a demandé aux autorités suédoises et britanniques de mettre fin à la privation de liberté de M. Assange, de respecter son intégrité (…)

Associated Press et le mythe de "l’opposition muselée au Venezuela" (ZNet)

Joe EMERSBERGER
(NdT : pour comprendre quatorze ans de désinformation dans Libération, le Monde, les Échos, le Figaro, l’AFP, TF1, RFI, France-Inter, RTL, etc…, on gagne à remonter à la “matrice”. Les français ne font en général que traduire avec un jour de décalage ce que disent les médias privés dominants du Venezuela ou des États-Unis.) * * * Un des mensonges que martèle sans relâche la presse internationale est que “l’opposition est muselée au Venezuela”. Il est certain que le gouvernement, depuis (…)

L’insoutenable attente près du téléphone : Human Rights Watch dénonce encore une fois Hugo Chavez

Joe EMERSBERGER
Human Rights Watch (HRW) a récemment publié un rapport de 230 pages sur le Venezuela intitulé « Une décennie sous Chavez : intolérance politique et occasions perdues pour améliorer les droits de l’homme au Venezuela ». Dans un communiqué de presse relatif à ce rapport, le directeur de HRW Amériques, Jose Miguel Vivanco, a déclaré que « plutôt que de renforcer la protection des droits de l’homme », le gouvernement Chavez « a fait le contraire en sacrifiant les garanties élémentaires au (…)

L’échec de l’Observatoire des Droits de l’Homme au Venezuela et en Haïti

Joe EMERSBERGER
Le rapport mondial de 2008 de l’Observatoire des Droits de l’Homme (Human Rights Watch, HRW) contient la supposition sous-jacente que les Etats-unis et ses alliés ont le droit de renverser des gouvernements démocratiques.[1] La partie du rapport sur le Venezuela ne mentionne rien sur les tentatives continuelles des Etats-unis pour renverser le gouvernement Chavez. Il est de notoriété publique que les Etats-unis ont financé des groupes impliqués dans le coup d’état de 2002 et ont continué (…)