RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher
Auteur : Abla Merzougui Lahket

FMI, Banque Mondiale, Valls, Fabius...la Tunisie sous les vents mauvais

Abla Merzougui Lahket, François CHARLES
Le FMI veut retrouver son "meilleur élève" Qu'on se souvienne, quelques jours avant le grand chambardement révolutionnaire, en même temps que le gouvernement français de Nicolas Sarkozy voyait toujours en Ben Ali un "Grand Ami de la France", Dominique Strauss Khan, encore patron du FMI, en tournée mondiale, décernait le prix du "meilleur élève du FMI" à la Tunisie du même...Ben Ali ! Quand on connaît les exigences draconiennes imposées par le FMI dans le cadre du "paiement de la dette", on mesure mieux, outre les dérives dictatoriales et odieuses du personnage en lui-même, à quelles conditions de misère extrême le régime contraignait sa population. Aujourd'hui le gouvernement Mehdi Jomaâ, non content de, sans la remettre en cause, "honorer" une dette héritée du clan Ben Ali, donc largement illégitime, s'applique, au contraire, à mettre en oeuvre une politique bâtie sur les mesures d'austérité imposées, comme avant, par les FMI, Banque Mondiale et UE. La mise en musique de cette politique se fait (...) Lire la suite »

Tsahal à Gaza, la guerre qui tombe à pic....

François CHARLES, Abla Merzougui Lahket
Une fuite en avant éperdue Arguant d'une nécessité militaire d'autodéfense, par la terre, par air et par mer, c'est 400 tonnes de bombes qu'Israël aura déversé en quelques jours sur cette bande de Gaza. Un déluge de fer et de feu sur une minuscule portion de terre, véritable prison à ciel ouvert, où s'entassent les rescapés des guerres précédentes, avec un taux de population au KM2 inégalé dans le monde. Selon une rhétorique usée jusqu'à la garde, le gouvernement israélien prétend ne mettre en oeuvre que des attaques ciblées, "militaires"... Ce n'est pourtant pas le point de vue des observateurs, des médias et des ONG qui, sur place, ont régulièrement rapporté, et dès le début de l'attaque, que 80% des victimes sont des victimes civiles, dont plus d'un tiers d'enfants. « Toute une population est piégée dans une prison à ciel ouvert. Elle ne peut pas sortir. Seuls les biens les plus essentiels à sa survie peuvent y entrer. La population de la prison a élu des représentants et organisé des services sociaux. (...) Lire la suite »