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Auteur : Vladimir PLATOV

Une réponse aux laboratoires biologiques et aux programmes militaires secrets des États-Unis

Vladimir PLATOV

L’expansion incontrôlée du réseau de laboratoires biologiques militaires secrets américains le long des frontières russes est un sujet de préoccupation non seulement pour Moscou mais aussi pour de nombreuses républiques post-soviétiques et la communauté internationale. À ce jour, les États-Unis ont créé une véritable toile d’araignée de laboratoires biologiques secrets dans le monde entier. Depuis 1997, le Pentagone a entraîné dans ce programme plus de 30 pays comme partenaires de cette « initiative » étasunienne. Sans compter les 400 installations situées sur le territoire des États-Unis qui sont également impliquées dans un travail sur des agents pathogènes.

Divers virus et bactéries sont capables non seulement de tuer des civils, mais aussi de provoquer la panique et des conséquences économiques désastreuses. L’utilisation constante de ces « troupes invisibles » peut miner n’importe quel pays, même un pays puissant. L’utilisation d’agents pathogènes devient donc un superbe outil de sabotage. Et les États-Unis semblent l’avoir parfaitement compris. En fait, personne ne suit les traces de l’unité japonaise 731 en essayant de larguer des bombes en céramique remplies de puces, car dans le monde moderne, le travail avec les vecteurs pathogènes locaux est au premier plan. Les moustiques, les mouches et autres insectes ne reconnaissent pas les frontières des États et sont capables d’apporter en Russie ou en Chine, pays officiellement désignés par Washington comme « les principaux adversaires des États-Unis », des souches de virus et de bactéries particulièrement dangereuses. Le refus de Washington de soutenir la création d’un mécanisme de vérification dans le cadre (...) Lire la suite »

Quels virus sont étudiés par les laboratoires biologiques de l’armée des États-Unis au Kazakhstan ?

Vladimir PLATOV

De nombreuses plaintes ont été formulées ces derniers temps au sujet de l’activité des États Unis dans le domaine du développement d’armes biologiques, car la liste des raisons de ces plaintes ne cesse de s’allonger. L’une des principales est l’activité permanente de plus de 400 laboratoires biologiques militaires créés par les États-Unis dans 25 pays, dont les anciennes républiques soviétiques – Arménie, Azerbaïdjan, Géorgie, Kazakhstan, Moldavie, Ukraine et Ouzbékistan.

Bien que les personnalités politiques étasuniennes tentent de convaincre le reste du monde qu’il s’agit simplement de « centres de recherche » où des spécialistes étasuniens aident les scientifiques locaux à mettre au point des moyens de combattre des maladies dangereuses, Washington occulte soigneusement toute information sur ce qui se passe réellement à l’intérieur de ces installations militaires. Les élus des pays susmentionnés n’ont aucune idée réelle de ce qui se passe à l’abri de ces portes fermées. Les centres étasuniens déployés dans ces pays et le centre de recherche de la base militaire de Fort Detrick, où les laborantins du Pentagone travaillent depuis des décennies à la militarisation de la biologie, sont une seule et même entité. Les soupçons concernant l’implication des laboratoires biologiques étasuniens étrangers dans l’émergence de maladies très étranges dans les pays où ces installations secrètes existent sont de plus en plus forts. Ainsi, le 30 juillet, Channel One Eurasia, une chaîne de (...) Lire la suite »