Auteur Serge GROSSVAK

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J’accuse !

Serge GROSSVAK
J’accuse les hautes sphères politiques et médiatiques pour leur manipulation et leur trahison de la juste lutte contre l’antisémitisme. J’accuse les pouvoirs politiques et médiatiques d’avoir construit de toute pièce l’accusation d’antisémitisme contre les Gilets Jaunes, contre le peuple rebelle. J’accuse les principales autorités juives de pervertir la lutte contre l’antisémitisme par sa mise au service de visées politiciennes. Le coeur me déchire de devoir formuler si graves (…)

Monsieur le Président vous êtes un lâche

Serge GROSSVAK
Monsieur mon Président, j’éprouve un profond regret d’avoir à vous le dire. Regret pour mon pays, regret pour l’espoir de paix. Vous vous conduisez comme un lâche, rien d’autre, lorsque bafoué vous demeurez sans un mot. Celle qui représente notre pays par notre ambassade est arrachée d’un véhicule, jetée à terre, mise en joue. Et vous ne prononcez mot. Vous ne prononcez mot parce que cela se passe en Palestine sous occupation Israélienne. Monsieur mon Président, si notre ambassadrice était (…)

Hollande devant le Congrès des Communautés Juives

Serge GROSSVAK
Monsieur le Président de la République, Palais de l’Elysée Ah monsieur le Président, que vous êtes oublieux ! Je devine comme votre charge est lourde, que vous avez beaucoup à penser. Alors oublier un mot, le mot de Palestine, c’est si peu, si petit petit peu. Dimanche 2 juin, vous vous êtes rendu devant le « Congrès des Communautés Juives » et vous y avez prononcé un magnifique discours. Tout y était. Vous avez cité les valeurs fondamentales, humaines, qui vous animent. Vous avez (…)

Madame la Ministre, je l’avoue.

Serge GROSSVAK
Madame la Ministre, je l’avoue, Je l’avoue, je boycotte les marchandises d’Israël. Je ne veux pas de ces produits poussés dans le sang et la domination. Ils puent la haine et l’oppression. Je les refuse et je pense à mes parents m’enseignant le martyr nazi. Cette géhenne qui avait dévoré de notre famille. « Plus jamais ça » était la clameur venue du coeur au sortir du malheur. « Plus jamais ça » avaient dit les survivants. Enfant de juifs immigrés, j’avais entendu cette leçon comme un (…)