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Appel internationaliste pour le succès du Front de gauche à l’élection présidentielle en France

Depuis sa création en 2009, le Front de gauche, qui rassemble plusieurs partis de la gauche française - dont le Parti communiste et le Parti de gauche -, inscrit son action dans une perspective résolument internationaliste. Il a établi de multiples relations avec des partis progressistes, des mouvements sociaux et citoyens, des syndicalistes, des intellectuels, des artistes et des créateurs de tous les continents. C’est un nouveau réseau international de l’"autre gauche" que le Front de gauche et ses partenaires entendent construire.

Cet "Appel internationaliste pour le succès du Front de gauche à l’élection présidentielle en France" constitue une contribution à ce projet. Il témoigne de l’écho international croissant de la campagne de son candidat à la présidence de la République, Jean-Luc Mélenchon. Dans chacun des 36 pays d’où ils sont issus, ce sont en effet des dirigeants politiques, des acteurs des mouvements sociaux et de l’altermondialisme, du syndicalisme, de la vie intellectuelle et de la culture, de la lutte pour les droits de l’homme de premier rang qui apportent leur soutien à la dynamique de cette campagne du Front de gauche.

Nous, universitaires, intellectuels, écrivains, artistes, dirigeants de forces politiques, de syndicats, de mouvements sociaux et citoyens, sommes engagés dans la construction de fronts politiques et sociaux, démocratiques et populaires, pour combattre les ravages sociaux et écologiques du capitalisme mondialisé et ses oligarchies. Et ce, aussi bien dans nos pays respectifs qu’à l’échelle internationale.

Nous constatons que, partout, les résistances et les luttes se multiplient et s’organisent. Elles contribuent à l’émergence d’un vaste mouvement planétaire des idées ; celui qui inspire déjà , en Amérique latine, des formes de construction régionale fondées sur la solidarité et la souveraineté populaire, ainsi que des mesures gouvernementales de rupture avec le néolibéralisme.

Depuis la crise financière de 2008, l’Europe, pilier du capitalisme mondialisé et de son ordre globalitaire, est devenue l’épicentre de la crise mondiale. Ses peuples subissent de brutales politiques d’ajustement structurel en tous points semblables à celles que les pays du Sud, entre autres, ont connues dans les années 1990 et au début des années 2000.

Les acteurs sont en partie les mêmes : gouvernements conservateurs ou sociaux-démocrates et Fonds monétaire international (FMI). Se sont adjoints à ce dernier, la Commission européenne et la Banque centrale européenne pour former la sinistre et toute-puissante « troïka » qui administre désormais ses remèdes cruels aux populations.

L’histoire nous enseigne que lorsque l’Europe est prise de convulsions, c’est le monde entier qui peut vaciller. Pour l’empêcher de sombrer dans l’austérité à perpétuité, la récession généralisée et dans un projet politique autoritaire et réactionnaire, la montée en puissance, en France, du Front de gauche, aux côtés des autres forces progressistes européennes, est une bonne nouvelle, en même temps qu’une nécessité. Car la voix de la France compte dans le monde, lorsqu’elle s’inscrit dans la tradition des Lumières, de la Révolution de 1789, de la Commune, du Front populaire, de la Résistance.

Le Front de gauche incarne tout le potentiel renouvelé de cette grande tradition du socialisme historique, de l’émancipation sociale, du progrès et de la construction d’un intérêt général humain. Il prend aussi en compte l’enjeu du XXIe siècle que constitue la compréhension de l’unicité de notre écosystème et l’urgence de le préserver par une reconversion écologique à l’échelle mondiale qui tienne compte de la dette écologique que les pays industrialisés ont à l’égard des autres pays.

Grâce au Front de gauche, la France peut contribuer de manière significative à la construction d’une autre Europe et d’une autre mondialisation. C’est pourquoi l’enjeu d’y construire une autre gauche ayant tiré le bilan de l’échec et de l’écroulement du communisme d’Etat, en même temps que celui de la conversion de la social-démocratie à un social-libéralisme d’accompagnement et de rafistolage du système capitaliste globalisé, est crucial. Crucial pour la France et l’Europe, mais aussi pour le reste du monde.

Nous pensons que la réussite du Front de gauche et de son candidat à l’élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012, Jean-Luc Mélenchon, peut concourir au renouveau et au renforcement d’un internationalisme de combat contre la finance mondialisée. C’est pourquoi nous souhaitons un plein succès au Front de gauche et exprimons notre solidarité avec son candidat.

Avec le Front de gauche, une autre Europe, une autre mondialisation

Kader Abderrahim, politologue, Algérie
Ben Hida Abderrahmane, membre du secrétariat national du Parti de l’action démocratique socialiste (PADS), Maroc
Moumen Abib médecin, membre du Conseil national du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Algérie
Dalal Abu Saud, universitaire et membre du Forum social Palestine, Palestine
Amina Aetab, militante du Mouvement du 20 Février et de l’Organisation pour la liberté d’information et d’expression (OLIE), Maroc
Vittorio Agnoletto, ancien député européen et porte parole du Forum social de Gênes, Italie
Samir Aita, rédacteur en chef du Monde diplomatique éditions arabes, président du cercle des économistes arabes, Syrie
Zahra Ajaram, militante associative, Maroc
Sanhadja Akrouf, militante féministe, Algérie
Tariq Ali, écrivain, Royaume-Uni
Tewfik Allal, éditeur, président de l’Association du Manifeste des libertés (AML), Algérie
Samir Amin, économiste, Président du Forum mondial des alternatives, Egypte
Samia Amour, militante féministe, Algérie
Antônio Carlos Andrade, président du Partido Socialismo e Liberdade (PSOL) Parti Socialisme et liberté, Brésil
Julio Anguita ancien maire de Cordoue, ancien secrétaire général de Izquierda Unida (Gauche unie), Espagne
Ana Maria Araujo Freire, éducatrice et successeur légale de Paulo Freire, Brésil
Luis Araujo, membre de la direction nationale du PSOL, Brésil
Jorge Arrate, membre du Movimiento Amplio de Izquierda (MAIZ) (Mouvement élargi de gauche), candidat de la gauche aux présidentielles de 2009, Chili
Valmir Assunção, député du Parti des travailleurs (PT), Brésil
Alexandra Ayala-Marà­n, journaliste « El Hoy », Equateur
Mohand Bakir, journaliste, blogueur, Algérie
André Bansart universitaire, Université Simon Bolivar de Caracas, Venezuela
Houcine Bardi, docteur en droit, avocat au barreau de Paris, Secrétaire général et porte-parole du Parti du travail tunisien - France (PTT-F), Tunisie
Ariel Basteiro, ancien député Nuevo Encuentro, Argentine
Abdeljalil Bedoui, coordinateur et porte-parole du Parti tunisien du travail, Tunisie
Aymen Belhadj, syndicaliste étudiant, président de l’Union générale des étudiants tunisiens, France, Tunisie
Tarik Ben Hiba, ancien membre de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la Révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique, ancien conseiller régional d’Ile-de-France, militant associatif de l’immigration, Tunisie
Ahmed Benani, politologue et anthropologue des religions, Maroc
Rosa Bofill Benet, responsable du secteur femmes de la Confédération syndicale des commissions ouvrières (CCOO) de Catalogne, Espagne
Ghizlane Benomar, militante du Mouvement du 20 Février, Maroc
John Berger, écrivain et critique d’art, Royaume-Uni
Thierry Bodson, secrétaire général de la Fédération générale du travail de Belgique, Belgique
Carmen Bohórquez, historienne, philosophe, Venezuela
Carl Boileau, conseiller d’arrondissement du District de De Lorimier (Projet Montréal), Québec
Blanca Flor Bonilla, maire d’Ayutuxtepeque, Salvador
Afrânio Bopré, ancien député du Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil
Mustapha Bouaziz, universitaire, historien, Maroc
Leonor Bravo, écrivain, Equateur
Marinor Brito, ancienne sénatrice du Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil
Monica Bruckmann, sociologue, Université fédérale de Fluminense, Brésil
Alberto Burgio, philosophe et homme politique, Italie
Pilar Bustos, peintre, Equateur
Julio C. Gambina, Fondation de recherche en sciences sociales et politiques, Argentine
Rodrigo Cabeza, membre de la direction nationale du Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV) et du Parlement latino-américain, Venezuela
Marcelo Roman Campana, membre de la direction nationale du Pôle démocratique d’Equateur, Equateur
Daniel Campiones, Fondation de recherche en sciences sociales et politiques, Argentine
Luiz Arnaldo Campos, Fondation Lauro Campos Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil
Javier Diez Canseco, député Parti socialiste, Pérou
Teresa Carballeira, professeure de droit, Université de Saint-Jacques de Compostelle, Espagne
Luis Casado, responsable des relations internationales Partido de Izquierda (PAIZ), Chili
Bernard Cassen, journaliste, membre du Conseil international du Forum social mondial, France
Carmen Castillo, écrivain, cinéaste, Chili
Ramon Chao, journaliste et écrivain, Espagne
Lakbira Chater, syndicaliste, Union marocaine du travail, Maroc
Carlos Nelson Coutinho, professeur, intellectuel, Université fédérale de Rio de Janeiro, Brésil
à ngel Crespo Sánchez, secrétaire général de la Confédération syndicale des commissions ouvrières (CCOO) de Barcelone, Espagne
Norberto Crivelli, président du Parti suisse du travail, Suisse
Erik de Bruyn, porte-parole de Rood ! Belgique
Armando de Souza, ancien secrétaire général de la Confédération générale des travailleurs portugais, Portugal
Diether Dehm, député, producteur, auteur-compositeur Die Linke (La Gauche), Allemagne
Jean-Maurice Dehousse, ancien bourgmestre de Liège, ancien vice-président du groupe socialiste au Parlement européen, ancien ministre, Belgique
Demba Moussa Dembélé, directeur du Forum, économiste, chercheur, Forum africain des alternatives, Sénégal
Nidia Diaz, députée du Front Farabundo Marti de libération nationale (FMLN) au Parlement centre-américain, Salvador
Héctor Dà­az-Polanco, anthropologue, Mexique
Abderrezak Dourari, professeur des sciences du langage, Université d’Alger 2 (Tamazight), Algérie
Benjamin Durand, professeur de réalisation cinématographique et responsable du département de formation intégrale de Vive TV Université nationale expérimentale des arts, Venezuela
Mohamed Elaouni journaliste, coordinateur du Conseil national pour l’appui au Mouvement du 20 Février, coordinateur du mouvement pour une constitution démocratique au Maroc, membre du secrétariat du conseil national du PSU, Maroc
Klaus Ernst, co-président de Die Linke, Allemagne
Saul Escobar, membre du Parti de la révolution démocratique (PRD), Mexique
Lindbergh Farias, sénateur, Parti des travailleurs, Brésil
Saïd Fawzi, ancien président de l’Association de défense des droits de l’homme au Maroc (Asdhom), Maroc
Heloà­sa Fernandes, sociologue, Université de Sao Paolo, enseignante à l’ École nationale Florestan Fernandes du Mouvement des sans terre (MST), Brésil
Paolo Ferrero, secrétaire général du Parti de la refondation communiste, Italie
Fernando Ferro, député Parti des travailleurs, Brésil
Carlos Figueroa syndicaliste Fédération médicale d’Equateur, Equateur
Giorgos Gavrilis, membre du Conseil exécutif et ancien vice-président de la Confédération centrale des travailleurs grecs, Grèce
Mohamed Ghafri, militant du Mouvement du 20 Février, Maroc
Paula Gil, initiatrice du mouvement Génération "à l’arrache" contre la précarité, Portugal
Manolis Glezos, écrivain et ancien député européen, Grèce
Richard Gott, journaliste et historien, Royaume-Uni
Juan Goytisolo, écrivain, Espagne
Dino Greco, directeur de Liberazione, Italie
Mamdouh Habashi, secrétaire national Parti socialiste égyptien (PSE), Egypte
Marta Harnecker, sociologue, Chili
Tania Hermida, ancien député de l’Assemblée constitutionnelle, cinéaste, Equateur
Vilma Ibarra, ancienne députée Nuevo Encuentro, Argentine
Abdellaziz Iimoudane, membre du Parti de la voie démocratique, Maroc
Francisco Jarauta, professeur, philosophe, écrivain, Université de Murcia, Espagne
Fatima Khafagy, membre de la commission des relations internationales, Parti de l’Alliance populaire socialiste (APS), Egypte
Hassan Khalil écrivain, docteur-chercheur en philosophie, Liban
Mohamed Farid Khemisti, avocat, Algérie
Michel Kilo, membre du Forum démocratique syrien, Syrie
Leandro Konder, professeur, intellectuel, Brésil
Jorge Kreynes, membre du Parti communiste, Argentine
Oskar Lafontaine, ancien ministre, fondateur de Die Linke, Allemagne
Mehdi Lallaoui, écrivain, cinéaste, Algérie
Cayo Lara, secrétaire général de Izquierda Unida (Gauche unie), Espagne
Junghee Lee, président Parti progressiste unifié, Corée du Sud
Araceli Lemos, ancien député Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil
Felipe López Aranguren, sociologue et poète, Espagne
Clara Eugenia López Obregón, présidente du Pôle démocratique alternatif, Colombie
Gesine Löszch, co-président de Die Linke, Allemagne
Clécio Luis, conseiller Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil
Mohamed Makhlouf, journaliste-écrivain, Syrie
Maria José Maninha, ancien député du Parti Socialisme et liberté (PSOL), Brésil
Dionilson Marcon, député du Parti des travailleurs, Brésil
Citto Maselli, scénariste et réalisateur, Italie
Juliano Medeiros, coordination UNAMÉRICA, Parti Socialisme et liberté, Brésil
José Luis Mendez, professeur à l’Université de Porto Rico, Porto Rico
Youcef Merrouche, secrétaire national à l’immigration, Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Algérie
Samia Messaoudi, journaliste, Algérie
Francine Mestrum, universitaire, membre du Conseil international du Forum social mondial (FSM), Belgique
Willy Meyer, député européen Izquierda unida (Gauche Unie), Espagne
Florent Michelot, directeur général de Option Nationale Québec, Québec
Tarik Mira, député de Béjaia, Algérie
Juan Carlos Monedero, professeur Université de Somosaguas, Faculté des sciences politiques et de sociologie, Espagne
Mohamed Mouhajid, membre du bureau politique du Parti socialiste unifié, ancien secrétaire général, Maroc
Nabila Mounib, secrétaire générale du Parti socialiste unifié, Maroc
Salvador Muñoz, président de Partido de Izquierda (Parti de Gauche), Chili
P.K. Murthy, syndicaliste The Lal Zhanda Coal Mines Mazdoor Union, Inde
Roberto Musacchio, ancien député européen, Italie
Marie Nacif Debs, secrétaire générale adjointe Parti communiste libanais, Liban
Noureddine Najar, économiste, coordinateur d’Ettajdid-France, Tunisie
Hassan Nekrache, universitaire, membre du secrétariat du Mouvement pour une constitution démocratique, Maroc
Ana Elisa Osorio, membre de la direction nationale du Parti socialiste unifié du Venezuela et du Parlement latino-américain (Parlatino), Venezuela
Luis Antonio Pasquetti, professeur Université de Brasilia, Brésil
Hélena Pato, universitaire, fondatrice du Mouvement des femmes (MDM), résistante historique au régime de Salazar, Portugal
Rodrigo Pereira, membre de la direction nationale Parti Socialisme et liberté, Brésil
Orlando Perez, directeur du Journal El Telegrafo, Equateur
Gustavo Pérez Ramà­rez, sociologue et membre de l’Académie d’Histoire de Quito, Equateur
Khalid Rahel, militant des droits de l’homme, membre du secrétariat du Conseil national du Parti socialiste unifié, Maroc
Carlos Raimundi, député Nuevo Encuentro, Argentine
Beatriz Rajland, membre Fondation de recherche en sciences sociales et politiques, Argentine
Gloria Inez Ramirez, député Pôle démocratique alternatif/ Parti communiste colombien, Colombie
Ignacio Ramonet, directeur du Monde diplomatique en español, Espagne
Ariovaldo Ramos, professeur de théologie et prêtre, Brésil
Julia Ramos Sanchez, secrétaire exécutif de la Confédération nationale des femmes paysannes indigènes et originaires de Bolivie "Bartolina Sisa" , ancienne ministre du développement rural et des terres, Bolivie
Rayhana comédienne, Algérie
Alexis Rivas Toledo, anthropologue, ancien ministre du patrimoineh Equateur
Randolfe Rodrigues, sénateur Parti Socialisme et liberté, Brésil
Edmilson Rodrigues, député Parti Socialisme et liberté, Brésil
Najib Saber, universitaire, Maroc
Emir Sader, secrétaire général du Conseil latino-américain de sciences sociales (CLACSO) et membre du Conseil international du FSM, Brésil
Napoleon Saltos, universitaire, Université centrale d’Equateur, Centre de pensée alternative, Equateur
Marta Sanz, écrivain, Espagne
Roberto Savio, membre du Conseil international du Forum social mondial, fondateur de l’agence Inter Press Service (IPS), Italie
Johanne Schmidt-Nielsen, porte-parole du groupe parlementaire de l’Alliance Rouge-Verte et au Conseil municipal de Copenhague, Danemark
Claude Semal, chanteur, auteur et comédien, Belgique
Pascual Serrano, écrivain et journaliste, fondateur du site Liberacion, Espagne
Ahmed Slimani, universitaire, directeur du centre d’études et de recherches Ben Saïd, Maroc
Ahmed Smaoui, ancien ministre, Tunisie
Ahmed Snoussi, artiste-humoriste, Maroc
Joao Pedro Stedile, membre de la coordination du Mouvement des sans terre et de Và­a Campesina, Brésil
Niko Swarz, journaliste et écrivain, membre de la Comission des relations internationales du Frente Amplio (Front élargi), Uruguay
G.M. Tamás, philosophe et ancien député, Hongrie
Amauri Teixeira, député Parti des travailleurs, Brésil
Milton Temer, membre de la direction nationale Parti Socialisme et liberté, Brésil
Jean-Marie Théodat, professeur Université d’Etat d’Haïti et Université Paris 1, Haïti
Alexis Tsipras, président du parti Syriza et de son groupe parlementaire, Grèce
Attila Vajnai, président du Parti des travailleurs hongrois 2006, Hongrie
Ivan Valente, président du Parti Socialisme et liberté, Brésil
Mark Weisbrot, économiste et co-directeur du centre de recherche Center for Economic and Policy Research à Washington, Etats-Unis
Bernard Wesphael, député (Wallonie), Belgique
Fatem Zahra Touzani, avocate de l’Organisation pour les libertés d’information et d’expression (OLIE) et militante du Mouvement du 20 Février, Maroc

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