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Tunisie : L’entêtement, un mauvais conseiller

La présidentielle tunisienne du 6 octobre 2024 est actuellement confrontée à de sérieux obstacles, caractérisés par le rejet de plusieurs candidatures et apparemment un manque de neutralité flagrant de la part de l'instance électorale. Il est à noter que cette instance persiste dans son refus de réhabiliter plusieurs candidats malgré les décisions favorables du tribunal administratif, mettant ainsi en péril la légitimité du processus électoral.

En politique, surtout dans les pays fragiles comme le nôtre, l’entêtement et la rigidité d’esprit de certains responsables de direction face à une crise peuvent avoir des conséquences néfastes sur les institutions et la stabilité du pays. En effet, un comportement trop rigide peut entraîner des blocages qui entravent l’évolution nécessaire des politiques et des décisions. Cette inflexibilité peut conduire à une montée des tensions sociales, à l’aggravation des conflits et à un manque de confiance du peuple dans les institutions.

Au contraire, la flexibilité et l’adaptabilité sont des qualités essentielles en politique, car elles favorisent la résolution des problèmes litigieux. Les leaders capables d’ajuster leurs positions et de trouver des compromis sont mieux équipés pour naviguer dans des environnements politiques complexes et instables.

Pour poursuivre l’analyse, je propose ce poème qui apporte une réflexion sur les conséquences de l’entêtement et la rigidité en matière politique.

En politique, la clé du succès réside,
Dans l’art de savoir se montrer souple et agile,
Car l’entêtement mène à la chute inexorable,
Des politiques risquant de plonger dans le péril.

Face aux crises qui secouent les sociétés,
La rigidité d’esprit ne fait que créer des barrages,
Empêchant toute évolution nécessaire,
Des décisions cruciales pour l’avenir des paysages.

La flexibilité et l’adaptabilité deviennent alors,
Des vertus essentielles pour tout bon gouvernant,
Capable d’ajuster ses positions avec bravoure,
Pour trouver des compromis et éviter les affrontements.

En favorisant le dialogue et la collaboration,
Les politiques peuvent trouver des solutions plus justes,
Ouvrant ainsi la voie à une gouvernance plus saine,
Basée sur l’inclusivité et la légitimité robuste.

Ainsi, la souplesse dans la gestion des crises,
Nous guide vers des horizons plus lumineux,
En permettant l’innovation et la cohésion sociale,
Pour une gouvernance efficace et vertueuse.

Que les dirigeants politiques se montrent donc flexibles,
Pour répondre aux défis de notre époque mouvante,
Et ainsi assurer un avenir harmonieux et durable,
Pour tous les citoyens, dans une société plus vivante.

En ces temps incertains, les risques des dérapages s’intensifient,
Les puissances mondiales scrutent, pénètrent les litiges,
La politique, terrain miné, exige une flexibilité aiguisée,
L’entêtement, porte ouverte aux chutes, aux périls enfilés.

Les crises, telles des vagues déferlant sur les sociétés,
Exigent des dirigeants une tactique sans rigidité,
Car les barrières dressées par l’esprit clos,
sapent l’avenir, compromettent les plans les plus grands.

La flexibilité devient un bouclier, un atout vital,
Pour tous ceux qui gouvernent, face aux défis amers,
Il faut ajuster les voiles, trouver le cap idéal,
Éviter les heurts, les affrontements amers.

Le dialogue, clé de voûte de la collaboration,
Ouvre les portes des résolutions plus justes,
Une gouvernance légitime, fondée sur l’union,
Offre un horizon plus clair, un espoir robuste.

Ainsi, dans cette tempête de crises épineuses,
La souplesse des actions éclaire le chemin,
L’innovation, la cohésion, vertus précieuses,
Pour une gouvernance juste, empreinte de soin.

Puissent les dirigeants, conscients de cet enjeu,
Faire preuve de souplesse, dans cette époque en feu,
Pour bâtir un avenir solide, harmonieux et bleu,
Une société vivante, pour tous les citoyens heureux.

Texte protégé

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Circus politicus
Christophe Deloire, Christophe Dubois
A quelques mois de l’élection présidentielle de 2012, les Français sont saisis d’angoisse à l’idée que la fête électorale débouchera sur une gueule de bois. La crise aidant, la politique se révèle un théâtre d’ombres où les signes du pouvoir servent surtout à masquer l’impuissance. Qui gouverne ? Qui décide ? Circus politicus révèle les dessous d’un véritable « putsch démocratique », une tentative de neutralisation du suffrage universel par une superclasse qui oriente la décision publique. (…)
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"Aucune femme en burka (ou en hijab ou en burkini) ne m’a jamais fait le moindre mal. Mais j’ai été viré (sans explications) par un homme en costume. Un homme en costume m’a vendu abusivement des investissements et une assurance retraite, me faisant perdre des milliers d’euros. Un homme en costume nous a précipités dans une guerre désastreuse et illégale. Des hommes en costume dirigent les banques et ont fait sombrer l’économie mondiale. D’autres hommes en costume en ont profité pour augmenter la misère de millions de personnes par des politiques d’austérité.
Si on commence à dire aux gens comment ils doivent s’habiller, alors peut être qu’on devrait commencer par interdire les costumes."

Henry Stewart

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