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Tunisie : Souad le Pen-Palin, un prévenu en vaut deux !

La Première Chaîne Nationale a annoncé, hier, mardi 15 courant, que Souad Abderrahim serait nommée, la semaine prochaine, Ministre de la Femme et de la Famille.

Nous voulons nous opposer, de toutes nos forces, à la réalisation de cette éventualité. En effet, par ses diverses déclarations à la Presse et aux Médias, nationaux et internationaux (cf., par exemple, mon Article, ci-dessous, intitulé : « Tunisie : Souad le Pen-Palin est née ! »), Souad le Pen-Palin a montré, en ne laissant, pour une fois, planer aucun doute, que sa nomination sera une régression et une catastrophe pour les Droits de la Femme, de la Famille et de l’Enfant dans notre Pays.

Devant le silence assourdissant, pour ne pas dire la complaisance, de la Sphère Politique, à ce sujet, nous, Société Civile, Société d’où est partie la Révolution, Société qui demeure, quoi qu’il arrive, l’Initiateur de tout Progrès, du moins le Garde-fou suprême de toutes les dérives, devions prendre nos responsabilités et agir, avant qu’il ne soit trop tard ; et ce, en faisant abstraction des risques éventuels encourus, afin que nos enfants ne disent pas demain : « Ils le savaient et ils se sont tus ».

http://www.legrandsoir.info/tunisie-souad-le-pen-palin-est-nee.html#reactions

Salah HORCHANI

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Histoire et Mystifications. - Comment l’Histoire est fabriquée et enseignée...
Michael PARENTI
Analyste politique progressiste de tout premier plan aux États-Unis, Michael PARENTI, docteur en Sciences Politiques de l’Université de Yale, est un auteur et conférencier de renommée internationale. Il a publié plus de 250 articles et 17 livres. Ses écrits sont diffusés dans des périodiques populaires aussi bien que dans des revues savantes, et ses textes engagés l’ont été dans des journaux tels que le New York Times et le Los Angeles Times. Ses livres et ses conférences, informatives et (…)
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Croire que la révolution sociale soit concevable... sans explosions révolutionnaires d’une partie de la petite bourgeoisie avec tous ses préjugés, sans mouvement des masses prolétariennes et semi-prolétariennes politiquement inconscientes contre le joug seigneurial, clérical, monarchique, national, etc., c’est répudier la révolution sociale. C’est s’imaginer qu’une armée prendra position en un lieu donné et dira "Nous sommes pour le socialisme", et qu’une autre, en un autre lieu, dira "Nous sommes pour l’impérialisme", et que ce sera alors la révolution sociale !

Quiconque attend une révolution sociale “pure” ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution.

Lénine
dans "Bilan d’une discussion sur le droit des nations", 1916,
Oeuvres tome 22

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