Maryse Laurence LEWIS
On nous fait croire, en Amérique du Nord, qu’on jouit de la liberté d’expression. Pendant que les États-Unis et le Canada encouragent le génocide palestinien, on violente les étudiants qui protestent contre le massacre des civils à Gaza. Déjà plus de 170 étudiants ont été arrêtés, certains blessés.
L’Université de Californie à Los Angeles (UCLA), l’Université de New-York (CUNY) et l’Université Concordia à Montréal, gaspillent des millions de dollars, en embauchant des agences de sécurité en « gestion de crise », pour mater les étudiants qui réclament la fin du génocide palestinien.
Quatre millions de dollars ont été largués par Université de New-York, aux profits du Strategic Security Corp, dirigé par Joseph Sordi, ancien officier de la police de cette ville, lié au Mossad. En plus de techniques de contrôle des foules et de systèmes de surveillance, on recourt à l’aspersion de poivre de Cayenne.
L’Université de Californie c’est acheté un droit à la répression pour un million de dollars, en engageant des agences israéliennes comme Magen Am et la police municipale. Chez les anglophones du Québec, l’Université Concordia fait affaire avec Perceptage International et Moshav Security Consultants, dirigés par d’anciens officiers de l’armée israélienne. Ces faits sont même (…)
André LACROIX
On se souvient de l’ovation que le Parlement canadien avait réservée en septembre 2023 à Yaroslav Hunka présenté comme un « héros ukrainien » - en réalité un vétéran ukrainien nazi ayant combattu dans la Schutzstaffel. Ce n’était, hélas, pas un cas isolé, comme en témoigne cet article publié le 20/11/2024 dans "L’Aut’journal" sous la plume du journaliste et essayiste québécois Robin Philpot. C’est avec son aimable autorisation que nous reproduisons ici cet article.
URL : Canada/Ukraine : une histoire sombre sciemment dissimulée | L'aut’journal
Quelques jours avant le jour du Souvenir, le 11 novembre 2024, le gouvernement du Canada a annoncé qu’il ne rendrait pas publique la partie d’un rapport produit par la Commission d’enquête sur les criminels de guerre au Canada (Commission Deschênes) qui nomme 900 Canadiens accusés de crimes de guerre commis pour le compte des nazis. Le Canada les a admis après la Seconde Guerre mondiale, y compris beaucoup d’ex-membres du Waffen SS Galicien (ukrainien).
On apprend qu’Affaires mondiales Canada s’est opposé à ce que Bibliothèque et Archives Canada (BAC) accède à une demande d’accès à l’information pour rendre publics ces noms. Selon le porte-parole de la BAC, la décision de garder la liste sous scellé « était fondée sur des préoccupations concernant un risque de préjudice aux relations internationales. » Le Globe and Mail, qui avec d’autres a déposé la demande d’accès à l’information, explique la (…)
Adnane DAOUDI
Accueilli en grandes pompes au Canada, Zelensky a fait l’objet d’une unanimité trans-partisane douteuse. Articles et discours dithyrambiques, teintée d’un brin de russophobie décomplexée, fusent de partout. Le Président-bouffon symbolise le combat du monde libre opposé aux régimes autoritaires (entendre barbares).
Invité à s’adresser au Parlement, l’acteur a bien joué son rôle, prononçant une allocution souvent interrompue par des ovations debout. Une comédie à l’eau de roses où tout ce beau monde bien rangé, dans une naïveté déconcertante, est convaincu de la justesse de la cause.
Pour bien enfoncer le clou, le Président du Parlement a cru bon d’inviter à la Chambre un immigré canado-ukrainien de sa circonscription et membre du parti au pouvoir. Âgé de 98 ans et présenté comme un grand résistant ukrainien qui a combattu « l’invasion soviétique », notre héros national a été reçu avec grand apparat par les parlementaires tout parti confondu, allant même jusqu’à serrer la main de notre bouffon à nous avant de faire la courbette à Zélensky.
Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu’à ce qu’un journaliste, un peu fouineur, ne trempe son nez dans le passé de notre brave homme et découvre le pot aux roses. Dans la fleur de l’âge, notre nonagénaire avait servi comme (…)
Maryse Laurence LEWIS
Désaccords au sujet de l'énergie
Les États-Unis ne signent jamais d'entente qui ne leur soit pas préférablement favorable. Les autres signataires sont donc contraints de ratifier des clauses nuisibles. Cet état de fait ne titillait pas l'ancien Président mexicain, Enrique Peña Nieto. Celui-ci accepta l'installation d'entreprises privées étasuniennes sur le territoire. Dans des conditions telles que le nouveau dirigeant conteste, actuellement, la validité des accords, et demande l'avis de la population, concernant un possible jugement pour corruption envers Peña Nieto.
Les réactions de Justin Trudeau et de Joseph Robinette Biden n'ont pas tardées.
Dans ce texte, je vous invite à prospecter les commentaires et reproches, jaillissant de ces dirigeants, face au Président Lopez Obrador. ¹
Premièrement
On l'accuse de retarder la transition énergétique, en voulant protéger la compagnie nationale Pemex, productrice de pétrole, au lieu de miser sur les énergies renouvelables :
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Maryse Laurence LEWIS
Le Ministère de la Santé du Québec s'est bien gardé de révéler la négligence dont on parle maintenant. À présent, les élections sont terminées dans « la belle province ». On peut avouer à ceux qui lui ont accordé une majorité parlementaire, lui permettant de sévir davantage, comment M. Legault a bien géré cette épidémie... d'argent gaspillé. Garantissant la santé des pharmaceutiques, au détriment de celle des contribuables. Bien entendu, le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, n'est pas sans taches. On devrait même lui en trouver sur les poumons, ayant été victime par deux fois du Coronavirus.
Pour quelques dollars de plus
Ayant acheté de trop nombreuses doses de vaccins, n'ayant pu être administrées à temps, on doit en jeter 5,3 millions. Ce qui représente 680 millions de dollars mis au rebut.
Les chiffres suivants correspondent à un minimum, car d'autres doses sont en voie de péremption :
En Alberta : 2,1 millions de vaccins détruits ;
Au Manitoba : 75,000 doses à (…)