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Thème : AREVA

Edouard Philippe, impliqué dans le pillage de l’uranium du Niger par Areva et dans un conflit d’intérêt

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Emmanuel Macron (M. Propre), Edouard Philippe (tout nouveau, tout neuf et immaculé) et Areva.
Demain sans doute nous aurons à parler ici du nouveau Premier ministre, de sa fortune, de ses déclarations de patrimoine, de ses votes de député à l’Assemblée nationale et d’autres choses encore qui feront ricaner (ou pleurer de dépit) François Fillon qui s’est trouvé bien seul pendant la grande lessive vertueuse qui a fait un président qui n’est pas lui.
LGS.

L’Observatoire du nucléaire dénonce la nomination au poste de premier ministre d'Edouard Philippe qui n’est en rien le personnage "modéré" que la communication macronienne tente de mettre en scène. Bien au contraire, Edouard Philippe a les mains très sales, ou plutôt… radioactives. En effet, lorsqu’il travaillait pour la multinationale atomique Areva, il a participé à de sombres manœuvres dans les coulisses uranifères de la Françafrique. . En octobre 2007, Edouard Philippe est nommé directeur de la communication et directeur des affaires publiques d’Areva. Son activité principale est alors de s’assurer de la collaboration de parlementaires acquis au lobby de l’atome. Il est ainsi en contact rapprochés avec Marc Vampa, député de l’Eure et président du groupe d’amitié France-Niger à l’Assemblée Nationale (Charlie Hebdo, 29 avril 2009). C’est précisément pendant cette période, le 13 janvier 2008, qu’un accord est signé entre Areva et le pouvoir du Niger concernant l’exploitation de l’uranium, accord immédiatement (...) Lire la suite »
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“ Too big to fail ”. Ce sont des établissements financiers que l’État juge trop grands pour faire faillite.

Areva : Phagocytage et déclin économique

Liliane HELD-KHAWAM
Ils sont privés ? Ils sont mal gérés ? Ils sont manipulés par des tiers étrangers ? Leur substance est siphonnée ? Les emplois ont été délocalisés ? On ne sait pas qui gère quoi et surtout où va l’argent ? Aucune importance. L’État brave et transgresse les règles les plus élémentaires de l’économie libérale et y injecte des sommes astronomiques d’argent public sous le prétexte que l’entité est trop grande pour faire faillite. Mais cela va plus loin. L’État dont le taux d’endettement a atteint son seuil de saturation maximal, se tourne vers l’argent du public. C’est la confiscation des biens privés. Aujourd’hui, il est question de la confiscation des dépôts bancaires. Demain, cela peut aller plus loin.... Aucune limite n’est prévue par ces dirigeants d’un genre nouveau. Ça l’est d’autant plus que le pays opte pour l’État d’urgence permanent. Tout pourrait être réquisitionné. C’est illégal ? Illégitime ? Ce que vous pensez n’a plus aucune importance. Les candidats « officiels » de droite et de gauche défendent les (...) Lire la suite »

AREVA contre la Coordination Antinucléaire du Sud-Est : le choc des Titans (Appel a soutien)

Jean-Yves Peillard
Appel a soutien AREVA porte plainte contre la Coordination Antinucléaire du Sud-Est ! Nous ne nous laisserons pas bâillonner ! Le site internet de la Coordination Antinucléaire du Sud-Est vient d’être informé ce mardi 6 janvier 2015 d’une plainte en diffamation d’Areva pour un reportage (a) mettant en cause la pénétration du lobby nucléaire auprès des élus alors que le crime nucléaire sanitaire se poursuit à Fukushima et en vallée du Rhône. Qui sommes-nous ? La Coordination Antinucléaire du Sud-Est est constituée de collectifs informels et d'individus, reliés en réseau autour d’un site internet pour l’arrêt immédiat et inconditionnel du nucléaire. Pas d’argent, pas de personnel salarié, pas de locaux, pas de budget, pas de subvention et surtout pas de hiérarchie ou de délégation de pouvoir. Notre force c’est l’engagement opiniâtre pour la vie, contre le crime nucléaire. Par cette attaque en justice, le géant du nucléaire veut faire taire la contestation au moment même où le groupe Areva est en (...) Lire la suite »
Un beau scandale lié très probablement à la libération des otages de AREVA

Mine d’uranium au Niger : AREVA gagne en appel contre la famille d’un ex-salarié décédé d’un cancer

Thierry LAMIREAU

Le géant du nucléaire AREVA a gagné en appel contre la famille d’un ancien salarié d’une de ses mines d’uranium au Niger, mort d’un cancer du poumon, qui l’avait fait condamner l’an dernier pour faute inexcusable, rapporte l’AFP.

La Cour d’Appel de Paris a estimé que AREVA, titulaire de la concession du gisement minier, ne pouvait être tenu responsable en tant qu’employeur, mais que seule la société nigérienne COMINAK, qui exploite le site et avec laquelle le salarié avait signé son contrat de travail, pouvait éventuellement être attaquée, explique l’agence de presse qui a pu consulter la décision de justice. La Cour a considéré que COMINAK ne peut pas être considéré juridiquement comme une filiale d’AREVA, car l’entreprise française n’en détient que 34%. Interrogée par l’AFP, Peggy Venel, la fille de la victime, a déclaré que « l’arrêt de la Cour d’Appel ne la surprend pas. C’est un groupe inattaquable, même la meilleure volonté du monde ne suffit pas pour faire face aux géants du nucléaire ». Son père, Serge Venel est mort en 2009, à 59 ans, après avoir travaillé pendant 6 ans, au début des années 1980, dans une mine d’uranium à Akokan (nord-ouest du Niger), présentée par AREVA comme la plus grande mine souterraine d’uranium au monde. Son (...) Lire la suite »