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Thème : OGM

« Aux graines, citoyens ! » Marche mondiale contre Monsanto dans 25 villes françaises et 50 pays

COLLECTIF 7 MAI 2015
Le 23 mai 2015, des citoyens du monde entier, dans une cinquantaine de pays et une vingtaine de villes françaises, marcheront contre Monsanto, et contre les « multinationales des OGM et des pesticides ». Ils se mobiliseront également pour une agriculture respectueuse de l’environnement, de la santé des travailleurs et des consommateurs, des générations futures. Leur demande : stopper l’offensive des OGM en Europe et arrêter l’empoisonnement par les pesticides. Avec un slogan : « Aux graines citoyens ! ». Voici l’appel lancé par le Collectif citoyen les Engraineurs et Combat Monsanto. Lancé en 2013 par la mouvance Occupy, la Marche mondiale contre Monsanto se réclame d’une dynamique citoyenne, autogérée par les groupes qui s’en emparent localement, dans un esprit de convergence de tous ceux qui veulent agir, au travers d’événements ouverts sans étiquettes de partis ou d’organisations. L’appel français pour la marche du 23 mai, qui réunira plus de 25 villes en France métropolitaine et dans les DOM, a été (...) Lire la suite »
Ils arrivent ! Porc, bœuf et lait aux hormones (et poulets lavés au chlore)

TTIP, ôtez vos pattes de notre nourriture !

Esther VIVAS

Un nouveau tour de vis vient d’être donné aux politiques agroalimentaires en Europe. Il s’agit du Traité de libre-échange entre les États-Unis et l’Union européenne (UE), plus connu sous le nom de TTIP (son sigle en anglais pour Transatlantic Trade and Investment Partnership), l’ombre grandissante de l’agroalimentaire qui s’étend des champs à l’assiette. Comme des vampires assoiffés de sang, les multinationales du secteur attendent pour se sucrer, et ce beaucoup, grâce à ces nouvelles mesures de libéralisation commerciale.

Mais en quoi consiste le TTIP ? Il s’agit d’un traité négocié en secret durant des mois, divulgué au public, attendant l’approbation du Parlement européen, bénéficiant d’une campagne marketing en cours et qui a pour objectif final d’harmoniser à la baisse les législations des deux côtés de l’Atlantique, au seul profit des grandes entreprises. Ses conséquences : plus de chômage, plus de privatisations, moins de droits sociaux et environnementaux. En définitif, il apporte sur un plateau nos droits au capital. Et en ce qui concerne l’agriculture et l’alimentation ? Les entreprises du secteur, des sociétés de semences en passant par l’industrie de la biotechnologie, des boissons, de l’élevage, de l’alimentaire, ou encore du fourrage… sont celles qui ont le plus fait pression en sa faveur, dépassant même le lobby pharmaceutique, de l’automobile et financier. L’enjeu est important pour les multinationales comme Nestlé, Monsanto, Kraft Foods, Coca Cola, Unilever, Bacardi-Martine, Cargill, entre autres. Sur les 560 (...) Lire la suite »

McDonald ferme tous ses restaurants en Bolivie

hispanicallyspeakingnews.com

La Bolivie est devenue la première nation à se libérer de la malbouffe de McDonald, qui a lutté pendant plus d’une décennie pour conserver son icône « rouge ». Et cette victoire de la Bolivie a encore fait la Une des médias.

Après 14 ans de malbouffe dans le pays, et en dépit des nombreuses campagnes de promotion, McDonald a été contraint de fermer, en 2002, ses 8 restaurants boliviens dans les villes principales de La Paz, Cochabamba et Santa Cruz de la Sierra. McDonald a servi ses derniers hamburgers en Bolivie un samedi à minuit, après avoir annoncé un plan de restructuration globale prévoyant de fermer ses portes dans sept autres pays où les marges bénéficiaires sont faibles. C'est une victoire pour la santé des peuples du sud. L’échec de McDonald en Bolivie a eu un impact profond, suscitant un documentaire intitulé « Por qué quebró McDonalds en Bolivia ? » ou « Pourquoi McDonald a fait faillite en Bolivie ? ». Ce documentaire tente d’expliquer pourquoi les Boliviens n’ont jamais délaissé leurs empanadas traditionnels pour un Big Mac plein d’OGM. Le documentaire présente des entrevues avec des cuisiniers, des sociologues, des nutritionnistes et des éducateurs qui semblent tous d’accord sur un point : les Boliviens ne (...) Lire la suite »

ETATS-UNIS - Les OGM ne seront pas étiquetés en Californie

Christian Berdot

Le 6 novembre 2012, les Étatsuniens étaient appelés à voter pour leur nouveau président : ils ont réélu Barack Obama. Les Californiens devaient aussi se prononcer sur une modification constitutionnelle : l’obligation d’étiqueter les produits destinés à l’alimentation humaine contenant des OGM (connue sous le nom de « proposition 37 »)... Et c’est le « non » qui l’a emporté avec une avance au final assez faible vu les moyens mis en oeuvre pour faire échouer cette initiative.

En effet, 53,1% (soit 4 835 045 voix) des Californiens ont rejeté cette proposition et 46,9% (soit 4 277 985 voix) l'ont soutenue [2]. Ce résultat s'inscrit donc dans la longue tradition des États-Unis, premier producteur de plantes génétiquement modifiées (PGM) au monde qui a toujours refusé de rendre l'étiquetage obligatoire. La pression des entreprises [3], très forte, a donc réussi à faire basculer le vote par un déferlement de publicité via télé et radio. Ainsi, c'est presque six fois plus d'argent qui a été mobilisé du côté des opposants à l'étiquetage - Monsanto en tête - démontrant, s'il en est encore besoin, l'énorme enjeu qui se jouait là pour l'industrie agroalimentaire. La transparence n'aurait-elle pas permis enfin aux consommateurs de faire un choix éclairé et de mieux tracer les effets éventuels d'une consommation régulière et à long terme ? Un risque qui semble avoir en tout cas effrayé les industries et mobilisé toute leur énergie pour faire échouer cette proposition. Comme le rappelle Sophie (...) Lire la suite »
Les rats nourris aux OGM développeraient d’énormes tumeurs

Le pop-corn "Fiat voluntas tua" …

Gaëtan PELLETIER
Des rats nourris avec un maïs OGM (organisme génétiquement modifié) qui développeraient des tumeurs grosses comme des balles de ping-pong : l'étude conduite par le biologiste Gilles-Eric Séralini (université de Caen) et publiée dans la revue Food and Chemical Toxicology a fait l'effet d'une bombe, mercredi 19 septembre. L'organisme génétiquement modifié visé : le maïs NK603, commercialisé par le géant américain Monsanto. Le monde.fr La vie avec un grain de cèdre Je taillais la haie de cèdre, en fin d'après-midi. Ca fait trente ans que je la taille. Je pense qu'en vieillissant, je raccourci, car l'échelle de 8 pieds suffit à peine à me rendre au dessus. C'est comme coiffer une tête carrée, verte… Pour la beauté du monde. Je voyais s'effilocher le ramage sur le sol. Et les douceurs du parfum… C'est comme égrener un chapelet qui pousse tout le temps. Dans ces moments-là , on a des pensées qui surgissent. Si la haie passait sous ma coupe franche et parfois un peu barbare, avec la hâte d'en finir, je me suis (...) Lire la suite »
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Non, M.WAUQUIEZ s’opposer aux OGM n’est pas « stupide et réactionnaire »

Collectif sans OGM 43
Communiqué de presse du Collectif 43 sans OGM, 06 octobre 2011 Suite à la prise de position de Laurent WAUQUIEZ , Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche le 29 septembre à Clermont Ferrand (consultable ici), le collectif 43 sans OGM tient à apporter les clarifications suivantes : Non M. le Ministre, s'opposer aux OGM n'est pas « stupide et réactionnaire ». Les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), qu'ils soient obtenus par mutagénèse ou par transgénèse, ne sont pas un simple problème de stratégie dans la guerre entre firmes semencières, ou entre les agricultures intensives des continents Européen et Américain. Ils posent toute une série de questions, qui sont d'ordre agronomique, environnemental, sanitaire, économique et démocratique. A ces questions, les scientifiques et les politiques n'ont pas apporté de réponses claires. Une très large majorité de la population (près de 80%) l'exprime par un refus massif de voir les OGM entrer dans les assiettes et dans les champs. Qualifier les (...) Lire la suite »

Je vous demande de désobéir

Jean-Yves PEILLARD

La recherche et la justice en question.

Suite à un article paru dans Les Echos (journal économiquolibéral appartenant à LVMH) le 3 octobre sur
http://www.lesechos.fr/innovation/sciences/0201647567400-comment-le-de...

cet article faisant peut-être «  suite » au procès récent des faucheurs de vigne OGM de Colmar
http://www.legrandsoir.info/arrachages-a-l-appel.html

On se fait un peu de mal en essayant de démonter les arguments de «  potentiels adversaires » mais c’est tout à fait intéressant de reprendre l’article des Echos et comprendre que chacun de son côté, avec des arguments qui peuvent sembler justes et fondés au premier abord, on se prépare à se rentrer dedans tout naturellement, ce quelque chose de fratricide serait tout à fait normal et «  donnerait du travail aux ouvriers » comme dirait l’autre, du travail aux ouvriers de l’armement de chez Lagardère et Dassault bien entendu, et comme de bien entendu favoriserait ses actionnaires pas tous membres de l’assemblée nationale et ainsi le dogme de la croissance reprendrait ces droits à droite comme à gauche.

L'article en question reprend des arguments de lobbies : AFBV, GNIS et paysans liés à l'industrie et au productivisme du « FNSEA International » et peuvent être démonté pièce par pièce comme l'ont été les arguments des défenseurs de l'INRA lors du procès de Colmar. Beaucoup ont regretté que ce procès n'ai pas été retransmis en direct sur les ondes radios, car cela aurait été l'occasion que le pays entier prenne définitivement fait et cause pour la critique des bio-technologie et du système productiviste qui va avec. Seulement même les journaux locaux n'ont pas relayé la profondeur, la richesse et la diversité de ce procès. (DNA et L'Alsace appartiennent à qui ?). Mais un recueil des témoignages est en cours avec une touche des artistes et cela finira par ressortir en pleine face de Mrs Fellous et Menara et leurs amis. A ce procès on a bien vu que ce tribunal était fermé, ça été comme un exutoire, tout le monde s'est vidé les tripes, des prévenus aux témoins lumineux jusqu'aux avocats engagés (il y en a (...) Lire la suite »

Arrachages à l’appel

Jean-Yves PEILLARD

Les fauchages d’OGM se sont intensifiés depuis l’été 2010, le premier procès concernant cette saison de reprise débute le 28 Septembre 2011, c’est l’INRA de Colmar qui ouvre le bal en envoyant les 60 faucheurs de vigne OGM à la barre. Entre-temps, l’arrachage de pomme de terre OGM du 29 Mai 2011 dans une université flamande permet de rapprocher les raisons des « fauchages » directement dans les centres de recherche. La recherche confirme qu’elle en agro(business) sur la patate , la patte d’IG Farben. De Colmar à Wetteren, en passant aussi par Feyzin, Hauterives, ... , « la résistance est fertile » !

« Renoncer à notre droit sur le vivant, c'est laisser au complexe génético-industriel toute latitude pour orienter le progrès technique dans les voies les plus profitables pour lui, et non pas les plus utiles pour la société. Gloser sur le progrès en général, en ignorant comment les choses se passent en pratique, relève de l'imposture. Tout comme invoquer une prétendue " demande sociale " pour justifier les choix scientifiques des pouvoirs publics. L'opinion est massivement opposée aux OGM. Il n'y a donc pas de " demande sociale " d'OGM, sauf à camoufler sous ce vocable les exigences du complexe génético-industriel. » il y a juste à remplacer OGM par biotechnologie et plus loin dans le texte : « En s'isolant de la société, au nom de leur objectivité et de leur technique, les biologistes, victimes de leur conception étriquée de la causalité et de leur a-historicité, constituent une proie naïve pour les investisseurs. La république des savants n'est qu'une principauté d'opérette que dirigent ces puissants (...) Lire la suite »

Bolivie : Evo Morales promulgue une loi qui interdit les OGM.

Alma

La Paz le 27 Juin - Le président de Bolivie, Evo Morales, a promulgué aujourd’hui une loi pour initier le développement de l’agriculture dans son pays, mais il n’y aura pas de stimulants pour la production d’OGM comme annoncé initialement par les secteurs de production et les politiques.

Morales a promulgué la Loi de la Révolution de la Production Communautaire, Agronomique et Pastorale (Ley de Revolución Productiva Comunitaria y Agropecuaria) devant les organisations de Paysans et d'Indigènes, qui demandaient la garantie de la sécurité alimentaire avec la souveraineté du pays. Le ministre du gouvernement, Carlos Romero, a expliqué aux médias que la loi fait partie du plan gouvernemental pour stimuler la production agricole et qu'auparavant d'autres étapes ont eu lieu comme la répartition des terres aux indigènes et aux Paysans et l'élimination des relations de servitude dans quelques régions rurales. Il a souligné que la loi ne promeut pas l'utilisation de semences ou aliments transgéniques comme l'ont indiqué des dirigeants de producteurs, l'opposition, et la presse, et il attribue cette version à une confusion sur ce qu'est la règle. " La loi, à aucun moment, n'a mis en oeuvre la promotion ou l'encouragement des OGM. Au contraire, ceux-ci sont interdits" , a affirmé le (...) Lire la suite »
Comment Monsanto exploite la crise alimentaire en tentant d’imposer son maïs GM aux fermiers mexicains

Mexique : Monsanto et l’épi de la mort

Alfredo ASSEDO
AMonsanto a fait de la chute des réserves internationales de maïs et du désastre causé par le froid dans les cultures de céréales du nord du pays son argument principal pour imposer les semences commerciales de maïs transgénique au Mexique en présentant ses graines manipulées comme la solution pour pallier à la raréfaction de la graminée,et à la pénurie. La firme va même plus loin : dans une conférence de presse, le président de la multinationale en Amérique Latine, José Manuel Maduro, a osé affirmer que ".... la décision du Mexique de ne pas les autoriser [les transgéniques] a contraint ce pays à importer 10 millions de tonnes de maïs et c'est la raison pour laquelle une décision rapide est nécessaire." Monsanto est déterminé à imposer l'épi de la mort. Le cynisme de Monsanto semble ne pas avoir de limites. La firme prétend que si le Mexique n'est plus autosuffisant en maïs et doit en importer des millions de tonnes annuellement, ce n'est pas à cause d'une politique agricole favorable aux multinationales ni (...) Lire la suite »
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