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combien de temps encore à ne rien voir venir

Combien de temps encore a ne rien voir venir

Déterrons les colères des sans voix des sans terres
Esclaves prisonniers d’une modernité piégée
Enterrons nos scrupules de p’tit bourgeois navrés
De compatir à p’tit pas et encore du bout des doigts
Des fois que çà s’attrape, au regard de la loi

Rien n’est plus vulgaire quand surgit la colère
de ne penser qu’à soi alors que les précaires
un genou à terre subissent le contre poids
sans qu’aucune justice ne s’en alarme plus que ça
Un passé et un avenir un temps rafistolés
Un temps sans toit pour me perdre et finir hors la loi

Le monde est devenu fou, les droits de l’homme
S’étiolent, foulés du pied par un libéralisme outrancier
et tous ces milliards d’hommes que le monde a comptés
est-ce par cupidité, pour vivre dans des homes,,
les poches remplis de sommes, gagnées à exploiter
là où les besoins sont « libres » sans système régulé
là où l’argent de poche dépasse toute une vie à trimer
pour des minorités habituées à vivre sans aucune équité

Luis lera

URL de cet article 18833
   
Vive le Che !
Jean ORTIZ
Comment expliquer en 2017 le prestige têtu de Che Guevarra, la fascination qu’il exerce encore et toujours ? Le nouvel ouvrage de Jean Ortiz propose une analyse et un point de vue fournis et argumentés, à contre-courant des poncifs et des contre-vérités qui ne manqueront pas de ressurgir en ce cinquantième anniversaire de son assassinat. Il est évident que se joue sur cette figure du combat anticapitaliste comme dans son legs au mouvement pour l’émancipation humaine, une bataille toujours (…)
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Le déficit de l’Etat était l’objet même de spéculations. A la fin de chaque année, nouveau déficit. Au bout de quatre ou cinq ans, nouvel emprunt. Or chaque emprunt fournissait à l’aristocratie une nouvelle occasion de rançonner l’Etat, qui, maintenu artificiellement au bord de la banqueroute, était obligé de traiter avec les banquiers dans des conditions toujours plus défavorables.

Karl Marx
La lutte des classes en France. 1850

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