Auteur Luis LERA

Enfants de la mémoire

Luis LERA
Traumas ninos de la guerra y del exilio : ce livre vient d’être traduit en français Trente deux victimes de la guerre d’Espagne racontent. Ils sont les auteurs qui nous livrent des pages de récits, d’une imprescriptible mémoire antifranquiste » de la graine de rouge. Franco avait raison : nous le haïssions comme la peste. Ils ont vieilli en France,au Mexique, en Belgique, en URSS… souvent loin de leurs familles, quand ils en avaient encore une... Une exploration sans pathos des (…)

Les survivants des camps 1945, puis restait l’Espagnol ?

Luis LERA
Chaque pays reprit les siens les arrachant A cet enfer, imaginé par les nazis. C’était pour eux la fin de la nuit le retour à la vie Le terminus d’un cauchemar le début d’une histoire Pour ceux que la mort n’avait pas encore choisi, Sauvés juste à temps de l’ordre et du déclic et des cris Là on trinque, on crève là on ne connaît pas de trêve Les alliés pour mieux savourer leur victoire, Ont bombardé les camps en frappes opératoires… Chaque pays avait récupéré les siens. Enfin ce qu’il (…)

combien de temps encore à ne rien voir venir

Luis LERA
Combien de temps encore a ne rien voir venir Déterrons les colères des sans voix des sans terres Esclaves prisonniers d’une modernité piégée Enterrons nos scrupules de p’tit bourgeois navrés De compatir à p’tit pas et encore du bout des doigts Des fois que çà s’attrape, au regard de la loi Rien n’est plus vulgaire quand surgit la colère de ne penser qu’à soi alors que les précaires un genou à terre subissent le contre poids sans qu’aucune justice ne s’en alarme plus que ça Un (…)

l’histoire sociale

Luis LERA
L’ HISTOIRE SOCIALE c’est l’espace temps d’une vie d’ouvrier de la naissance jusqu’à la mort. Ce temps appartient aux spéculateurs. Si nous voulons voir changer ce monde, il nous faut commencer par rompre avec le capitalisme. Nous pouvons regretter que le capitalisme soit coutumier du fait de l’exploitation et que la révolution ne soit pas coutumière de rosser les patrons. L’histoire de temps à autre nous livre ses secrets comme une affreuse tambouille Consommé un demi-siècle après. L’ (…)

Melenchon apres le discours de Marseille ton passage a Pau

Luis LERA
MELENCHON A PAU Mélenchon après son discours à Marseille devant 120000 personnes attentives A un sujet qui est un véritable plaidoyer aux peuples autochtones des rives des deux cotés de la mediterannée. Si tous les rêves menaient à Cythère Tous les chemins, Navigués par nos frères Du Magreb et d’Afrique retrouveraient les senteurs du jasmin Comme autant de jardins attendent le printemps. Et les révolutions Attendent cet instant Afin de concrétiser les idées (…)

L’andalou Virgilio : un atypique résistant anti-fasciste

Luis LERA
Virgilio est né en 1914 dans un village qui se nomme Espejo ce qui en français se traduit par miroir. Il est à la fois la captation, le reflet, le regard, mais aussi et surtout le copyright de lui même : du droit exclusif pour un auteur, un éditeur, un artiste d’exploiter pendant plusieurs années son oeuvre. Mais Espejo n’est pas la copie d’une oeuvre il est lui même l’oeuvre. Virgilio est un ouvrier agricole il a toujours résisté à l’enfer torride d’une chaleur quasi insupportable qui rend (…)

LA MÉMOIRE COURTE OU DITES-LE AVEC DES FLEURS

Luis LERA
Devinez ce qui me met en colère le jour du premier Mai, c’est son défilé et le "achetez mon joli brin de muguet" !. Bien sur je ne parle pas du vendeur occasionnel qui bat le pavé depuis quelques heures déjà et qui attend ce jour pas comme les autres puisqu’ il est tolérée de faire quelques sous , sans être traqué par l’impôt sur les grandes fortunes. Mais je fais référence aux militants qui aux premières heures de la matinée vendent du muguet pour motiver leur engagement internationaliste (…)

Au monde libéral de DSK* je persiste et signe à tout saigneur bras d’honneur

Luis LERA
les mystères des peuples d’Aladin. Quand le FMI, nourri de bonnes intentions rend visite au président Tunisien par la personne de son directeur général DSK, je ne peux pas m’empêcher de penser au ton tonitruant avec le quel DSK provoque ses effet d’annonce : « l’économie tunisienne se porte bien » « l’opinion du Fonds Monétaire International sur la politique économique en Tunisie est très positive Nous n’avons pas de craintes pour l’année prochaine même si, à l’échelle de la planète, (…)

Les loups veulent entrer dans Gaza

Luis LERA
La France, l’Europe, les Etat Unis rivalisent de lâcheté, la tête enfoncée dans le sable, et jurent qu’ils n’y peuvent rien. (repetita) Je pense en particulier : à l’Espagne 36/39… à Sarajevo 92/95… à la Palestine 47/2010…et j’en passe. La Palestine historique en chiffres depuis son partage (vote de l’ONU) le 29 novembre 1947. 1947 : 100% 46% pour la Palestine 54% pour le nouvel état Israélien 1967 : = 22% pour la Palestine et passe à 78% pour Israël 2007 : = 9 %pour la Palestine et (…)

"Traumas - ninos de la guerra y del exilio" (un livre de témoignages)

Luis LERA
TRAUMAS comme traumatismes, 34 enfants de la guerre et l’exil Espagnol sont les auteurs des 500 pages de récits d’une imprescriptible mémoire antifranquiste . « De la « graine de Rouge » Franco avait raison nous le haïssions comme la peste… ». Ils ont vieilli en France, au Mexique, en Belgique, en URSS… souvent loin de leur famille, quand il en avaient encore une .Une exploration sans pathos des drames qui ont émaillé leurs vies et qui leur a fourni les forces pour affronter (…)

Le crime était presque parfait

Luis LERA
« Voyageur, il n’y a pas de chemin, le chemin se fait en marchant. » Antonio Machado Pendant toutes ces années de guerre - celles contre le franquisme de 1936 à 1939, celles contre le nazisme de 1940 à 1945 -, François aurait pu s’identifier à l’adage ci-dessus, il avait toujours un chemin de réserve qui conduisait vers la liberté. Il eut maintes occasions, dans son réseau de résistants dont il était le chef, d’explorer toutes les possibilités pour en faciliter l’usage, et contourner ce (…)

La loi du Talion : Deux poids deux mesures

Luis LERA
Nous ne sommes pas très éloignés de ce qui arriva à l’Espagne me commentait François Mazou avec qui je m’entretenais sur les questions de la guerre , en Bosnie et en Palestine… Il y a une réelle difficulté à définir sa pensée sur ce sujet tant on est attendu par la critique qui réagit presque toujours en retour de la façon la plus la plus ostentatoire qui soit et dans une attitude qui renvoie à l’autre en guise de réponse les mensonges les plus invraisemblables. Plus la supercherie est (…)