En vérité, je vous le dis, ces abus doivent disparaître. Une obscénité qui, noyée dans la masse, ne saute pas aux yeux pas dans les grandes cités, c’est la contribution de tous, via les impôts, à cet anachronisme. Dans les villages, en revanche, la loi (scélératissime) impose un quota d’élèves pour ouvrir une école publique, mais aucun pour ouvrir une école privée. Souventefois donc, il n’y a donc qu’une école “privée”, que certains disent “libre” mais que la réalité nous incite à reconnaître comme “confessionnelle”… et subventionnée par la mairie, le département, la région, que sais-je encore. Car les curetons, vous pensez bien, s’en donnent à sacré-cœur joie, c’est même leur domaine de prédilection. Et tous les ans on peut lire dans le bulletin municipal comment nos impôts ont bien alimenté cette archaïque engeance de grenouilles de bénitier et de manipulateurs de jeunes esprits. Une horreur vomitive permanente.
L. A. (Pas simplement “athée”, comme on dirait “apathique” de quelqu’un qui ne va pas bien, non : carrément “antithée”, comme on dirait “antiparasite”.)

Bonsoir
L’occasion que fourni cet article est parfaite pour vous informer de la lutte entre les laïques et les papistes qui a lieu à St Pierre de Colombier et où comme à son habitude l’état français et ses représentants sont aux incompétents présents .
Dans ce hameau ardéchois des papistes rupins ont fait élire avec des faux résidents logés en dortoirs cléricaux un maire à leur botte .
Puis un permis de construire pour une cathédrale genre Yamoussoukro en plein coeur d’un parc régional au grand dam des ardéchois du cru qui se retrouvent bien seuls face à cette secte qui ne dit pas son nom .
Si vous voulez pelleriner avec les intégristes c’est je crois le 14 Décembre .
C’est le même jour qu’une manifestation anticléricale à lieu et où vous êtes invités
Vous saurez tout enlisant la pièce jointehttps://reporterre.net/Une-mega-eglise-pourrait-betonner-un-petit-village-ardechois

Quand on sait à quel point l’État a de plus en plus rendu la formation des maîtres d’écoles inadéquate, et, de fait pratiquement inutile, qu’il a supprimé l’estrade symbolique, qu’il continue à payer les enseignants "du privé" (confessionnels), on peut vraiment se demander quel peut être, ou ne pas être, ce séparatisme, vraiment ?

Bonjour
Voici un nouveau lien si le précédent ne fonctionne pas
C :\Users\frup60981\Desktop\Une méga-église pourrait bétonner un petit village ardéchois.html

Bonjour
Le Dimanche matin du 24 Juin 1984 l’A9 était quasi déserte entre Orange et Lyon mis à part une noria d’autobus affrétée par les papistes ( en fait les associations de parents d’élèves des écoles dites libres ) ( on ne ricane pas ) et transportant à Paris les manifestants contre la loi Savary .
En tête de la manif les Chirac Veil Chaban Giscard .
Mauroy et Savary apprennent le 14 juillet par la télé le retrait du projet par Mitterrand et démissionnent.
Certains disent que le PS est mort ce jour là

Il est regrettable de ne considérer cette question que sous l’angle de la religion.
Beaucoup de Français qui en ont les moyens mettent leurs enfants dans une école catholique, alors qu’ils sont loin d’être pratiquants, d’autres sont même athées.

Ils espèrent tout simplement pour leurs enfants un meilleur encadrement, un meilleur suivi, des enseignants présents et qui terminent les programmes...
Qui ferait le choix d’un bahut bien pourri, avec racket, violences, absences totales de valeurs et niveau scolaire voisin de zéro ?

Pourtant ces établissements existent, sauf pour ceux qui ne veulent pas les voir.

Claire VERIHAC

"Mais en restant vigilants car certains esprits chagrins nous signalent que seule une religion serait visée et pas les deux autres. Mais nous n’osons pas croire à un tel forfait tellement indigne !"

ET POURTANT .... ce que vous appelez "certains esprits chagrins" auraient parfaitement raison . Toute cette mascarade ne vise que l’islam et les musulmans , et vous aussi (l’auteure) , vous le savez très bien et feignez l’ignorer . Tous les membres du gouvernement macroniste qui abordé ce sujet , ont clairement parlé de "séparatisme isalmiste" (Schiappa , Darmanin ...) et n’ont jamais fait la moindre allusion ni au judaisme ni au christianisme.

D’abord, je trouve cet article bien optimiste. Les annonces macronistes, on sait ce qu’elles valent. Et puis, la ligue des culs-bénits va bien se serrer les coude devant cet affront à venir et lui rappeler ses devoirs de bon chrétien, au Chanoine de Latran...

Ah ben, une fois n’est pas coutume, Papa, je suis plutôt d’accord avec toi. Oui, il y a même des musulmans qui mettent leurs gosses dans des écoles cathos. Et puis, tu as raison, je ne crois pas que faire descendre les écoles privées au même niveau que les écoles publiques, ce soit une bonne nouvelle. J’aurais préféré que Macon annonce d’abord une augmentation drastique des budgets et des personnels de l’EN, une refondation des programmes, bref, qu’il vende du rêve à nos gosses...

A ce propos je dirais : il y a loin de la coupe aux lèvres. Et donc attendons pour voir.
Mais qui peut encore prêter le moindre crédit à des propos tenus par Macron aujourd’hui ? Cet individu est capable de dire tout et son contraire dans la même phrase, car il sait que personne ne viendra lui demander explication sur ses discours parfois totalement incohérents, ni lui demander des comptes sur ses déclarations et promesses.

Bonjour, nous ne serions pas en juillet, nous pourrions croire à un poisson d’avril, observons attentivement l’application de cette suppression des enseignements confessionnels et par conséquent ce retour à la laïcité et à la loi de la république sur laquelle s’appuient la liberté, l’égalité et la fraternité !

@papa razzi
« Arguments » souvent entendus mais faux. D’abord l’angle religieux est bien le principal. Ces établissements se revendiquent d’être catholiques et de promouvoir les valeurs qui vont avec. Et de plus en plus puisque les nouvelles directrices qui arrivent ont visiblement été formées à mettre ce caractère le plus en avant possible, du moins dans mon secteur mais on ne doit pas être les seuls. Et quand on les visite on constate les éléments concrets du conditionnement : salle de cathé, crucifix dans les classes, images pieuses le long des couloirs ou escaliers, cour de récré sous la surveillance d’une statue de la Vierge … Quand au niveau, même en sélectionnant les élèves depuis la maternelle il n’est pas meilleur que dans le public, pas plus que « l’encadrement », constat effectué personnellement depuis des années, malgré tous les bâtons mis dans les roues du public pour aboutir à « des bahuts pourris ». C’est sûr qu’on n’a pas le même résultat entre une école qui accueille tous les enfants et une qui conseille gentiment à ceux qui ont des difficultés d’aller dans le public « où on s’occupera mieux d’eux », parole entendue. Mais on pourrait facilement avoir des résultats bien meilleurs s’il y avait la volonté politique de le faire : des instits avec une vraie formation, des effectifs corrects et des locaux adaptés seraient déjà un bon début.

@ Mazig
Bien sur que c’est du second degré et que nous savons tous que seuls l’Islam et les Musulmans sont visés comme d’habitude. Ils l’ont d’ailleurs annoncé comme tel, pas gênés.

Je vois que plusieurs personnes ont pris ce billet au premier degré et ont vraiment cru à la fin des écoles religieuses. J’en suis confuse. Evidemment il n’en n’est rien. Comme toujours ce sont les musulmans qui sont visés. Et je voulais justement montrer que le séparatisme affiché depuis longtemps par les catholiques et celui plus récent des juifs ne posaient pas problème à nos dirigeants indignes.

Euh... Le texte de Claire Vérilhac est au second degré, non ?
Oui, l’école catholique est en plein séparatisme et les parents qui y mettent leurs gosses le font pour les raisons citées par papa et qui sont complètement séparatistes ! Il s’agit de séparer le bon grain de l’ivraie et mettre à part les petits bourgeois des ensauvagés des mauvais quartiers !!
Toutefois, le niveau scolaire n’est pas forcément au rendez-vous. Les enseignants recrutés par l’enseignement catho ont surtout comme critères une souplesse à l’embauche et une endurance aux petites vexations de l’employeur. Les diplômes entamés et pas parachevés peuvent faire l’objet d’une indulgence du moment que l’enseignant sait faire régner l’ordre dans sa classe et parler commercialement aux parents des chers bambins.
Je ne trouve pas que Léa Salamé ni Jean-Michel Blanquer, qui sont des produits de l’éducation en milieu catho dans des ghettos de riches, sachent très bien s’exprimer en français ni avoir une logique ni une éthique remarquables. Souvent, je les trouve nuls. Par contre, sur le conditionnement moral, alors-là oui, il y a incontestablement un résultat. Ce petit esprit étriqué et moraliste de maman Léa est à gerber.
La plupart du temps, les parents inscrivent leurs gosses dans ce but séparatiste de les mettre à l’abri, en sécurité et de les orienter vers un réseau bourgeois mais ne négligez pas que les gosses sont surplombés par un crucifix par classe et une vierge dans la cour donc, fatalement, surtout sur de jeunes esprits, cette pression psychologique engage vers la croyance. Et la croyance sans preuve est la porte ouverte à toutes les crédulités.
Mais le pire c’est les cyniques : ils comprennent assez vite qu’il faut faire allégeance à la croyance tout en continuant les petites manigances du business, comme Sarkozy et toute cette droite d’hypocrites. Ils savent très bien aller à la pêche aux aides publiques, aux classes spéciales et ont obtenu encore plus avec l’abaissement à 3 ans de l’école obligatoire. L’école obligatoire à 3 ans me semble être un exemple de cette restriction des libertés que d’autres ne ressentent que dans le port du maque sanitaire, comme si ça ne suffisait pas de s’enrégimenter à 6 ans pour ceux dont les parents peuvent le leur permettre !

Bonus additionnels : scoutisme, catéchisme, aumônerie. Sans doute que les parents d’élèves qui engagent leurs enfants dans le séparatisme de l’école privée catholique croient que la pandémie est terminée ? Je veux dire la pandémie de pédophilie des prêtres, bien sûr. https://www.youtube.com/watch?v=sMSPWFICAzc

Bravo L.A pour cet antithée ! Il y a longtemps que je cherchais un terme moins "privatif" et plus positif que athée, voilà qui est fait.

Je pense que Claire Vérilhac sera d’accord avec moi pour admettre que son article est si sérieux et convainquant que certains n’y ont pas décelé un très probable second degré.

@l’auteure

Trop de second degré tue le second degré.

@L.A et J.J

Pas d’accord, « antithée » signifie « contre Dieu » et pose donc son existence. « Athée » est imbattable : « sans Dieu ».

@ J.J.
En y regardant de plus près, de manière moins machinale ou automatique, avec recul et attention, on se rend compte que les radis noirs, à leur façon tordue, ont vraiment contaminé aussi, voire d’abord, le vocabulaire. Il est difficile de s’extraire du “on a toujours dit (ou fait) comme ça”, ou du “bof, tout le monde comprend”. Adopter ces expressions consacrées (c’est le cas de le dire) à force de les avoir entendues dans la bouche des cul-bénits, les utiliser couramment comme si c’était naturel, comme si de rien n’était, m’est souvent apparu comme une sorte de soumission inconsciente à « leurs » règles dans « leur » jeu auquel nous serions (tous) enjoints de participer. Combien de termes sont issus de leur fatras verbeux ? Par exemple “fidèles”, “bénédiction”, “hérétiques”, “mécréants”, “anathème”, “païens”, “blasphématoire”, “extrême onction”, etc. (la liste est interminable) ont été forgés uniquement par « eux » (qui-savent-et-qui-jugent) pour désigner, déprécier et exclure « les autres » (qui-sont-dans-l’ignorance-et-le-mal). Mais si l’on est pas de leur secte en quoi devrait-on adopter ce jargon ? Que désignent ces mots en dehors des obsessions maladives de ces aliénés ? Rien. Et pour en revenir au sujet de départ, dire de quelqu’un qu’il est un « sans-dieu » (un athée), c’est considérer qu’il lui manque quelque chose, à l’instar d’un sans-abri, d’un sans-papiers, comme si, à l’inverse, être un « ayant-dieu » allait tellement de soi que, pour le coup, il n’y a jamais eu aucun mot pour le dire.
L. A. (Pas non plus “piéton” même si la bible des automobilistes [des “carossetons” ?] désigne ainsi, telle une espèce déviante, ceux qui marchent sur leur jambes.)

Tout à fait @L.A. ! J’ajouterai cette maladie des journaleux qui disent "François" comme s’il allait de soi que tout le monde est le disciple du pape et son copain. Il faut dire, pour faire du journalisme et non de la profession de foi, "le pape François". Il s’agit d’un statut , d’une position, mais en aucun cas une allégeance à l’ordre établi par une Eglise qui a métastasé sur toute la planète. Les journaleux doivent intégrer la possibilité que des êtres humains n’y adhèrent pas ! Or, tous ces gamins qu’on met désormais à l’école privée catholique pour les préserver des gueux mal embouchés dont le débouché naturel est l’école publique dans un pays laïc, est-ce qu’on leur laisse percevoir qu’il existe un autre monde en dehors des murs de l’école catholique et une république sans dieu et sans soumission au pape ?
Il est fort possible que toutes ces nouvelles recrues des radios et télés soient les fruits des écoles privées dont le succès est grandissant (par une dynamique commerciale incessante de la part des directions d’établissement).

@jj
Il ya peut-être une solution. A l’âge de 20 ans tout de go j’avais déclaré à ma mère "Dieu, je le néantise", affirmant ainsi clairement le côté actif et positif de ma démarche. Ainsi, même si "pour certains autres" il existait, pour moi non, et on n’avait même plus besoin d’y revenir. C’est pourquoi de la même façon le mot "blasphème" n’existe pas, le mot "croire" non plus, et beaucoup d’autres. D’ailleurs, je me suis soudain soulagé d’un grand poids. Le poids de vingt ans d’obligations sourcilleuses, d’esclavage de la pensée.
.
Comme j’ai déjà dû le dire, j’ai passé toutes ma scolarité secondaire chez des religieux. Je connaissais par cœur leurs arguments, et j’avais conclu qu’ils ne valaient rien. La suite de la vie n’a pu que confirmer ces positions prises à la sortie de l’adolescence. Au moins ces hommes en soutane m’avaient-ils appris à penser par moi-même, ce qui est important.

Xiao Pignouf et L.A.
Bien sûr antithée n’est peut être pas pleinement satisfaisant.
En réalité il faudrait trouver un terme simple signifiant l’idée : je nie l’existence, l’idée même d’un dieu quelconque.
Le concours est ouvert.

Parfois je me pose la question : que sont devenus tous ces dieux antiques et démodés ? Osiris, Zeus, Cernunnos, sont ils en EPAD ?
Et Aphrodite, et Junon, on n’en entend plus parler de leurs exploits. Et ceux, incomplets, les prolos de l’Olympe, qui n’avaient droit qu’à la promotion divine de demis dieux ?

Pourtant il y eut des peuples qui y ont cru "dur comme fer" .Nous n’aurons pas la patience ni la possibilité d’attendre que tout ce panthéon hébraïcomusulmanochrétien soit devenu obsolète, ouvrant un belle carrière aux inventeurs et escrocs en tout genre qui trouveront sans doute un public encore prêt à gober de nouvelles carabistouilles.

@ Xiao Pignouf
Preuve s’il en fallait que leur logorrhée nous circonvient de façon subliminale : « sans dieu » pose tout autant l’existence du divin, que l’athée ose contenterait d’esquiver. Et l’on peine à trouver un terme concis qui signifie précisément « opposé à ces croyances parce que nuisibles ». C’est le sens que je pensais exprimer avec « antithée » (« opposé à la croyance au divin et la soumission à cette croyance »). Mais vous avez raison, ce n’est pas adéquat, car ambigu comme votre remarque le montre.
L. A. (qui reconnaît sa faute, sa très grande faute : antithée est effectivement trop restrictif.)

Depuis une quinzaine d’années les écoles catholiques, ainsi que les radios catholiques, et la télé KTO, font une sérieuse remontée. Elles s’y emploient avec constance et détermination. Sur le plan législatif, elles obtiennent des décrets favorisants et sur le plan commercial, elles pratiquent une publicité systématique et sans vergogne. D’ailleurs on voit chez certains commentateurs comment cette publicité a bien prospéré dans leur pensée. (Publicité couplée au dénigrement de l’école publique bien entendu). Faudrait pas croire que ça n’aura pas un impact idéologique sur la population, y compris celle qui met ses gosses chez les curés parce que ça leur semble plus propret que dans les collèges et lycées publics sans que ce soit un acte de foi religieuse. Petit à petit, l’esprit se laisse gagner. C’est inéluctable.
Et c’est le basculement dans les dogmes religieux, l’aumône, les fondations, bref le modèle américain ! La fameuse "liberté" compensée par la charité au compte-goutte, l’ordre établi, l’assujettissement, la croyance, le droit des "fin de vie" à crever pour laisser aux bien-portants la liberté de s’étaler sans gêne, tout le contraire du communisme ou de l’Anarchie que nous chérissons au GS.

Xiao et L.A. On pourrait peut être tout simplement, comme je le fais depuis longtemps, parler de Penseur Libre, en opposition à une doctrine imposée(et non Libre Penseur qui est connoté). C’est plus positif que le A privatif ou anti.

Je constate que, parmi ceux qui rejettent l’emprise des religions, on trouve beaucoup d’anciens élèves d’institutions confessionnelles (dont je fus, brièvement heureusement) et venant de familles plutôt "ultra".
Je me suis empressé d’ailleurs, dès que je l’ai pu, de me faire débaptiser, "rayer des contrôles", pour ne plus être considéré comme appartenant à cet engeance.

@ J.J
Curieux ! Moi aussi sorti d’une famille très "là-dedans" et d’écoles confessionnelles, je me suis empressé de choisir tout autre chose. Et moi aussi je me suis fait désinscrire, c’est bon pour les statistiques. Il y en a peut-être bien plus qu’on ne le pense, de ces personnes qui, précisément parce qu’elles ont été éveillées dans des écoles dites "libres", ont pris une tout autre direction ensuite. Il est vrai qu’on y apprenait à réfléchir par soi-même, pour eux c’était le risque !

Le financement avec mes impôts d’écoles privées confessionnelles est une injure à mes convictions athéistes profondes qui prive de moyens la seule école qui vaille, la publique.
Et un grand merci au pompeux machiavel de jarnac qui ne fit pas que tromper généreusement la tatie danielle et user des moyens de l’Etat pour couvrir le fruit des ses coucheries, il livra aussi la France aux forces du marché, du libéralisme et de l’UE. S’il crût aux forces de l’esprit pas moi. Dommage je pourrais l’imaginer rôtir à sa place en enfer pour lui un enfer obligé de vivre parmi le commun des mortels loin des mondanités germanopratines, l’horreur.

Ah que fleurissent et poussent ces myriades de nouvelles écoles coraniques en France. On veut tuer la vipère tandis qu’on ne voit pas l’invasion de crotales.

Et si vipères et crotales étaient en train de se positionner face à face dans un sympathique rapport frontal ? Et si chacun recrutait ses troupes ?

Depuis la déchristianisation entamée en 1793-94 jusqu’à nos jours on constate pourtant que le christianisme se maintient dans certaines couches de la population.
Gramsci reconnaissait la puissance organisatrice de l’église qui a travers tous les aléas de l’histoire a su maintenir par différents moyens sa liaison entre ses "intellectuels" et les "simples’".
Sachant qu’une pratique sociale progressiste jointe à une vision religieuse théorique est contradictoire,elle a été et est cependant assumée par un grand nombre de personnes.
Il faut dire que le communisme réel n’a pas résolu cette possible fusion entre théorie et pratique pour en faire une unité,une nouvelle conception du monde.
La Russie orthodoxe endormie est en pleine renaissance et en Chine on "réveille" Confucius.La situation est plus complexe chez eux vue leur tradition multireligieuse.....
Notre champion athée toutes catégories Onfray est pourtant incapable de prendre une position claire en politique.Il reste cloitré dans sa "qualité" philosophique mais n’a pas de relation positive avec la "quantité" (le peuple).
Comme quoi se dresser sur ses "ergots laÏques" ne donne pas un certificat de clairvoyance politique.

Je laisse de côté l’Islam,ce continent inconnu de la plupart de nos concitoyens.
Quant à la suppression des crédits publics à l’enseignement privé je l’approuve absolument mais ce sont pas mal de nos leaders de gôche entre autres qui vont faire la gueule !!

Alamut :
Je laisse de côté l’Islam,ce continent inconnu de la plupart de nos concitoyens.

Celle-là, c’est la meilleure...

Il faut reconnaître que les religions n’ont pas leur pareil pour l’encadrement des grands événements comme les enterrements par exemple. Puis mariages et naissances... Ils sont imbattables, on est obligé de le leur concéder.
Inventer des rituels alternatifs exige un immense effort, une mise en oeuvre d’énergie contre l’inertie. Tout est tellement plus facile quand on est dans les clous