La jungle

De même que le sang attire et rend fou les requins et les fauves, l’argent, les privilèges et la notoriété, rendent fous les politiciens, les rendant capables des pires infamies, trahisons, renoncement,… et cela dans tous les camps susceptibles d’accéder au pouvoir.

Au vu des comportements de la classe politique il faut avoir l’estomac bien accroché pour ne pas avoir envie de vomir… et je ne parle pas de voter.

Entre «  parachutages », exclusions et dissidences quelle que soit la formation - qui a des chances d’avoir des élus - le spectacle est affligeant d’indécence et de bêtise.

LE BAL DES ARRIVISTES ET DES MEDIOCRES

La préparation des élections législatives donne un spectacle digne du «  bal des vampires  »… Tous les coups sont permis, et sous les sourires hypocrites réservés aux médias, les coups bas se multiplient, les déclarations assassines, les ambitions plus ou moins affublées d’oripeaux démocratiques, sociaux et humanistes se déversent dans un marigot répugnant de prétentions illégitimes.

Avez-vous entendu parler à propos de conflit dans un même camp de divergences programmatiques importantes ? De questions d’éthique qui feraient problèmes ? De désaccords sur des mesures essentielles à prendre ? Non bien sûr ! Tous cela est secondaire au regard des ambitions personnelles.

Par contre, écoutez bien, c’est souvent en subliminal, vous n’entendez que récrimination, trahison, ambition, félonie, indiscipline, chasse gardée, place réservée, promise, tradition familiale (népotisme «  démocratique »),…

Et le Front National n’est pas le dernier agir de la sorte, lui qui renifle l’odeur enivrante de plus en plus forte du pouvoir, écume les bas fonds de la fange de ses partisans les moins scrupuleux pour se lancer dans une arène qu’il n’a de cesse de dénoncer au nom d’une éthique qui lui est totalement étrangère,… l’Histoire l’a mainte fois démontré.

Bien sûr, les bon esprits et les «  républicains » bon teint vont rétorquer, «  ils ne sont pas tous pareils », «  ce sont des exceptions » !... Peut-être, mais ce sont ces exceptions qui définissent la règle générale. La voracité à l’égard du pouvoir, des privilèges et de la notoriété, rythme ce que l’on nous vend comme du «  fonctionnement démocratique ». Ce ne sont pas les «  petits candidats » qui font problème, mais les grands prédateurs (et leurs laquais), qui squattent le pouvoir… les premiers ne sont que les cautions démocratiques des seconds.

Le carburant de fonctionnement des moteurs des partis politiques ne sont ni les idées, ni les projets, encore moins l’éthique - ça se saurait depuis le temps ! - mais l’ambition.

LES PARTIS, SYNDICATS D’INTERET

Le drame dans cette affaire, ce sont les partis. Les partis politiques qui ne sont pas à leur place, qui usurpent des fonctions et qui finalement confisquent la démocratie, la vraie, pas celle qu’ils fabriquent, dans leurs orgies bureaucratiques, pour leurs propres intérêts, mais celle qui consisterait à avoir comme seul objectif, les intérêts de la population.

Qu’il existe des groupes, des associations, brefs des partis qui regroupent des individus en fonction de leurs opinions communes, ceci est parfaitement sain sur un plan politique. Que ces mêmes partis participent, incitent, aident, favorisent la réflexion citoyenne, ceci est encore plus sains sur le plan politique.

Mais que ces mêmes partis confisquent le pouvoir,au nom,… au nom de quoi d’ailleurs ? Ceci est extrêmement dommageable sur le plan politique et détruit à terme - ce que nous vivons aujourd’hui - l’essence même de la citoyenneté.

Instrument de pouvoir et instrument d’accès au pouvoir, le parti politique change sa vraie nature. D’un lieu de réflexion, il devient un moyen de promotion sociale, et entraîne dans son sillage toute une faune d’arrivistes, d’incompétents, de médiocres qui fondent leur légitimité sur la veulerie, l’obéissance et les courbettes aux chefs… Des noms ? Il suffit de regarder la télévision.

Toute cette fange qui se bouscule au portillon du pouvoir, est souvent prête à changer d’étiquette si son ambition n’est pas satisfaite… des noms ? A utiliser n’importe quel argument pour justifier son maintien… des noms ? ou pour prendre la place d’un autre… des noms ?

Les décisions bureaucratiques, généralement prises à Paris, sont imposées aux subordonnés qui doivent céder au nom des intérêts supérieurs du parti. L’exclusion, forme d’excommunication, frappe les indisciplinés.

ET LE PEUPLE DANS TOUT CA ?

Tout ces gens là , évidemment s’en foutent,… il ne constitue qu’une masse de manoeuvre pour réaliser les ambitions personnelles et faire perdurer un système qui les engraisse (voir leurs revenus, leurs privilèges, leurs avantages en nature,…).

Il est d’autant moins bien considéré que systématiquement il renomme les mêmes individus qui le grugent. Quel crédit peut avoir le peuple pour ces ambitieux quand ils savent que l’on peut le manipuler, lui mentir, lui raconter n’importe quoi… et que généralement il le croit.

Ce système pervers, dit démocratique, et on le voit en Grèce, en Espagne et à peu prés dans toutes les «  grandes dites démocraties », a réduit le peuple à une masse ballottée par des mystificateurs qui, sans scrupules, promettent des choses dont on sait qu’ils ne les tiendront pas. Les candidats parlent d’ailleurs, sans ambiguïté, de «  leurs électeurs » comme de leur cheptel. Et ils savent qu’effectivement ils sont de fait «  captifs », par leur culture, leurs habitudes, leurs croyances, leurs ignorances. Les changements majoritaires de couleurs ne se font qu’à la marge, sans rationalité, où la séduction et la démagogie, voire l’intérêt personnel, l’emportent sur la réflexion.

La «  peur du vide » qui habite le peuple, consciencieusement entretenue par les politiciens, incite les plus réticents à faire le pas et à aller donner leurs suffrages à celles et ceux qui en ont absolument besoin pour exister et réaliser leurs ambitions. Ils qualifient pompeusement cela de «  devoir citoyen », et ils se forgent ainsi une «  légitimité » qui excusera toutes les trahisons et dérapages.

Enfin le peuple croit que ces élus dirigent les affaires du pays,… ce qui est faux. 80% de la législation échappe aux députés,… quand on leur demande des comptes ils n’ont qu’un seul mot : c’est Bruxelles ! où là aussi ils font leurs choux gras. Les marchés financiers auxquels ils sont intégralement soumis et la puissance des lobbys, qui souvent les arrosent, constituent le véritable pouvoir.

La mystification est complète et renforcée par un discours tant hypocrite que larmoyant quand ils évoquent «  celles et ceux qui sont morts/es pour le droit de vote » … comme s’ils étaient morts pour que des profiteurs puissent se gaver en toute impunité et mènent depuis un siècle et demi les peuples à la catastrophe.

Ainsi va le vaisseau bancal de la citoyenneté, naviguant sur une mer de promesses et poussé par le vent de l’espoir. L’équipage est sûr de son impunité et sait quitter le navire en cas de catastrophe. Que crèvent les passagers !

Tant que ce système pervers continuera, nous continuerons à aller vers la catastrophe… la montée de l’extrême droite en est un indicateur. Une fois au 20e siècle ce système nous y a conduit,… on n’en a tiré aucune leçon,… on recommence les mêmes erreurs que par le passé.

Les mois qui viennent vont nous le démonter… demandez dès à présent aux Grecs, demander demain au Espagnols ! Notre tour va venir et on sera tous surpris !

Patrick MIGNARD

COMMENTAIRES  

03/06/2012 10:39 par fred.d

Tu regardes trop la télé !

03/06/2012 11:37 par Geb.

Pourquoi ???

C’est à la télé qu’on lui a montré tout ça ???

On doit pas voir la même.

Dis plutôt qu’il a pris la "bonne" pilule. La rouge. Celle qui permet de voir le Monde tel qu’il est et que les gens comme toi ont permis de faire et maintenir ainsi.

Et que toi tu prend la rose tous les jours et que ça te rassure.

Personne ne t’en veux.

On ne peux en vouloir aux esclaves inconscients

Les meilleurs esclaves ce sont ceux qui ne savent pas qu’ils le sont. ((- :

Continue à rêver.

Geb.

04/06/2012 00:03 par fred.d

C’est un peu ça l’effet télé, ça se reconnait quand quelqu’un prend une ligne de commentaire, une remarque, voire une photo dans certains cas, et en tire un roman, une histoire, un film, une suite de suppositions prises comme argent content, sans aucun fondement étayé bien sûr, à quoi ça sert ? (Est-ce que les télé ont besoin d’étayer leurs assertions, non. Elles font de la communication, pas une preuve par 8...)

04/06/2012 04:38 par ADSKIPPY

"ET LE PEUPLE DANS TOUT CA" ?

Ainsi que les Généraux meurent de vieillesse dans leurs lits douillets, tandis que leurs soldats gisent dans la boue des champs de bataille, aussi bien les privilégiés restent biens a l’aise, enveloppé dans leurs opulence, tendis que le peuple souffrent la misère.

Au nom de quelle principe morale sacre est ceci possible ? Pourquoi est il que le soldat tout comme le peuple peuvent êtres considérés que comme victimes négligeables, des circonstances ?.

Que des questions et encore des questions !!

04/06/2012 07:14 par Michail

"La Nouvelle Démocratie et le Pasok se sont fait sortir après avoir pillé le pays, parce qu’ils ont tenté que le peuple et le pays se rende, poings et pieds liés aux créanciers, parce qu’ils représentent et symbolisent un mode de gouvernance qui a moralement et politiquement échoué."

Alexis Tsipras le 03 juin 2012. (Journal Kathimerini)

04/06/2012 20:27 par Spartacus

A dire si peu sur cet article, on sait qui regarde trop la télé entre Patrick Mignard et fred.d.
P.Mignard met des mots sur la réalité. Réalité que trop souvent on oublie trop occupé à gérer les petits tracas quotidiens du bon citoyen asservi. Tout y est très bien énoncé.
«  Notre tour va venir et on sera tous surpris ! » me fait penser que contrairement à la rumeur répandue, le capital est loin d’être mort. Je pense au contraire qu’il met en scène son déclin, nous fait croire à sa mort imminente. Il fait peur pour que les peuples demandent eux-mêmes plus de sécurité, non seulement sur leurs visions d’avenir, mais aussi concrètement dans leur vie de tous les jours. Le capital met en place la docilité des peuples et le fascisme nécessaire à son ascension en éloignant les éventuelles forces qui pourraient nous mettre sur un autre chemin.

Les peuples prennent l’habitude d’avoir peur et deviennent de plus en plus docile.
Les Grecs, Espagnols, Portugais, etc... tous se soumettront à la force du capital.
Même si il y a des reprises en main populaire comme avec Syrisa qui feront croire une fois de plus à un espoir, la finalité sera que de toute façon le fric aura le dernier mot. Parce que nous sommes tous asservis au dieu argent, élevés dans son culte et pour son culte.

Alors on peut passer sa vie dans l’espoir et arriver à la veille de sa mort et s’apercevoir que rien n’aura changé. C’est à croire que l’homme doit être fait pour demeurer sous l’emprise du plus fort. Cela doit être instinctif, le plus fort est celui capable de nourrir et de protéger la tribu.
Je ne pense pas que tous ceux qui écrivent pour dénoncer le système du capital aient profondément envie d’un réel changement. Ils cachent derrière leurs mots, leurs lignes et leurs paragraphes la peur de l’affrontement nécessaire pour un éventuel bouleversement. Il manque un quelque chose de fédérateur entre nous tous. Cela souligne la pénétration en chacun de nous des maux du capital.
Avec un capital équipé de politiciens véreux et cupides (tous sans exception, celui qui site un contre exemple doit réfléchir à la réelle sincérité de ses propos), de pouvoirs sécuritaires qui ne peuvent qu’être qu’à son avantage, ce n’est pas uniquement avec des mots et du blabla que les choses vont changer.

L’homme-esclave occidental se complaît dans sa vie, il se pavane de ses petits conforts acquis sur le dos des peuples du tiers-monde sur lesquels les pantins, qu’il prend soin d’élire pour essayer de caresser le sentiment de se sentir de temps en temps libre, exercent la tyrannie la plus sordide.
Il se complet de sa vie planifiée dès sa naissance par les financiers qu’il envie et respecte toute sa vie durant.
Les yeux brillants, il se délecte de tous les produits et gadgets vendu par ses bourreaux et qui lui apporte de futiles émotions qu’il prend soin de transmettre à ses enfants qui ainsi drogués, perpétueront le système.
L’homme-esclave occidental se prélasse dans son petit confort loin du monde encore plus soumis qui lui sert à la fois d’usine et de décharge.
Il vit sa vie, son confort et toutes les émotions qui s’y rapportent sur la vie d’autres personnes nés dans le même monde mais pas dans le même pays.
Comble du ridicule l’homme-esclave occidental, pour se donner bonne conscience et se rassurer sur la loyauté de son existence, voue un culte religieux ! Et il croit fermement qu’il est plein de bonté et de compassion pour son prochain. Alors qu’il vit sa vie grâce à l’assassinat organisé d’autres personnes, des adultes comme des enfants.
Ce lien, pourtant direct est habilement masqué et tenu ainsi éloigné de la pensée de l’homme-esclave occidental qui hypocritement s’en facilite l’oubli.
Oui, il est très occupé, il a plein de produits à consommer alors les gens qui sont pauvres, les gens qui crèvent de faim, les guerres qui font les gamins massacrés et les femmes violées, tous, lui semblent le faire exprès de vivre de cette façon et il oublie vite que tout est causé par ses propres conditions de vie et par son oligarchie.
L’oligarchie se fait un plaisir malsain de lui faire croire en sa chance de son état présent. Le tiers-monde lui sert aussi à l’asservissement de l’homme-esclave occidental comme le clochard sert aux parents à montrer aux enfants de ce qu’il adviendrait de lui si l’envie leur prenait de ne pas travailler à l’école ou de suivre un autre chemin.
L’homme-esclave occidental non croyant se dote d’une pensée «  bobo » pour se faire croire à lui même qu’il est compatissant et qu’il a bonne conscience avec ses propres victimes. Hypocrite comme personne, il s’engage dans des luttes «  vertueuses » de l’interdiction de la chasse à la baleine aux dons alimentaires contre la famine alors que sa façon de vivre, les pantins qu’il élit, les produits qu’il consomme, sont les choses qui causent ces effets.
L’homme-esclave occidental est malade psychologiquement, atteint par la cupidité, drogué et gavé de produits en tout genre dont la possession lui rendent l’oeil brillant. La brillance de l’avarice mais pas celle de la liberté.
Il veille par-dessus tout à ce que ses rejetons suivent le même parcours. Si ces derniers dévient quelques peu de la sainte route souhaitée, cela apporte un peu de frayeur aux parents-esclaves et anime un peu leur vie. Frayeur bien futile car quelle importance que le rejeton soit balayeur ou médecin ? Quoiqu’il fasse la seule différence sera pécuniaire, dans tous les cas il sera comme ses parents, esclave et malade.
L’homme-esclave occidental est devenu un véritable animal d’élevage. Atone socialement, on l’attire vers des produits qui lui créent encore d’autres faux-besoins. Il s’aveugle la conscience tant son esprit est gavé de désir matériel.
Toute sa vie durant, tel des poulets industriels, il est alimenté avec une nourriture contenant des poisons (mais rentable pour ses bourreaux) qui le rendent malade. Il passe le tiers de sa vie restante à se perfuser de médicaments (dont l’achat rapporte à ses bourreaux.). Sa nourriture ingurgitée jusqu’à plus faim, tous les produits achetés stockés, quand ils ne sont pas jetés, le rendent envieux, stupide et asservis. Ils détruisent sa propre planète mais l’homme-esclave occidental continue sa longue décadence que ses éleveurs lui font croire être le progrès. Ce n’est pourtant que sa mise en boîte.
Il est devenu une machine, un gros cube-machine qui avale les kilomètres et les tonnes de produits, de nourriture que son esprit manipulé depuis sa naissance lui ordonne d’avaler. Quitte à s’en rendre malade et à perdre tout sens de la réalité, il est devenu une simple chose dont le capital fait ce que bon lui semble. Le désir d’argent coule dans ses veines, son esprit se focalise sur l’avidité et la cupidité. Tout le reste est passé à la trappe, aux oubliettes, le capital a fermé à clés.
Alors comment faire pour que des zombies se révoltent ?
Certains basent leur espoir sur l’émergence de pantins généralement de gauche, que ce soit en France ou en Grèce ou sur le vote «  non » des Irlandais au traité européen.
Ce qu’ils ne veulent pas comprendre, c’est que de toute manière l’oligarchie et le capital aura le dernier mot. Alors, on peut souhaiter et attendre des manifestations même massives pour encore èspérer mais, à la fin, les négociations se feront avec l’oligarchie et celle-ci influence toujours la suite en sauvant le capital. L’oligarchie aura toujours le dernier mot car de toute façon elle a les pouvoirs répressifs avec elle. On ne fait que du match de football peuple-capital et au coup de sifflet final, on s’aperçoit qu’on est toujours sur le même terrain et que chacun rentre tranquillement aux vestiaires.
Le peuple ne manifeste plus que pour se persuader d’avoir fait plier tel ou tel gouvernement, alors qu’il devrait se révolter, et écarter définitivement les criminels du pouvoir. Il serait grand temps qu’il se lève et qu’il chasse tous ces criminels et voyous qui l’asservisse.

04/06/2012 21:11 par Geb.

C’est un peu ça l’effet télé, ça se reconnait quand quelqu’un prend une ligne de commentaire, une remarque, voire une photo dans certains cas, et en tire un roman, une histoire, un film, une suite de suppositions prises comme argent content, sans aucun fondement étayé bien sûr, à quoi ça sert ? (Est-ce que les télé ont besoin d’étayer leurs assertions, non. Elles font de la communication, pas une preuve par 8...)

Un peu comme toi quand comme réponse argumentée tu te contentes de poster une seule phrase daidaigneuse comme : "Tu regarde trop la télé", à celui dont tu n’apprécies pas le post.

Quant à "l’argent content", dont tu parles j e suis senchanté qu’il le soit ; pour toi... et surtout pour lui. ((- :

Chez moi l’argent lorsqu’il n’est pas suffisamment "présent" est rarement "content", mais plus certainement "comptant".

Alors ça, par contre, à la télé pour les gosses il y a de très bonnes émissions qui enseignent la grammaire de la langue française.

Dommage que tu ne les regarde pas plus.

Geb.

04/06/2012 21:48 par Yannik

04/06/2012 à 20:27, par Spartacus

Les Grecs, Espagnols, Portugais, etc... tous se soumettront à la force du capital.

Même si il y a des reprises en main populaire comme avec Syrisa qui feront croire une fois de plus à un espoir, la finalité sera que de toute façon le fric aura le dernier mot. Parce que nous sommes tous asservis au dieu argent, élevés dans son culte et pour son culte.

C’est clair que ce n’est pas en tenant des propos si défaitistes que l’on peut parvenir à quelque chose ! Notez que c’est précisément la thèse que les médias propagandistes que vous critiquez chechent à vendre... Et pour ce qui serait du fait que "nous serions tous asservi au dieu argent", vous parlez pour vous peut-être, je ne vois pas bien de quel droit vous pourriez parler au nom de quelqu’un d’autre.

05/06/2012 02:19 par ADSKIPPY

@Spartacus,

Une dissertation, très passionnée, sur la condition humaine !!

"Alors comment faire que les "zombies" se révoltent ?

Peut-être, si tu y mettais autant de passion en participent activement et de manière constructive avec les "Zombies", au lieu de te barricader derrière un pessimisme "nihiliste", tu y trouveras des réponses et plus de sérénité.

"Les simples spectateurs ne sont que les témoins et non pas les acteurs de l’histoire !( )

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