40 

Liste des soutiens d’Emmanuel Macron, le candidat du Parti de la presse et de l’argent (PPA)

Ruptures (mensuel)

La liste des soutiens d’Emmanuel Macron que nous proposons ci-dessous n’est pas exhaustive mais elle est à notre connaissance la plus complète disponible à ce jour. Les personnalités sont classées par catégorie (« Patrons et banquiers », « Responsables politiques », etc.), puis par ordre alphabétique. Les possédants, que leur capital soit prioritairement économique, politique ou culturel, sont, sans surprise, en bonne place…

Patrons et banquiers

Loïc Armand (président de la commission Europe du MEDEF et de L’Oréal France)
Bernard Arnault (1ère fortune française – 11e mondiale –, PDG et principal actionnaire de LVMH, propriétaire du Parisien-Aujourd’hui en France et des Échos)
Pierre Bergé (363e fortune française, homme d’affaires, mécène, copropriétaire du groupe Le Monde)
Vincent Bolloré (10e fortune française, industriel, actionnaire principal de Vivendi et du groupe Canal+)
Yannick Bolloré (PDG d’Havas, membre du conseil de surveillance de Vivendi)
Alexandre Bompard (PDG de la FNAC-Darty)
Didier Casas (directeur général adjoint de Bouygues Telecom, conseiller d’Emmanuel Macron)
Patrick Drahi (5e fortune française, président d’Altice, principal actionnaire de SFR Group, qui possède Libération et L’Express)
Thomas Enders (PDG d’Airbus)
Pierre Gattaz (président du MEDEF)
François Henrot (banquier d’affaires, ancien bras droit de David de Rothschild)
Henry Hermand † (305e fortune française, président de la société d’immobilier commercial HH Développement, parrain d’Emmanuel Macron en politique)
Arnaud Lagardère (305e – ex aequo – fortune française, directeur du groupe Lagardère, propriétaire du Journal du dimanche)
Pascal Houzelot (propriétaire de la chaîne Numéro 23, membre du conseil de surveillance du Monde)
Bernard Mourad (ex-banquier conseil de Patrick Drahi et ancien de la banque Morgan Stanley, conseiller spécial d’Emmanuel Macron)
Xavier Niel (9e fortune française, actionnaire majoritaire d’Iliad, maison-mère de Free, copropriétaire du groupe Le Monde)
Laurence Parisot (ancienne présidente du MEDEF)
Claude Perdriel (363e fortune française, industriel, homme de presse, propriétaire de Challenges)
François Pérol (banquier, président du groupe BPCE, ancien conseiller économique de Nicolas Sarkozy)
Matthieu Pigasse (banquier d’affaires, directeur de la banque Lazard en France et responsable des fusions-acquisitions au niveau mondial, copropriétaire du groupe Le Monde)
Stéphane Richard (PDG d’Orange)
Marc Simoncini (326e fortune française, entrepreneur, fondateur de Meetic)
Bernard Tapie (400e fortune française, homme d’affaires, ancien ministre PS sous François Mitterrand).

Responsables politiques et hauts fonctionnaires

Leila Aïchi (sénatrice écologiste)
Gérard Araud (ambassadeur aux États-Unis, ex-représentant de la France à l’ONU)
Aline Archimbaud (sénatrice écologiste)
Kader Arif (député PS, ex-secrétaire d’État aux Anciens combattants)
Jean-Marc Ayrault (ministre des Affaires étrangères, ancien Premier ministre)
Jean-Michel Baylet (ministre PRG de l’Aménagement du territoire, PDG du groupe La Dépêche)
François Bayrou (président du MoDem, maire de Pau)
Aurore Bergé (ex-LR, membre d’En marche)
Emmanuel Bonne (ambassadeur au Liban)
Jean-Louis Borloo (ancien ministre sous Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, fondateur de l’UDI)
Thierry Braillard (secrétaire d’État chargé des Sports dans les gouvernements Valls 1 et 2, puis Cazeneuve)
Patrick Braouezec (ancien député-maire PCF de Saint-Denis, vice-président de la Métropole du Grand Paris)
Christophe Caresche (ancien député PS)
Christophe Castaner (député PS, porte-parole d’Emmanuel Macron)
Thomas Cazenave (ex-directeur de cabinet d’Emmanuel Macron au ministère de l’Économie, secrétaire général adjoint de la présidence de la République)
Jean-Pierre Chevènement (
Daniel Cohn-Bendit (ancien député européen écologiste)
Gérard Collomb (sénateur PS, maire de Lyon)
Jean-Claude Cousseran (ex-directeur de la DGSE, ancien ambassadeur en Syrie et en Égypte)
Bertrand Delanoë (ancien maire PS de Paris)
Muriel Domenach (ex-consul à Istanbul, directrice du Comité interministériel de la prévention de la délinquance et de la radicalisation)
Philippe Douste-Blazy (ancien ministre dans cinq gouvernements RPR/UMP)
Myriam El Khomri (ministre du Travail)
Richard Ferrand (député et conseiller régional PS rallié à Emmanuel Macron, secrétaire général d’En marche)
Jean-Louis Gagnaire (député PS)
Sylvie Goulard (députée européenne MoDem)
François Hollande (président de la République)
Robert Hue (sénateur, président du Mouvement des progressistes, ancien secrétaire national puis président du PCF)
Jean-Pierre Jouyet (secrétaire général de la présidence de la République, ancien président de l’autorité des marchés financiers, secrétaire d’État aux Affaires européennes des gouvernements Fillon I et II)
Patrick Kanner (ministre de la Ville)
Alexis Kohler (ancien directeur de cabinet d’Emmanuel Macron à Bercy, ex-numéro 2 du cabinet de Pierre Moscovici au même ministère)
Bernard Kouchner (ancien ministre PS dans les gouvernements Bérégovoy, Jospin et Fillon I et II)
Jean Launay (député PS)
Aurélien Lechevalier (ex-conseiller diplomatique d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris, ancien conseiller culturel à Beyrouth, conseille diplomatique d’Emmanuel Macron)
Jean-Yves Le Drian (ministre de la Défense)
Jean-Marie Le Guen (secrétaire d’État chargé des Français de l’étranger et du Développement de la Francophonie)
Corinne Lepage (ancienne ministre écologiste des gouvernements Juppé I et II, présidente de Cap21)
Nathalie Loiseau (directrice de l’ENA, ex-directrice générale du ministère des Affaires étrangères, proche d’Alain Juppé)
Alain Madelin (ancien ministre dans les gouvernements Chirac II, Balladur et Juppé I)
Christophe Masse (conseiller général PS des Bouches-du-Rhône, désormais membre d’En marche)
Juliette Méadel (secrétaire d’État chargée de l’Aide aux victimes)
Antoine Michon (chef de la division « climat et environnement » au ministère des Affaires étrangères)
Pierre Moscovici (commissaire européen aux Affaires économiques, membre du PS)
Guillaume Ollagnier (directeur adjoint du cabinet de Jean-Marc Ayrault au ministère des Affaires étrangères)
François Patriat (sénateur PS)
Dominique Perben (ancien ministre des gouvernements Balladur, Juppé II, Raffarin I, II et III, et Villepin)
Bernard Poignant (proche conseiller de François Hollande, ancien maire PS de Quimper)
Barbara Pompili (secrétaire d’État chargée de la Biodiversité, membre du Parti écologiste)
François Rebsamen (maire PS de Dijon, ancien ministre des gouvernements Valls I et II)
François de Rugy (vice-président de l’Assemblée nationale, président du Parti écologiste)
Dominique Tiberi (conseiller de Paris)
Jean Tiberi (ancien maire RPR de Paris)
Xavière Tiberi (respectivement mère et épouse des deux précédents)
Manuel Valls (député PS, ancien Premier ministre)
Hubert Védrine (diplomate, ancien ministre du gouvernement Jospin)
Olivier Véran (ancien député PS, neurologue, référent santé à En marche)
Dominique de Villepin (ancien Premier ministre de Jacques Chirac, ministre dans les gouvernements Raffarin I, II et III).

Responsables politiques étrangers (la plupart ont manifesté leur soutien après le 1er tour)

Joschka Fischer (ancien ministre des Affaires étrangères allemand)
Sigmar Gabriel (ministre des Affaires étrangères allemand, vice-chancelier)
Paolo Gentiloni (président du Conseil des ministres italien)
Jean-Claude Juncker (président de la Commission européenne)
Angela Merkel (chancelière fédérale d’Allemagne)
Charles Michel (Premier ministre belge)
Barack Obama (ancien président des États-Unis d’Amérique)
Matteo Renzi (ex-président du Conseil des ministres italien, secrétaire général du Parti démocrate)
Alberto Rivera (président du parti centriste espagnol Citoyens – Ciudadanos)
Mark Rutte (Premier ministre néerlandais)
Wolfgang Schaüble (ministre des Finances allemand)
Martin Schulz (ancien président du Parlement européen, candidat du SPD à la Chancellerie allemande)
Frank-Walter Steinmeier (président de la République fédérale d’Allemagne)
Justin Trudeau (Premier ministre canadien)
Alexis Tsipras (Premier ministre grec)
Guy Verhofstadt (député européen, président du groupe ADLE).

Intellectuels et journalistes

Jacques Attali (essayiste, conseiller de plusieurs présidents, parrain en politique d’Emmanuel Macron)
Christophe Barbier (journaliste, directeur de L’Express)
Philippe Besson (écrivain)
Laurent Bigorgne (directeur de l’institut Montaigne, think tank patronal)
Matthieu Croissandeau (journaliste, directeur de L’Obs)
Ruth Elkrief (journaliste sur BFM TV)
Henrik Enderlein (directeur du Jacques Delors Institut, professeur en économie politique à la Hertie School of Governance de Berlin)
Vincent Giret (journaliste au Monde)
Laurence Haïm (journaliste, porte-parole d’Emmanuel Macron)
Régis Jauffret (écrivain)
Arnaud Leparmentier (journaliste au Monde)
Bernard-Henri Lévy (philosophe, et tant d’autres choses…)
Michèle Marchand (journaliste, conseillère en communication d’Emmanuel Macron)
Philippe Martin (économiste, conseiller d’Emmanuel Macron à Bercy)
Alain Minc (essayiste, homme d’affaires, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy)
Erik Orsenna (écrivain)
Jean Quatremer (journaliste à Libération)
Bruno Roger-Petit (éditorialiste à Challenges)
André Sapir (chercheur à l’Institut Bruegel)
Maurice Szafran (éditorialiste à Challenges, directeur éditorial des magazines du groupe Sophia Publications)
Bruno Tertrais (directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique)
Justin Vaïsse (directeur du Centre d’analyse, de prévision et de stratégie, think tank interne du ministère des Affaires étrangères)
Yanis Varoufakis (économiste, ex-ministre des Finances grec)
Cédric Villani (mathématicien, membre de l’Académie des sciences, directeur de l’Institut Henri-Poincaré, candidat En marche aux législatives 2017)
Artistes et vedettes de la télé

Keren Ann (musicienne)
Pierre Arditi (acteur)
Christophe Beaugrand (animateur télé)
Guy Bedos (humoriste)
François Berléand (acteur)
Stéphane Bern (animateur)
Jean-Pierre Castaldi (comédien)
Emmanuel Chain (animateur et producteur télé)
Dani (chanteuse)
Catherine Deneuve (actrice)
Jean-Marc Dumontet (producteur de spectacles et propriétaire de théâtres parisiens)
Cyrille Eldin (animateur télé)
Danièle Évenou (actrice)
Geneviève de Fontenay (ancienne présidente du comité Miss France)
Guillaume Gallienne (acteur et réalisateur)
Françoise Hardy (chanteuse)
Catherine Laborde (animatrice télé)
Catherine Lara (musicienne)
Vincent Lindon (acteur)
Fabrice Luchini (acteur)
Macha Méril (actrice)
Bernard Montiel (animateur télé)
Renaud (chanteur)
Line Renaud (actrice)
Marjane Satrapi (auteur de bande dessinée et réalisatrice)
Régis Wargnier (réalisateur).

Sportifs

Yohan Cabaye (footballeur)
Steve Mandanda (footballeur)
Wendie Renard (footballeuse).

Équipe rapprochée d’Emmanuel Macron au sein d’En marche

David Amiel (coordination du programme présidentiel avec Jean Pisani-Ferry)
Ludovic Chaker (spécialiste de communication, collaborateur de l’ancien directeur de Sciences-Po Richard Descoings, chargé de la direction des opérations à En marche)
Julien Denormandie (ancien directeur adjoint du cabinet d’Emmanuel Macron à Bercy, secrétaire général adjoint d’En Marche)
Ismaël Emélien (conseiller pour la stratégie, la campagne et le développement d’En marche)
Sophie Ferracci (avocate d’affaires, ex-chef de cabinet d’Emmanuel Macron à Bercy, idem au sein d’En marche pendant la campagne présidentielle)
Sylvain Fort (normalien, agrégé de lettres classiques, communicant passé par BNP Paribas et l’agence DGM, conseiller à la communication d’Emmanuel Macron)
Jean-Marie Girier (membre du PS, ancien chef de cabinet de Gérard Collomb à la mairie de Lyon)
Benjamin Griveaux (ancien du cabinet de Marisol Touraine, ex-vice-président du Conseil général de Saône-et-Loire, porte-parole d’Emmanuel Macron, chargé de la riposte)
Quentin Lafay (normalien, ancien du cabinet de Marisol Touraine et de celui d’Emmanuel Macron à Bercy, coordination du programme présidentiel avec Jean Pisani-Ferry)
Valérie Lelonge (assistante personnelle d’Emmanuel Macron à Bercy, puis à En marche)
Mounir Mahjoubi (entrepreneur, ancien président du Conseil national du numérique nommé par François Hollande, chargé de la campagne numérique d’Emmanuel Macron)
Sibeth Ndiaye (ex-secrétaire nationale en charge de la petite enfance au PS, ancienne des cabinets d’Arnaud Montebourg et d’Emmanuel Macron à Bercy, chargée de la communication et de la presse à En marche)
Jean Pisani-Ferry (économiste, ancien commissaire général de France Stratégie, membre de l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron)
Grégoire Potton (ancien directeur de cabinet du secrétaire d’État Thierry Mandon, responsable des ressources humaines, du juridique, des finances et de la logistique à En marche)
Stéphane Séjourné (ancien du cabinet de Jean-Paul Huchon à la région Île-de-France, conseiller parlementaire d’Emmanuel Macron à Bercy, chargé des relations avec les élus à En marche).

Personnalités ayant appelé à voter pour Emmanuel Macron après le 1er tour

Laurence Abeille (députée EELV)
Brigitte Allain (députée EELV)
Danielle Auroi (députée EELV)
Clémentine Autain (conseillère régionale d’Île-de-France, porte-parole d’Ensemble !)
Joël Aviragnet (candidat PS aux législatives 2017)
Audrey Azoulay (ministre de la Culture)
Michel Barnier (négociateur en chef de l’UE pour le Brexit, ancien commissaire européen – dans les commissions Prodi et Barroso –, cinq fois ministre dans des gouvernements RPR/UMP)
Esther Benbassa (sénatrice EELV)
Gérard Bapt (député PS)
François Baroin (sénateur LR, maire de Troyes, ancien ministre dans les gouvernements Villepin, puis Fillon II et III)
Luc Belot (député PS)
Laurent Berger (secrétaire général de la CFDT)
Olivier Berné (chargé de recherche en astrophysique au CNRS)
Mathilde Bertrand (maître de conférences en civilisation britannique à l’université Bordeaux-Montaigne)
Erwann Binet (député PS)
Marianne Blanchard (maître de conférences en sociologie à l’ESPE Midi-Pyrénées)
Marie-Christine Blandin (sénatrice écologiste)
Michèle Bonneton (sénatrice EELV)
Jean-Michel Bony (mathématicien, membre de l’Académie des sciences)
Corinne Bouchoux (sénatrice EELV)
Joseph « José » Bové (député européen EELV)
Michel Canevet (sénateur UDI)
Marie-Arlette Carlotti (députée PS, ancienne ministre des gouvernement Ayrault I et II)
Bernard Cazeneuve (Premier ministre)
Bruno Chaudret (chimiste, membre de l’Académie des sciences)
Alain Claeys (député PS)
Marie-Françoise Clergeau (députée PS)
Sergio Coronado (député EELV)
Emmanuelle Cosse (ministre du Logement)
Ronan Dantec (sénateur EELV)
Olivier Dartigolles (porte-parole du PCF)
Michèle Delaunay (députée PS)
Bernard Delcros (sénateur UDI)
Sébastien Denaja (député PS)
Jean Desessard (sénateur EELV)
Elsa Devienne (maître de conférences en histoire et civilisation américaine à Nanterre)
Cécile Duflot (députée EELV ancienne ministre des gouvernement Ayrault I et II)
Yves Durand (député PS)
Christian Eckert (secrétaire d’État chargé du Budget)
Raphaël Enthoven (philosophe, animateur)
Christian Estrosi (premier adjoint LR au maire de Nice, président de la métropole Nice Côte d’Azur et de la région PACA)
Dominique Faure (candidate UDI aux législatives 2017)
François Fillon (député LR, ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy, candidat à l’élection présidentielle 2017)
Valérie Fourneyron (députée PS, ancienne ministre des gouvernement Ayrault I et II)
Jean-Marc Gabouty (sénateur UDI)
Jean-Michel Galano (philosophe)
Clélia Gasquet-Blanchard (maître de conférences en géographie, École des Hautes Études en santé publique)
André Gattolin (sénateur EELV)
Raphaël Glucksmann (essayiste)
Jacqueline Gourault (sénatrice UDI)
Christophe Granger (enseignant en histoire, université Paris I)
Benoît Hamon (député PS, ancien ministre dans les gouvernements Ayrault I et II, puis Valls I, candidat à l’élection présidentielle 2017)
Cyril Hanouna (animateur et producteur télé)
Anne Hidalgo (maire PS de Paris)
Sabina Issehnane (maître de conférences en économie à l’université de Rennes II)
Yannick Jadot (député européen EELV)
Laurent Joffrin (journaliste, directeur de la rédaction et de la publication de Libération)
Alain Juppé (maire LR de Bordeaux, ancien Premier ministre de Jacques Chirac)
Jean-Pierre Kahane (mathématicien, membre de l’Académie des sciences)
Patrick Klugman (avocat, adjoint aux relations internationales et à la francophonie d’Anne Hidalgo)
Nathalie Kosciusko-Morizet (députée LR)
Joël Labbé (sénateur écologiste)
Françoise Laborde (sénatrice PRG)
Arnaud Lafon (maire LR de Castanet)
Jean-Jacques Lasserre (sénateur UDI)
Pierre Laurent (sénateur, secrétaire national du PCF)
Ivan Lavallée (informaticien, universitaire proche du PCF)
Dominique Lefebvre (député PS)
Stéphane Le Foll (ministre de l’Agriculture, porte-parole du gouvernement)
Patrick Le Hyaric (député européen PCF, président et directeur du groupe L’Humanité)
Bruno Le Maire (député LR, ancien ministre des gouvernements Fillon II et III)
Yohann Le Moigne (maître de conférences en études américaines à l’université d’Angers)
Noël Mamère (député écologiste)
Pierre Mansat (ancien conseiller de Paris, adjoint PCF de B. Delanoë puis d’A. Hidalgo chargé de Paris Métropole)
Pierrick Martin (chargé de recherche en astrophysique au CNRS)
Philippe Martinez (secrétaire général de la CGT)
Frédérique Massat (députée PS)
Sandrine Mazetier (députée PS)
Michel Mercier (sénateur UDI, ancien ministre des gouvernements Fillon II et III)
Christian Namy (sénateur UDI)
Emmanuelle Perez (maître de conférences en histoire à l’université de Toulouse)
Christian Picquet (membre du comité exécutif national du PCF)
Edwy Plenel (président et cofondateur de Mediapart, ancien directeur de la rédaction du Monde)
Audrey Pulvar (journaliste, animatrice télé)
Jean-Pierre Raffarin (sénateur LR, ancien Premier ministre de Jacques Chirac)
Dominique Raimbourg (député PS)
Gérard Roche (sénateur UDI)
Jean-Louis Roumégas (député EELV)
Ségolène Royal (ministre de l’Environnement, candidate à l’élection présidentielle 2007)
Éric Ruf (acteur, administrateur général de la Comédie-Française)
Arnaud Saint-Martin (chargé de recherche en sociologie au CNRS, université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines)
Évariste Sanchez-Palencia (mathématicien, membre de l’Académie des sciences)
Michel Sapin (ministre de l’Économie et des Finances)
Nicolas Sarkozy (ancien président de la République)
Éva Sas (députée EELV)
Gilles Savary (député PS)
Paul Schor (maître de conférences en histoire à l’université Paris-Diderot)
Thierry Solère (député LR)
Dominique Sopo (président de SOS Racisme)
Jennifer Tamas (professeur de littérature française à l’université de Rutgers, New Jersey, États-Unis)
Christiane Taubira (ancienne ministre des gouvernements Ayrault I et II, puis Valls I et II)
Marisol Touraine (ministre des Affaires sociales et de la Santé)
Jean-Jacques Urvoas (ministre de la Justice)
Najat Vallaud-Belkacem (ministre de l’Éducation nationale)
Jean-Marie Vanlerenberghe (sénateur UDI)
Claire Voisin (mathématicienne, membre de l’Académie des sciences, directrice de recherche au CNRS).

Cette dernière liste devrait évidemment être beaucoup plus longue. Voir par exemple ces appels de sportifs, d’avocats et d’acteurs du monde la culture relayés par le site Internet de L’Express, magazine macronphile. On peut aussi signaler, parmi bien d’autres initiatives similaires, cet appel de psychanalystes ou celui-ci, émanant de soixante ambassadeurs.

Il faut aussi ajouter les treize anciens ministres des Affaires européennes qui ont appelé à voter pour Emmanuel Macron dans une lettre ouverte.

Nul besoin de soutenir Marine Le Pen pour constater qu’il y a comme un problème démocratique dans ce raz-de-marée en faveur d’Emmanuel Macron, qui est certes arrivé en tête au premier tour mais en profitant massivement du prétendu « vote utile » : « Seuls 65 % [des électeurs d’Emmanuel Macron] l’ont choisi parce qu’ils souhaitent qu’il soit élu président de la République », et seulement « 39 % […] affirment que, si le candidat d’En marche accède à l’Élysée, leur situation personnelle s’arrangera. » Ces éléments issus du principal journal économique relativisent nettement le poids électoral du « phénomène Macron ».

Les puissances d’argent ont réussi, via une intense propagande médiatique, à imposer leur candidat favori à la présidence de la République française. En donnant l’impression du neuf à de très vieux intérêts – les leurs –, elles ont accompli l’exploit de permettre la continuation de l’œuvre d’un président à l’impopularité record. Le marketing et la « com’ » fonctionnent, c’est indéniable, du moins dans une certaine mesure. Chapeau, bien joué.

Mais les dominants auraient tort de fanfaronner. Cette martingale n’est pas inépuisable. Et le peuple, particulièrement celui des classes populaires, ne souhaitait pas avoir un président au service des possédants, de l’oligarchie transnationale. Alors comment réagira-t-il à une politique farouchement pro-UE, pro-OTAN, pro-américaine et pro-mondialisation néolibérale ? Personne n’en sait rien pour l’instant mais gageons que les années à venir ne seront pas de tout repos pour le pouvoir.

Ruptures (mensuel).

Abonnements : voir https://ruptures-presse.fr/abonnement/

 https://ruptures-presse.fr/actu/liste-soutiens-emmanuel-macron-pouvoir-argent-election-presidentielle/

COMMENTAIRES  

08/05/2017 23:07 par JP4U

Parmi les personnalités ayant appelé à voter pour lui au second tour on peut ajouter le député Joël Giraud député PRG des Hautes-Alpes
http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2017/01/23/joel-giraud-soutien

09/05/2017 01:04 par DD

à la soupe !

09/05/2017 08:03 par chb

Ca fait donc un beau tableau où sélectionner le premier gouvernement, mais pas assez pour gagner aussi les législatives.
Asselineau a été choisi par France Inter ce matin pour parler de la couverture médiatique trop favorable à Micron. Ce qui a permis aux journalistes de balayer l’argument (complotiste, hein).
nb : Se sont gourrés, à Ruptures, sur le syndicat de Laurent Berger : CFDT plutôt que CGT.
A part ça, les tardives fuites sur le financement d’E.M. seraient utiles à connaître aussi, mais n’inverseront pas les résultats du scrutin.

09/05/2017 08:26 par CN46400

Ce genre de liste est typique de la vision politique de la petite bourgeoisie (celle qui ne peut pas complètement vivre sans produire quelques chose). Lister les capitalistes qui ont soutenu ouvertement Macron veut-il dire que ceux qui ne se sont pas déclarés n’existent pas ? Dassault, qui n’a pas ouvertement soutenu Macron, n’a-t-il aucuns intérêts dans cette élection ? On va nous dire que certains ont plus d’intérêts que d’autres, que d’autres ont joué un plus grand rôle que certain, c’est vrai. Il semblerait effectivement qu’Attali, Minc et Jouyet, presque anonymes dans cette liste, soient les maîtres de cet ouvrage.
Mais surtout est-ce un hasard si les petits bourgeois de "Ruptures" négligent d’impliquer toute la classe bourgeoise dans cette opération, comme s’ils espéraient encore, un jour, monter dans le wagon. Parce qu’enfin c’est bien des intérêts matériels de la bourgeoisie qu’il était question dans ce 2° tour dans lequel une candidature bourgeoise (Le Pen) servait de rabatteur sur l’autre, le vrai, celui qui, pour le moment était destiné à prendre en main les intérêts de la classe dominante.
Ensuite, mettre dans le même sac ceux qui sont dans l’opération depuis son origine et ceux qui n’arrivent, contre l’éventualité Le Pen, qu’au 2° tour n’est ni sérieux, ni honnête. Il n’y a pas d’égalité entre Bedos et Attali, pas plus qu’entre Laurent et Hue.

09/05/2017 08:32 par ozerfil

Ils sont venus, ils étaient TOUS là pour E. Macron...!!!

Il ne manque pas un banquier, pas un milliardaire, pas un décideur, pas un politicien, pas un étranger de poids (et l’ingérence, alors...?), pas un journaliste bien-pensant (et l’éthique, alors...?), pas un membre éminent du Show Biz : tous ceux qui ne risquent rien à le voir prendre des mesures scélérates contre ce privilégié de peuple français !

Et il y a bien sûr les habituels requins d’eaux troubles...!!

En fait, faites-nous plutôt la liste de ceux qui ne se sont pas soumis au NWO sous prétexte de diktat moral anti-Le Pen...

Mais qu’en pensent ceux du peuple qui se sont fait abuser aux deux tours en votant E. Macron lorsqu’ils découvrent les nantis qu’ils ont à leurs côtés ?!!

Si ça se trouve, ils sont fiers...

09/05/2017 08:32 par Esteban

Il est navrant de lire dans cette liste que Laurent Berger est le secrétaire général de la CGT, et si ce n’est pour foutre la merde que Philippe Martinez (secrétaire général de la CGT) a appelé à voter pour macron...

09/05/2017 08:49 par legrandsoir

Berger CFDT. Rectifié, merci.

09/05/2017 08:46 par Dazibao

5 ans semble trop court pour apprendre, mais assez long pour oublier ?
Il restera toujours les peurs, les frustrations, les besoins de compensassions, l’illusion d’être informé e s, le plaisir de se faire divertir.
La finance-violence raconte l’Histoire et le peuple fournit le sang pour l’écrire.
C’est par où la sortie ?

09/05/2017 10:03 par ozerfil

CN46400,

Et si voir certaines personnes sincèrement de gauche avec des gens franchement à droite appeler à voter, pour une raison ou une autre, E. Macron, démontrait que le FN a, une nouvelle fois, joué à merveille son rôle de rabatteur du Système ?!!

Je sais que vous n’aimez pas le terme de "Système", mais je vous ai exposé en quoi je le trouve adapté, avec tout ce qu’il recouvre, et qu’il n’est certainement pas pour moi une référence au FN...

Car, finalement, à ce jour, qu’a fait le FN à part prendre des voix à la gauche, la vraie, et lui barrer la route des plus hautes destinées ?

Les voix ratissées par le FN plus le pseudo-dissident B. Hamon, pendant que le PS soutenait en sous-main E. Macron, et JL Mélenchon était écarté du second tour à quelques centaines de milliers de voix près !!

Et la calamiteuse prestation de M. Le Pen au débat du second tour me fait penser que le FN n’aspire même pas au pouvoir, il se contente parfaitement de divers strapontins, elle n’est certes pas une bonne débatteuse, s’exprime moyennement bien et n’est jamais très pertinente, mais, pour une politicienne aguerrie, ne pas maîtriser à ce point ses sujets (et documents !) et n’être capable de répondre à des questions embarrassantes que par des ricanements est ahurissant...

09/05/2017 10:17 par Geb.

Qu’il y en ait qui n’apparaissent pas parce qu’ils ne se sont pas manifestés n’a aucune importance.

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, à part quelques chefs de file du Capital absolument nécessaires, seuls apparaissent ici les idiots utiles ainsi que les quêteurs de prébendes. Comme le dit justement CN, par exemple Dassault n’apparaît pas.

Mais ça ne signifie pas l’extrême manque d’analyse ou/et l’extrême volonté de soumission de ceux qui ont "soutenu" soit pour démontrer cette soumission, soit pour "faire barrage" à un danger qui en fait ne pouvait exister. N’importe quel analyste politique sérieux pouvait se rendre compte que MLP et le FN ne seraient pas élus. Tout simplement parce que le Système ne le souhaitait qu’en dernière extrémité.

Pardonnable pour des "artistes" ou des "notoriétés autoproclamées", impardonnable pour des dirigeants se prétendants "défenseurs des Travailleurs". Normal pour les sbires du Système et les tenants et dirigeants du Grand capital

Dans tous les cas de figure la preuve est de nouveau faite que ça n’est pas simplement en mettant un bulletin dans une urne, même dans une urne "propre" et non trafiquée, qu’on pourra changer les choses si la main qui met le bulletin est "sale" dans sa tête. Que ça soit en raison d’incompréhension, d’ignorance, de veulerie, ou de désir de lucre, les résultats sont les mêmes. Ce sont les maîtres du jeu qui tirent les marrons du feu.

Vue la situation, on ne peut que prendre en compte les reports sur les "blancs et nuls" et les "abstentions" qui doivent être soigneusement étudiés et comparés entre les deux tours afin de savoir qui a fait quoi chez les électeurs.

Pour les Législatives, à part un miracle et des listes avec des candidats crédibles, c’est à dire pas avec des candidats soutenus par les "souteneurs" de Macron ou Le Pen, et pas pour des candidats de partis qui votent comme une seule personne les Lois liberticides à l’Assemblée ou au Sénat, je ne vois pas comment ça va pouvoir s’articuler.

En tout cas, s’il ne sort pas une ou des alternatives crédibles, (A travers les Insoumis peut-être ?) pour mon compte ça sera sans moi.

09/05/2017 10:21 par Szwed

Avec cette liste il se confirme ce que l’on savait déjà. Le parti pris de Macron (En Marche) et de l’oligarchie qui l’a propulsé, c’est bien de soumettre les français-es au marché, et pour cela réduire encore plus l’État et les corps intermédiaires, pour accroître la spéculation et le profit.Le commis des Rothschild est attendu pour transformer la République en marché quel qu’en soit le prix à payer social et environnemental. Les gens ont beaucoup de soucis en perspective

09/05/2017 10:34 par hf

Comme CN je trouve limite la construction de cette liste ainsi faite. J’ai personnellement voté Macron au second tour, à reculons, mes deux fils ne l’ont pas fait mais ont bien compris ma démarche. Pierre Laurent n’a pas appelé à voté Macron, il a appelé clairement à se servir de son bulletin pour barrer Le Pen ce qui n’est pas tout à fait pareil ; il n’a pas eu le "pudeurs de gazelle" de JLM qui l’ dit tout en ne le disant pas... A l’écouter, expliquez moi ce qu’il fallait faire de son point de vue, enfin si quelqu’un peut le faire.L’opération n’a pas tardé qui consiste pour ceux qui n’y sont pas allé de montrer leurs mains propres, laissant aux autres le soin d’écarter l’extrême droite.

09/05/2017 12:11 par Irae

Je pense que dans cette liste doivent être exclus et retirés des listes Fi les Autain Ruffin etc...ayant appelé à voter macron pour dans la foulée appeler à le combattre (bonjour la cohérence).
Clairement cette caste n"a rien à craindre pour son petit confort de l’élection du pti con.

09/05/2017 12:19 par Irae

Hf
vous n’en avez pas assez de vous faire manipuler par l’oligarchie qui a crée et entretien son diable utile pour se maintenir au pouvoir. Vous avez donc oublié 2002. Heureusement pas les 20 % environ qui comme moi se sont abstenus.

Et n’attendez de ma part aucun remerciement vous m’avez condamnée à travailler jusqu’à la mort comme tant d’autres, mais vous vous tamponnez et je reste polie. Dommage aussi pour vos filles qui vont avoir grace à vous une vie de merde.

09/05/2017 12:42 par Irae

Et puis pour être complète je ne vois aucune raison d’être soulagés et regrette le taux d’abstention bien trop faible pour peser dans la balance. Le message abstentionniste est pourtant limpide :
- arrêtez de nous prendre des crétins on a bien compris la manoeuvre une fois de plus
- vous nous avez eu en 2002 pas 2 fois la même arnaque
- pti con est au moins aussi dangereux que le fn car elle on la voit venir et lui tente de dissimuler ses mandants (cf la liste jamais publiée de ses donateurs) dont on sait les intentions de classe dévastatrices
- on reste cohérents nous avons combattu pti con sur le terrain on ne lui donne pas notre voix
- entre 2 menaces on a le droit de refuser le choix et l’exprimer clairement pour que ca se sache
- il aurait plus manqué qu’un 20/80 à la chirac un vrai suicide collectif

09/05/2017 12:59 par Francois

cn 46400, même publier une liste, tu te débrouilles pour voir des relents de bourgeoisie.
T’es vraiment trop fort !

09/05/2017 13:17 par ozerfil

Je rejoins TOTALEMENT Irae : le FN n’est que le repoussoir fabriqué par l’oligarchie, contre lequel elle sait que tout le monde va toujours se dresser, pour des raisons diverses et parfois opposées, pour finir par toujours la laisser en place !!

09/05/2017 13:37 par Xiao Pignouf

@Irae, vous êtes à côté de vos pompes ! Elaguez un peu vos certitudes avant de prononcer un verdict !
LGS, depuis que je vous lis, c’est la première fois que je suis en total désaccord avec vous. La publication d’une telle liste, dangereuse s’il en est, est relativement sur le fil du rasoir, voyez les réactions qu’elle provoque. L’Histoire devrait nous rendre allergique à toute liste montrant du doigt des individus. En outre, si tant est que cela ait une utilité, elle n’est nullement nécessaire pour savoir / supposer qui à voter pour Macron. A quoi cela peut-il bien me servir de savoir quel tel footballeur ou que telle actrice à appeler à voter pour le candidat auquel je suis opposé ? Ces gens sont des privilégiés qui ne voteront jamais FI.

09/05/2017 13:44 par Salvador

Comme vous le savez sans doute, les archives de PLPL (Pour lire pas lu, arrêté en 2005) sont pour certaines accessibles en ligne !
Ce satané PPA est en revanche toujours aussi actif...
http://www.homme-moderne.org/plpl/

09/05/2017 14:38 par Geb.

Désolé pour ceux qui cherchent à tordre les réalités. mais il ne s’agit pas simplement de tout "juger" à travers ces élections.

Il s’agit de comprendre que cette fois ci, pratiquement TOUTE la classe politique a été compromise, en dehors d’exceptions, (notables certes et parfois surprenantes), mais très rares.

Pendant que les "choix" et "directives" pernicieuses de dirigeants syndicaux et politiques se disant "de gauche" permettaient l’élection d’un nouveau fossoyeur en alimentant la confusion dans les têts des futures victimes, d’autres, (Dont certains se sont bien gardés à "appeler" pour le représentant des banques), préparaient en compagnie de nos ennemis de classe les moyens de mieux nous museler.

Et tout cela dans le plus grand silence. Aidés en cela par le battage médiatique des élections présidentielles qui couvrait le reste.

phttp://www.initiative-communiste.fr/articles/culture-debats/surveillance-net-seul-5-deputes-ont-vote-contre-dont-communiste-candelier/

La Loi "Surveillance du Net" qui a été adoptée le 14 avril 017 par une large majorité de Parlementaires, à l’exception de 5 d’entre eux dont 1 Communiste du GDR permettra de encore mieux museler ceux qui tenteront à travers le Net, (Dont entre autre LGS et ses intervenants), les contestataires présents ou à venir. Et encore mieux de museler la vraie information.

Vous pourrez constater la bizarre coïncidence de dates qui devrait amener à réfléchir même des personnes à tendances peu "complotistes".

Cela, bien plus que les engagements de circonstance électoraux, permet de voir et situer ou se situent NOS AMIS et NOS ENNEMIS.

Il y a un seul Communiste, Jean-Jacques Candelier qui a voté "contre". Gloire à lui et bon courage de continuer à fréquenter des copains si peu fréquentables.

Donc pour ce qui est des 13 pingouins du GDR, (Dont une ex-secrétaire du PCF), qui ont voté cette Loi liberticide comme un seul homme, et au sujet des représentants des partis qui étaient à leurs côtés, pour moi c’est Niet.

Je n’ai pas refusé de voter Macron ou Le Pen pour adouber d’autres serpents cachés qui fourbissent les armes pour nous assassiner mes Camarades et Moi.

09/05/2017 15:27 par Elisa

Attendez, cette indignation est le comble de l’hypocrisie.
Tant qu’on continuera à prôner le "pacte républicain" face au FN, de telles listes ne feront que s’allonger et le nombre de voix FN augmenter.
Le candidat du Parti de la presse et de l’argent (PPA) ne fera pas de tri dans son électorat : tous ceux qui ont voté Macron sont responsables de son élection quoiqu’ils puissent dire de leur vote à reculons et le nez bouché !
Les seuls résultats significatifs sont l’abstention, les votes blancs et nuls.
Les principaux media l’ont bien compris le lendemain de l’élection et leurs soupirs de soulagement prouvent bien qu’une part de l’électorat a été littéralement cocufiée.

Espérons que lors des législatives on ne revive pas le même scénario.
Le seul moyen de combattre le capitalisme et l’ultra libéralisme c’est de faire barrage à la fois à Macron et au FN.

09/05/2017 18:26 par Palamède Singouin

@CN46400

Il n’y a pas d’égalité entre Bedos et Attali

Mais si !!!!!!

Bedos c’est le type qui traitait de lepénistes tous ceux qui avaient voté NON au référendum sur Maastricht. Baladin politiquement inculte comme la quasi totalité des show-bizzares (de Montand à Renaud) qui confondent conscience politique et suivi de la mode.

09/05/2017 20:52 par Paco

Les pleutres vont retourner leur veste et leur pantalon ( comme dit la chanson toujours de circonstance !) Vont lécher les pompes du petit marquis afin de conserver tous leurs acquis faramineux et bien manger au ratelier des marchands du temple...
Les futurs plumés , les sans dents.... Vont-ils se réveiller ? ...suite à la prochaine ordonnance du marquis marionnette....

09/05/2017 21:04 par Nolwenn Guyarch

Pour ne pas donner tous les pouvoirs à Macron, une seule solution : le moins de députés possible. La pétition est ici : https://www.change.org/p/nolwenn-guyarch-pas-de-majorit%C3%A9-pour-macron-aux-l%C3%A9gislatives

09/05/2017 21:53 par AF30

hf,
merci pour votre abnégation. P. Laurent une fois encore, avec son parlé franc,à indiqué la voie juste. D’ailleurs peut-il se tromper ?Quand même juste un petit reproche : pour qu’elle raison, à tout propos, alors qu’il n’est nul part question de lui, trouvez-vous la nécessité d’évoquer Melenchon ? Méfiez-vous de la névrose obsessionnelle.

09/05/2017 23:15 par Szwed

Les entourloupes du néo-libéralisme, avec le commis de Rothschild, le loup est entré dans la bergerie.On va devoir cracher du sang.

N. Sarkozy indélicat dans ses emprunts à J.Jaurès inspire t’il E. Macron ? En effet, avec le titre de son parti, ce dernier emprunte sans vergogne et sans le nommer le titre d’un ouvrage d’E. Zola " La République en marche" (1875-1876).
Dénonçons cette nouvelle entourloupe, La république en Marche du nouveau président de la République, c’est plutôt hélas le marché contre la République !
Par son âge que ne compare-ton pas dans les médias aux ordres, E. Macron à N. Bonaparte.? Bigre ! Revenons à Zola et voyons plutôt ici, Napoléon III, l’ultra-libéral. Attention danger, Napoléon III montra rapidement que la justice sociale ne signifiait pas la liberté. Il agissait de telle sorte que les principes de 1848 qu’il avait préservés deviennent une simple façade. Il paralysa toutes les forces nationales garantes de l’esprit public, telles que le parlement, le suffrage universel, la presse (sous Macron et avant lui, c’est déjà acquis : l’oligarchie tient d’une main de fer les médias), l’éducation et les associations. Le corps législatif n’était pas autorisé à élire son président, à voter sur le budget en détail, ou à faire des délibérations publiques. On pense là aux ordonnances qui seront prises cet été prochain.
Avec Napoléon III, pour contrer l’opposition des individus, une surveillance des suspects fut instituée. L’attaque de l’empereur par Felice Orsini en 1858, bien que motivée uniquement par la politique italienne, servit de prétexte à une augmentation de la sévérité de ce régime avec la loi de sûreté générale qui autorisait l’internement, l’exil ou la déportation de tout suspect sans. Ici, l’état d’urgence est déjà en place avec la loi du 20 novembre 2015. En fait tout a été minutieusement préparé...
En effet, je me souviens d’un document publié à la fin du mois de mai 2013, où le géant des banques d’investissement américain JPMorgan Chase réclamait l’abrogation des constitutions démocratiques bourgeoises établies après la Seconde Guerre mondiale dans une série de pays européens et la mise en place de régimes autoritaires. Nous y sommes et la France de Macron doit sans doute être requise, pour donner l’exemple.
Les banquiers (voir la liste publiée par LGS dans ce billet) ne sont-ils pas les fervents soutiens de la première heure du nouveau Président de la République ?

10/05/2017 00:45 par juan

sans polémique ...
lors d’une manifestation à Paris il y a quelques années de ça j’ai demandé à Clémentine Autain que pensez-vous de Cuba
un silence et silence encore , j’aurai parlé du Vénézuéla , de la Bolivie , de l’équateur ça aura été aussi d’un grand silence
je pense qu’il y a des silences qui en disent long et long ..
moi qui croyait que Clémentine voulait changer la société un peu un tout petit peu ; une petite mais une toute petite révolution ?
LGS dis-moi c’est ça la gauche ?

10/05/2017 07:07 par legrandsoir

LGS dis-moi c’est ça la gauche ?

Heu, ça c’est Autain, que nous n’avons encensée promue dans nos colonnes.

10/05/2017 07:29 par Assimbonanga

... sauf que Ruffin n’a pas appelé à voter Macron. Les anathèmes d’accord, mais basés sur des vérités, pas des extrapolations !

10/05/2017 09:28 par vila

la liste au second tour n’etait pas utile car c’est une histoire de strategie. perso je comprend pas comment on peut voter macron au second tour mais on avait en face Lepen, du coup cela peut s’expliquer.

mais ce qui m’offusque au plus haut point c’est la présence de TSIPRAS et VAROUFAKIS.
Est ce se sont des ralliement après le premier tour ou avant, ce qui change tout.
Même si cela pourrait expliquer la politique grecque ces derniers temps.

10/05/2017 12:29 par D. Vanhove

Ce qu’il faudrait surtout pointer à propos de cette liste, c’est que les supports de Macron étaient connus avant l’élection, et que donc cette liste aurait été plus utile à publier AVANT qu’APRÈS l’élection... où elle ne sert plus à rien qu’à remuer le couteau dans la plaie !

10/05/2017 14:40 par Geb.

On ne pourrait pas enfin changer l’emploi de la vulgate imposée par nos "amis d’en face" ?

Que peut donc signifier aujourd’hui la notion de "gauche", galvaudée et tordue pour en faire le faux nez de tous nos maux ?

Je HAIS cette dénomination, inventée et imposée de toutes pièces par ceux qui n’ont eu de cesse de casser tous les élans révolutionnaires populaires.

Jusque dans les années 80 il n’y avait PAS de Gauche ou "de Droite". Il y avait d’un côté les Partis révolutionnaires, et les Partis Sociaux-Démocrates, et en face la "Réaction". "Réaction" de Droite, du Milieu, et à l’Extrême, bref, les Fascistes.

On n’était pas "de Gauche" ou "de Droite" quand on parlait de politique. pas plus que lorsqu’on militait. On était Communiste, Sympathisant, Progressiste, au mieux. Les Sociaux-Démocrates, faussement auto-proclamés "socialistes", étant classés parmi les Collaborateurs de Classe même si leur base était similaire à la nôtre. C’est d’ailleurs cette "base" qui a rejoint le plus rapidement le FN et ses sirènes "pseudo-libératrices" face aux trahisons de ses dirigeants.

Et si elle l’a fait c’est parce qu’au même moment les "révolutionnaires", dont le P.C.F., ont décidé qu’ils ne le seraient plus et on fait une alliance stratégique mortelle avec ceux qui trahissaient la Classe ouvrière. Un alliance avec ceux qui avaient juré de les faire descendre de 20% de support populaire à 5%.

Ca ne veut pas dire qu’il fallait rejeter tous ceux qui suivaient la Social-Démocratie par ignorance, (ceux de la base), mais à son sommet tous on savait qu’il n’y avait que des vendus et des gamelards. Et ceux qui ne l’étaient pas, n’y faisaient pas carrière.

Ce clivage artificiel sémantique a permis de fausser le niveau de compréhension de la solidarité sociétale au profit de nos ennemis de classe. Et de nous empêcher d’aller chercher pour les ramener à nous ceux qui s’égarent ailleurs par défaut, ou pire nous quittent pour rejoindre les sirènes extrême-droitières ;

Ca a permis de mettre dans le sac du Fascisme les pauvres mecs déculturés politiquement, (Merci qui ???), écrasés par le Système, (Grâce à qui ???), trahis par ceux qui auraient dû les défendre, (Re-merci qui ???), en compagnie de la lie des anciens collabos et des nazis de tout poil et des nostalgiques de l’OAS.

Et afin de servir d’épouvantail à cons en prime.

Et pendant qu’on continue à se proclamer "de gauche" on reste dans le même sac qu’un Hollande ou un Macron, d’un BHL ou d’un Cohn-Bendit, alors qu’on est plus proche d’un électeur FN chômeur au RSA, au niveau des intérêts de classe et des préjudices subis, que d’un Valls.

On a d’ailleurs pu voir à travers les votes Insoumis que dès qu’il y a une perspective autre que l’Extrême-Droite pour proposer un réel changement ceux qui n’ont plus d’espérance, (Et surtout chez les jeunes), choisissent plutôt le camp des exploités que celui des anciens collabos fascistes.

Je dis ceci sans préjuger de ce qui va sortir de l’expérience des Insoumis. Je ne peux oublier que Mélenchon sort lui aussi du creuset social-démocrate, Mais c’est à l’épreuve des événements à venir que nos allons pouvoir comprendre si nous nous sommes encore une fois fait entuber ou si une nouvelle perspective de lutte s’ouvre devant nous.

Le but de cette lutte est bien de sortir de cette Europe fascisante, de sortir d’un carcan monétaire qui aliène notre souveraineté nationale, de sortir d’alliances criminelles telles que l’OTAN, de cesser de bombarder et détruire pour le compte des multinationales, de reprendre en main nos secteurs industriels et énergétiques, etc...

Mais ce dont je suis certain c’est que cette lutte ne pourra pas être victorieuse, ni même fructueuse, à travers un concept "de gauche" destiné à nous empêcher de retrouver notre vraie identité. Un concept qui permet à nos ennemis de se cacher derrière nos ombres et de nous discréditer en douce.

Notre "identité" c’est celle de ceux qui veulent changer le Rapport de Classe au profit de la Majorité des Exploités de France et au préjudice d’Exploiteurs domiciliés aux Bahamas et à Wall-Street.

Pas celle de leurs complices !

10/05/2017 16:25 par dan

Il manque dans cet inventaire de la lâcheté et de l’opportunisme la catégorie "syndicalistes"

10/05/2017 16:42 par dan

Si ça continue comme ça, après 2002, 2017, on va arriver en 2052 avec un ou une Le Pen à 48 % et des poussières battue contre le candidat soutenu par tous les autres pour faire barrage au fascisme et à la peste brune réunis, à 52 % et des poussières. Et on l’aura encore échappé belle ! Encore une fois la France fière de ses traditions multi-séculaires de lutte contre la tyrannie, la France résistante de toujours reprenant fièrement le drapeau des héros de la lutte contre l’occupant nazi, sera sauvée in-extrémis.

10/05/2017 20:55 par Geb.

@ Dan.

Tu n’arriveras pas en 2052... En tout cas pas dans quelque chose qui ressemblera à la France de 2017, même si tu reste sur place.

On est pris dans la chute abyssale d’un Empire auquel on est accrochés comme des morpions. Et en plus un empire raté qui n’a même pas su acquérir une quelconque splendeur culturelle et durer 500 ans comme l’Empire Romain.

Et en parallèle, si nous nous reculons vers un Monde médiéval et féodal, un nouveau Monde pluriel, même si très imparfait à mon goût, est en train de naître et de s’articuler chez ceux qui ont été depuis maintenant plus de 500 ans les victimes de l’Occident.

Tout ça si l’Empire ne fait pas tout péter par incompétence et orgueil, et s’il a la bonne idée d’imploser avant, (Comme il paraît que font tous les Empires tôt ou tard),

Le problème pour la France c’est que nous sommes dans le mauvais navire. L’orchestre continue de jouer, le capitaine et les officiers squattent les radeaux de sauvetage, et les passagers bercés par la musique ne s’inquiètent que de savoir ce qu’il y a au dîner de ce soir.

Quant à ceux qui ont fait construire le navire ils calculent le montant de la prime d’assurance qu’ils vont encaisser ; tranquillement sur leur île.

La maîtrise de notre destin national pourrait "adoucir" la chute par des choix sociétaux et des options internationales pluralistes qui pourraient en outre aider les autres pays européens à sortir du carcan avant que tout ne s’écroule. En coupant les ponts avec les pays qui nous ont colonisés et en virant notre bourgeoisie compradore et ses médias. Cette dernière chose étant essentielle. Il n’y a qu’à voir chez Maduro pour comprendre qu’il n’y pas de place à la fois pour eux et pour nous sur le bateau.

Et même si ce destin n’était pas le destin "révolutionnaire" que je souhaiterai voir dans mon pays avant de disparaître, ça serait un moindre mal en attendant mieux.

Mais pour ça il faut faire l’impasse sur un certain nombre d’idées reçues, se souvenir des erreurs passées, et prendre en compte un certain nombre de concepts concrets trop longs à énumérer ici. Puis les faire passer à une génération ou deux d’acculturés politiques.

Mélenchon a beau être prof dans la vie je ne pense pas qu’il pourra remplir le rôle à lui tout seul. En admettant qu’il en ait l’intention et la compétence.

Et c’est pour ça qu’il nous faut créer à nouveau un vrai Parti révolutionnaire. Complètement affranchi de ceux qui nous en ont volée l’appellation contrôlée.

Pas pour prendre des espaces aux Insoumis, ni négocier des places et des prébendes dans la structure bourgeoise, mais pour travailler avec eux à quelque chose de plus grand et de plus avancé.

Il y a cinq ans de baffes à prendre pour le Peuple de France, cinq ans pour reprendre notre place de tête de gondole, cinq ans pour montrer aux exploité qui nous sommes et comment on agit. Sans compromissions et sans peur.

Si on ne réussit pas, la prochaine fois ça sera "autre chose". Pas le FN à mon avis.Il a été créé par le Pouvoir pour un certain rôle d’épouvantail, il ne sera jamais autorisé à prendre la tête. Mais il risque d"émerger quelque chose de plus nocif et de plus violent qui sera alors soutenu par une base composée de tous les laissés pour compte de la Société réduits au rôle de desesperados. On a des exemples concrets de "monstres" créés par le Capital pour servir ses intérêts immédiats et qui échappent à tout contrôle en partie en raison de l’absence de conscience de classe révolutionnaire chez les victimes.

Il suffit de regarder au Moyen Orient ou en Ukraine pour voir le cheminement.

Et je n’ajouterai qu’une chose : "Boycottez et faites boycotter l’Eurovision chez les Nazis banderistes de Kiev, en expliquant pourquoi".

Autant commencer par quelque chose de facile. ((- :

11/05/2017 10:46 par SEPH

Les fascistes ce sont tous ces noms qui veulent nous imposer la DICTATURE des banques, des transnationales, de l’OTAN, de l’U.E. ....Tout ceci est la racaille qui veux nous asservir et nous soumettre.

11/05/2017 11:29 par somme

Cette liste nous permet de voir clairement la pourriture de l,élite politique FRANCAISE. Et l,Afrique doit se préparer aux difficultés qui profilent a l,horizon. Un entrepreneur vit de son entreprise qui a besoin de matieres premieres. Or les matieres premieres de la FRANCE sont en Afrique. On peut déja songer au prochain Président africain(francophone)a anéantir et la liste sera longue.

11/05/2017 14:34 par D. Vanhove

Comme il est l’un des soutiens d’E.Macron et que l’individu est l’un des pires imposteurs de la République - en souhaitant qu’un jour il soit interpellé pour son rôle odieux et macabre dans l’effondrement de la Libye - je ne peux résister à vous transmettre ce lien où le sioniste BHL se fait, une fois encore (et tant mieux !) entarter en Serbie, cette fois...

le plus cocasse dans la vidéo, est le flegme avec lequel cet imbu poursuit son blabla... désormais habitué à se faire entarter lors de certaines de ses interventions : https://francais.rt.com/france/3822...

bonne dégustation...!

12/05/2017 07:07 par francois

@ assimbonanga :
Merci pour cette précision sur F. Ruffin
Lors d’une ntervention de A Corbiere, une journaliste lui demande avec assurance de commenter la décision de F Ruffin d’appeler à voter macron.
C’est dit avec tellement d’assurance, et ça parrait tellement impossible de travestir à ce point la réalité que je n’ai même pas remis en question cette affirmation.
Le but est évidement de déclencher une réaction qui, elle, n’aura pas besoin d’ère bidouillée pour créer de la dissension.
C’est vraiment incroyable à quel point la manipulation est présente à tout les étages pour tordre le cou à la réalité, et ceci en toute impunité.

12/05/2017 16:53 par Assimbonanga

Merci françois ! Donc, on redonne le démenti :

François Ruffin n’a pas appelé à voter Macron.

Qu’on se le dise !

(Commentaires désactivés)