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Ado prépubère que flatte le matriarcat médiatique, il accumule bourdes et injures avec ravissement et inconscience

Macron : por que no te cayas ?

Devant les étudiants de Ouagadougou, Macron s’est exclamé : « Moi je ne veux pas m’occuper de l’électricité dans les universités au Burkina Faso, c’est le travail du président ». Ce dernier quitta aussitôt la pièce, accompagné de quolibets jupitériens : « Du coup, il s’en va... Reste là ! Du coup, il est parti réparer la climatisation Hu, hu ! ».

Devant les étudiants de l’université » de Yale dont l’un lui demandait son avis sur l’obésité, Macron s’est exclamé qu’il n’était pas là pour trier le gras dans la viande des hamburgers, que c’était le rôle de Trump. Ce dernier quitta aussitôt la pièce, accompagné de quolibets jupitériens : « Du coup, il s’en va... Reste là ! Du coup, il est parti changer l’huile des friteuses du McDo. Hu, hu ! ».

Devant les étudiants de l’Université de Pékin, dont l’un l’interrogeait sur le commerce avec la France, Macron s’est exclamé qu’il n’était pas VRP chinois, que c’est Xi Jimping qui devait faire ça. Ce dernier quitta aussitôt la pièce, accompagné de quolibets jupitériens : « Du coup, il s’en va... Reste là ! Du coup, il est parti scotcher les cartons et coller les étiquettes. Hu, hu ! »

Devant les étudiants de l’Université de New Delhi, dont l’un l’interrogeait sur le prix des médicaments contre le choléra, Macron s’est exclamé qu’il n’était pas pharmacien, que c’est le président indien Ram Nath Kovind qui devait faire ça. Ce dernier quitta aussitôt la pièce, accompagné de quolibets jupitériens : « Du coup, il s’en va... Reste là ! Du coup, il est parti construire des cabanes au fond du jardin. Hu, hu ! ».

Devant les étudiants de l’Université de Berlin, dont l’un l’interrogeait sur la vitesse libre sur certaines autoroutes allemandes, Macron s’est exclamé qu’il n’était pas camionneur, que c’est la Chancelière Angela Merkel qui devait s’occuper de ça. Cette dernière quitta aussitôt la pièce, accompagnée de quolibets jupitériens : « Du coup, elle s’en va... Reste là ! Du coup, elle est partie se planquer derrière un arbre avec des jumelles-radars. Hu, hu ! ».

Devant des étudiants moscovites, dont l’un l’interrogeait sur le refroidissement entre Paris et Moscou, Macron s’est exclamé qu’il n’était pas là pour réchauffer la Sibérie, que c’était le job de Poutine. Ce dernier quitta aussitôt la pièce, accompagné de quolibets jupitériens : « Du coup, il s’en va... Reste là ! Du coup, il est parti construire un igloo et recoudre sa chapka. Hu, hu ! ».

Devant des étudiants londoniens, dont l’un l’interrogeait sur l’achat par la France de moutons écossais, Macron s’est exclamé qu’il n’était pas boucher, que c’était le job de Theresa May. Cette dernière quitta aussitôt la pièce, accompagnée de quolibets jupitériens : « Du coup, elle s’en va... Reste là ! Du coup, elle est partie égorger un agneau, tondre un mouton, traire une brebis, préparer de la panse de brebis farcie et du pudding et acheter du sirop de menthe pour le rôti. Hu, hu ! Apporte-moi une bière, Theresa ! Pas tiède ! Comment elle disait, déjà Edith Cresson ? Ah oui, tous des pédés, les Anglais ! J’ajoute qu’ils sont illettrés, alcooliques, fainéants, incapables de s’acheter un costar, fouteurs de bordel et qu’ils font 8 ou 9 gosses pleins de tâches de rousseur. Hu, hu ! ».

Devant des étudiants parisiens dont l’un, se félicitant que le président du Burkina-Faso n’ait quitté la pièce que pour aller faire pipi, l’interrogeait sur la rupture de nos relations diplomatiques avec les USA, la Chine, l’Inde, l’Allemagne, la Russie et la déclaration de guerre de la Grande-Bretagne à la France, Macron s’est exclamé qu’il n’était pas général, que c’était le job de, heu, du chef des armées et, se rappelant que c’est lui, il est sorti, accompagné de commentaires flatteurs des médias qui rappellent qu’il est jeune, novateur, bien assez intelligent pour ne pas avoir oublié que derrière une porte du QG de Taverny marquée : « A ouvrir en cas de guerre contre les Rosbifs » se trouve le bouton rouge : « Appuyez pour détruire la planète ».

Vincent MORET

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