L’ombre de l’ancien premier ministre israélien Ariel Sharon, mort à l’âge de 85 ans, a toujours eu une place particulière dans ma vie. Il était en partie le déclencheur de mon intérêt pour le conflit israélo-palestinien.
On tua Yitzhak Rabin qui s’égarait en recherchant une paix en Galilée mais on voulut maintenir en vie à grands frais le bourreau de Sabra et Chatila, et d’autres lieux encore comme Jénine.