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Thème : CIA
Dans de nombreux pays (y compris les Etats-unis) des intellectuels mondialement connus et reconnus dénoncent l’infaux. Aucun n’est Français

La CIA a inventé le mythe du « génocide ouïghour »

Patrick MACFARLANE*

Quand les mensonges atteignent leur but et se pétrifient en statues difficilement démontables, la vérité, qui n’a jamais cessé d’avancer, finit par arriver.
Et donc, si le livre de Maxime Vivas (https://www.legrandsoir.info/qui-est-maxime-vivas-ce-francais-qui-deno...) a pu faire (mars 2024) la démonstration que la campagne sur les Ouïghours est une création de la CIA, il ne pouvait intégrer le document suivant, publié en avril, et qui apporte bien des détails qui corroborent (et plutôt dix fois qu’une) ce qu’il a écrit et qui lui a tellement été reproché par la classe politico-médiatique française.

LGS

Le 14 mars, Reuters a publié un rapport qui fait l’effet d’une bombe (bombshell report : en 2019, la Maison Blanche de Donald Trump a lancé une campagne d’influence clandestine de la CIA pour salir la réputation internationale de la Chine. (Article publié dans AFRIQUE Asie par Patrick Macfarlane*) Selon trois anciens responsables américains ayant une connaissance directe, « la CIA a créé une petite équipe d’agents qui ont utilisé de fausses identités sur Internet pour diffuser des récits négatifs sur le gouvernement de Xi Jinping tout en divulguant des renseignements désobligeants à des organes de presse étrangers. » Les informations diffusées « ciblaient l’opinion publique » tant au niveau international qu’en Chine même. En plus d’influencer l’opinion publique, la campagne a cherché à « attiser la paranoïa chez les hauts dirigeants [chinois] » qui tentaient de retracer les informations divulguées. Le rapport précise que les agents de la CIA ont « encouragé les allégations [de corruption] » contre des (...) Lire la suite »
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La CIA, la plaie ouverte des Etats-Unis

Edward SNOWDEN
Cela ne fait à peine un mois que le président Biden est monté sur les marches de l’Independence Hall de Philadelphie, déclarant qu’il était de son devoir de s’assurer que chacun d’entre nous comprenne que la faction centrale de son opposition politique est constituée d’extrémistes qui « menacent les fondements mêmes de notre République » . Flanqué des icônes en uniforme de son armée et debout sur une scène à la Leni Riefenstahl, le leader a serré les poings pour illustrer le fait de protéger l’avenir des forces de « la peur, de la division et des ténèbres ». Les mots tombant du téléprompteur étaient riches du langage de la violence, une « dague à la gorge » émergeant de « l’ombre des mensonges ». « Ce qui se passe dans notre pays », a déclaré le président, « n’est pas normal ». A-t-il tort de penser cela ? La question que le discours entendait soulever – celle qui s’est perdue dans cet apparat involontairement crapuleux – est de savoir si et comment nous allons continuer à être une démocratie et une nation guidé par des (...) Lire la suite »
Elle a raté 2022, elle vise 2027

Ambitieuse et pressée, Clémentine Autain a besoin des Ouïghours

Vincent MORET

Clémentine Autain : 22 avril. « Mettre le mot sur l’horreur, c’est se donner des moyens de la combattre. A l’internement de masse des Ouïghours, aux stérilisations forcées, à leur mise en esclavage… nous devons opposer une voix ferme et haute de ses valeurs. » (sic).

Cf. Compte Facebook de Clémentine Autain, 22 avril 2021. La pétition : ». Le texte de la pétition est de Dilnur Reyhan directrice de « L’Institut Ouïghour d’Europe. » Cet Institut se réclame d’un mystificateur international, Adrian Zenz et d’une fausse ONG, Human Rights Watch sur laquelle Maxime Vivas nous apprend ceci dans son livre sur les Ouïghours (1) : « Human Rights Watch (HRW), la CIA et le prix Nobel En 2014, une lettre d’Adolfo Pérez Esquivel, Prix Nobel de la Paix et de cent professeurs demandaient à Human Rights Watch de se démarquer de la politique des USA. La lettre exigeait de cesser son parti pris dans ses condamnations des pays. Ils notaient que parmi l’Etat-major de HRW on trouve ou on a trouvé un ancien assistant spécial du président Bill Clinton, rédacteur de discours de la Secrétaire d’Etat Madeleine Albright, tandis que la vice-présidente du conseil d’administration se déclarait être « une vieille amie de Bill Clinton » et militante du parti Démocrate. On y a vu aussi un ancien (...) Lire la suite »
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Raphaël Glucksmann, le nouveau substitut de la cause ouïghour

ANTICONS - Observatoire du néo-conservatisme

C’est le deuxième article en quelques jours sur cet aventurier politique fait député par la grâce du PS.
Pourquoi, encore lui ? Parce qu’il le vaut bien.
LGS

Ils sont devenus la préoccupation première des responsables politiques américains qui jusqu’ici se souciaient peu, pour ne pas dire pas du tout, des peuples opprimés. Selon Donald Trump des entreprises chinoises exploitent la communauté Ouïghour. Même ton chez Joe Biden, qui parle de répression. En France, les chantres des réseaux acquis à l’Amérique impérialiste relaient comme ils l’ont toujours fait quel que soit le pouvoir en place la rhétorique étasunienne sans jamais y apporter la moindre correction. Sur les chaînes de télévision et dans les grands médias en général, seuls “les spécialistes” favorables aux affirmations américaines sont tolérés. Pourtant, il existe des voix dissonantes. Le journaliste Maxime Vivas, l’un des rares à s’être vraiment rendu sur place, publie un livre-enquête : Ouïghour pour en finir avec les fake news. L’historien André Lacroix écrit : Après le Tibet, place au Xinjiang pour discréditer la Chine. Docteur en information et en communication, Emmanuel Wathelet, sans toutefois nier les (...) Lire la suite »
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Les tueurs et leurs maîtres assis sous les plafonds dorés de royaumes ou de républiques.

L’amour fou de la France et du djihad, sanglant boomerang.

Jacques-Marie BOURGET

C’est durant la Seconde guerre mondiale qu’une idée, aussi brune que les autres, monte à la tête des nazis : instrumentaliser les communautés des Etats « musulmans » de l’URSS afin que ces derniers, Tchétchènes, Kazakhs, Ouzbeks, tirent dans le dos des Soviétiques.

Ian Johnson, un journaliste américain récompensé par un Prix Pulitzer, a pioché dans des milliers de documents pour découvrir cette vérité scellée d’une croix gammée. Lumière d’histoire sombre qu’il a révélée dans un livre, « Une mosquée à Munich. Les nazis, la CIA et la montée des Frères musulmans en Occident », ouvrage publié chez JC Lattès. Dix années plus tard, une aussi bonne idée ne peut que séduire les Américains qui cajolent les Frères Musulmans comme des amis rares, et utiles. En juillet 1953, la photo est sur Internet, on peut voir une délégation des « Frères » au côté de Dwight Eisenhower, l’US président. Le document comporte même un bonus, la présence de Saïd, le gendre de Hassan al-Banna le fondateur de la secte musulmane. Un personnage, agent de la CIA, qui est aussi le père de Tarik Ramadan. La reprise, par Washington, de cette idée née sous le IIIe Reich, a deux objectifs, utiliser les musulmans pour abattre l’URSS et fournir des gouvernants convenables pour mettre à la tête des pays Arabes, puisque les (...) Lire la suite »
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Souveraineté numérique : fondée par la CIA, Palantir s’achète une respectabilité

Pierric MARISSAL

Pour réussir son entrée en Bourse et conquérir de nouveaux marchés, Palantir, la très opaque start-up spécialisée dans le traitement de données, se lance dans une opération transparence. En France, c’est son partenariat avec Airbus qui lui sert de vitrine.

Quand on a été cofondé par la CIA – qui est toujours actionnaire – et que les agences de renseignement représentent encore pour près de la moitié de son chiffre d’affaires, passer de l’ombre à la lumière est un exercice périlleux. Pour réussir son entrée en Bourse, qui a eu lieu vendredi dernier, le spécialiste du traitement de données Palantir s’efforce de montrer un visage respectable et surtout moins opaque. En France, la start-up a décidé de mettre en avant son partenariat avec Airbus pour conquérir de nouveaux marchés. Bien qu’il ait été noué depuis le début de la production de l’A350, ce contrat n’a été rendu public que quatre ans après. « Ensemble, nous avons déployé Palantir Foundry, intégré des quantités massives de données, permettant aux ingénieurs d’Airbus d’effectuer des analyses et des recherches sur les causes des principaux problèmes affectant la production », se vante désormais la start-up. Dit autrement, son logiciel permet à Airbus de mieux contrôler toutes les étapes, de la production à la (...) Lire la suite »

Les journalistes [américains] espionnés par la CIA gardent le silence (The Grayzone)

Max BLUMENTHAL

Bien qu’ils aient été espionnés et que leur vie privée ait été violée par la société UC Global qui a pris Assange pour cible, les journalistes des principaux organes de presse américains n’ont rien dit pour protester. Entre-temps, de nouvelles preuves des liens de cette entreprise avec la CIA sont apparues.

Une société de sécurité espagnole a apparemment été engagée par les services de renseignements américains pour mener une campagne d'opérations secrètes contre Julian Assange et ses associés, qui ont espionné plusieurs journalistes américains, dont Ellen Nakashima, le plus grand reporter de la sécurité nationale du Washington Post, et Lowell Bergman, un vétéran du New York Times et de PBS. À ce jour, Ellen Nakashima et ses employeurs du Washington Post n'ont rien dit de l'attaque flagrante contre leurs droits constitutionnels par UC Global, la société de sécurité chargée de l'ambassade de l'Équateur à Londres, qui semble avoir opéré sous la surveillance du directeur de la CIA de l'époque, Mike Pompeo. PBS, le New York Times et d'autres grands médias américains ont également gardé le silence sur l'intrusion du gouvernement américain dans les appareils personnels et les dossiers privés des journalistes. The Grayzone a appris que plusieurs correspondants d'un grand journal américain ont rejeté les appels de (...) Lire la suite »
Où il est dit comment de fausses ONG étatsuniennes paient des opposants

Hirak*, NED et ONG algériennes

Ahmed BENSAADA

On l’aura remarqué : dès que l’on parle de financements étrangers, une réaction pavlovienne est immédiatement activée : les yeux sont exorbités, la salive est sécrétée, les langues sont aiguisées et les claviers subissent, inexorablement, la frénésie des phalangettes. Seules les méninges restent en mode « repos ».

On a beau exhiber des documents sérieux, des références solides ou des témoignages en béton. Rien n’y fait. Mais, ne perdons pas espoir et essayons de réveiller ces méninges anesthésiées. Lorsque j’ai entrepris d’écrire mon article « Huit ans après : la "printanisation" de l’Algérie » (publié le 4 avril 2019), j’ai eu besoin de consulter le site de la NED pour me renseigner sur le financement des ONG algériennes. Ouvrons ici une petite parenthèse. En 2011, à l’écriture de mon premier livre sur le « printemps » arabe, « Arabesque américaine », le site de la NED offrait la possibilité de consulter les rapports des six dernières années. Après la publication de ce livre, l’accès n’était permis qu’au seul rapport de l’année précédente. Et c’est toujours le cas jusqu’aujourd’hui. Je suis donc allé télécharger le rapport NED 2018 relatif à l’Algérie en date du 26 mars 2019, comme mentionné dans le document qu’il est possible de consulter en ligne en cliquant sur le lien suivant : Rapport NED Algérie 2018 (26 mars 2019) Comme (...) Lire la suite »
« Entendre un coup de tonnerre ne prouve pas qu’on a l’ouïe fine » Sun Tzu.

La Chine, Hong Kong et les syndicats.

Jean-Pierre PAGE

Le Parlement Chinois et le Comité Permanent de l’Assemblée Nationale Populaire (ANP) de Chine viennent de voter une loi sur la sécurité nationale, celle-ci est facilement consultable . Elle complète le Statut spécial qui régit Hong Kong depuis 1997.
Cette décision a immédiatement entraîné un concert de protestations. La charge a été sonnée par les Etats-Unis, qui ont été suivis immédiatement par les gouvernements occidentaux et l’Union Européenne avec la mobilisation habituelle des médias. On a accusé tour à tour Pékin « de vouloir absorber Hong Kong (sic) » : « Pékin impose au forceps la loi sur la sécurité nationale », « Pékin prend en mains la sécurité de Hong Kong. ».

A travers cette indignation générale et hypocrite on a aussi trouvé des fondations comme celle de « l’Open Society » de Georges Soros, le « National Endowment for Democracy »(NED), l’« Open Technology Fund » (OTF) , « Freedom House », ou des ONG comme le « Center for Applied Non Violent Action and Stategies » (CANVAS) de Srdja Popovic, le fondateur « d’OTPOR » qui conseille Joshua Wong le jeune leader séparatiste de Hong Kong ainsi que le « Occupy Central with Love and Peace » (OCLP) organisation initiatrice du « mouvement des parapluies ».Le syndicalisme international, par la « Confédération Syndicale Internationale (CSI) » n’a pas voulu être en reste. Elle s’est également engagée dans cette nouvelle campagne de diabolisation de la Chine. La CSI est connue pour n’avoir rien à dire contre les millions de licenciements actuels, contre la progression exponentielle « de la faim dans le monde » , contre l’abime des inégalités et l’enrichissement obscène des plus fortunés, contre le racisme et les violences aux USA, ou (...) Lire la suite »
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La CIA reconnaît que sa panoplie d’outils de cyberguerre a été révélée par WikiLeaks en 2017

Kevin Reed

Une nouvelle étude interne publiée en 2017 sur les pratiques de sécurité de l’Agence centrale de renseignement (CIA) confirme que l’agence top secrète avait développé un arsenal d’outils de cyber espionnage et n’aurait pas eu connaissance du piratage massif des données de "Vault 7" si WikiLeaks ne l’avait pas rendu public.

Vault 7 est le nom donné à un ensemble de documents piratés du Centre de cyber-intelligence (CCI) de la CIA qui ont été anonymement partagés avec WikiLeaks, sur lequel le site en ligne a commencé à publier des informations le 7 mars 2017. Le piratage a permis d'obtenir la quasi-totalité de l'arsenal d'outils d'espionnage et des méthodes par lesquelles la CIA menait la surveillance électronique illégale et la cyberguerre dans le monde entier. Le rapport interne indique que la CIA n'a pas pu déterminer l'étendue précise de la violation des données : "Nous estimons qu'au printemps 2016, un employé de la CIA a volé au moins 180 gigaoctets à 34 téraoctets d'informations. Cela équivaut approximativement à 11,6 millions à 2,2 milliards de pages de Microsoft Word". Il s'agit de la plus grande communication non autorisée d'informations classifiées dans l'histoire de la CIA. Il est significatif que le "Rapport final du groupe de travail WikiLeaks" du 17 octobre 2017, largement expurgé et partiellement publié, (...) Lire la suite »
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