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Thème : Coca-Cola
Filtrer l’eau des WC pour la rendre pure et claire comme de l’eau de roche.

Demain, on mangera notre eau…

Gaëtan Pelletier

Coca-Cola a ainsi le droit d’extraire 33,7 millions m3 d’eau par an au Mexique, l’équivalent de la consommation annuelle minimale pour faire vivre 20 000 personnes. Le groupe américain exploite 50 nappes d’eau, dont 15 sont surexploitées [2]. À moindre échelle, la compagnie suisse Nestlé extrait 9 millions m3 d’eau par an dans le pays et exploite 16 aquifères, dont 6 sont surexploités. Le Mexique va-t-il se vider de son eau ?, Mondialisation.ca

Avec toute l'eau qu'on massacre par la pollution de par de multiples formes , étant donné que le corps humain est constitué de 70% d'eau, et de 71% ( :-)) chez les politiciens le "futur" de nos enfants sera une longue lignée d'estropiés invisibles empoisonnés par l'or translucide : Tous un peu pourris en dedans. L'eau ne nous appartenant plus, il faudra un mot passe pour ouvrir les bouteilles. Quand j'étais enfant, au temps de la Ford-T, pardon, des voitures-salon qui buvaient de l'essence comme un bon russe siphonne de la vodka, on pouvait boire l'eau dans les rivières. Maintenant, il faut qu'elle soit filtrée et chlorée, ou traitée par des moyens chimiques et bientôt électroniques. La boire, d'un bout à l'autre... Comme le disait le Comte de Vichy ( seigneur de L'Étang - vous pouvez vérifier sur Whiskypédia, ) : " Je m'en lève le cœur moi-même, n'ayant pas le temps d'attendre que les autres le fassent". Bien que je ne vérifiasse pas toutes mes sources, il aurait dû le dire à un certain moment de (...) Lire la suite »

Licenciements massifs : une campagne de boycott fait plier Coca Cola

Nathalie PÉDESTARRES

C’est l’histoire d’une campagne de boycott réussie contre la filiale espagnole du géant états-unien.

En janvier 2014, Coca-Cola Iberian Partners annonce la fermeture de quatre de ses onze usines d’embouteillage à Madrid, Palma de Majorque, Alicante et Colloto (Asturies). Ces fermetures inattendues sont assorties d’un plan social qui prévoit le licenciement de 1 253 travailleurs sur 4 200 employés au total. Avec plus d’un quart de la population nationale au chômage, l’annonce suscite un véritable tollé populaire. D’autant plus que les bénéfices nets obtenus par Coca Cola Iberian Partners (60,57 millions d’euros en 2013 [1]), justifient difficilement les licenciements pour des raisons économiques [2]. « Si Madrid ne produit pas, Madrid ne consomme pas » Coca Cola explique sa décision par une « surcapacité d’embouteillage » : la production de bouteilles et de canettes de soda ne serait plus suffisante pour justifier le fonctionnement de ces usines [3]. L’argument ne convainc pas les employés touchés par les fermetures. La voie judiciaire est d’abord explorée par leurs syndicats. Dans le même temps, à (...) Lire la suite »

Violations des droits humains commises par Coca Cola en Colombie

Centre Europe-Tiers Monde
La société transnationale Coca Cola (2) s'est installée en Colombie dans les années 1940, par le biais de la franchise octroyée aux usines d'embouteillage Indega S.A. dans le centre, sur la côte nord et au nord-est de la Colombie, créant d'autres franchises telles que Bebidas y Alimentos de Urabá. Les usines d'embouteillage regroupées sous Indega S.A. ont été achetées en 1995 par Panamco Beverages Inc. dont 25% des actions sont détenues par Coca Cola. En mai 2003, Fomento Mexicano S.A., par le biais de la franchise Coca Cola Femsa S.A., a acheté Panamco alors que Coca Cola conservait 31,6% des actions de l'entreprise. Coca Cola Femsa détient la franchise en Colombie avec laquelle elle opère dans la majorité des pays d'Amérique latine. Grâce à ce montage légal qui relève d'une procédure d'externalisation, Coca Cola gère la production et la vente de ses produits en préservant son contrôle sur les marques qu'elle détient, en maintenant le pouvoir de décision de ses actionnaires et sa participation dans les (...) Lire la suite »
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Coca-Cola est comme ça

Esther VIVAS
« Merci de partager du bonheur » nous dit la dernière publicité de Coca-Cola. Mais en regardant les choses de plus près, il semble bien que Coca-Cola ne partage que très peu ce bonheur. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter les travailleurs des usines que la multinationale veut fermer dans l’Etat espagnol, ou les syndicalistes persécutés – et y compris kidnappés et torturés – en Colombie, en Turquie, au Pakistan, en Russie, au Nicaragua ou les communautés de l’Inde qui sont restées sans sources d’eau après le passage de la compagnie. Sans parler de la pauvre qualité de ses ingrédients et de leur impact sur notre santé. Selon les chiffres de l’entreprise, chaque seconde on consomme 18.500 canettes ou bouteilles de Coca-Cola dans le monde entier. L’empire Coca-Cola vend ses 500 marques dans plus de 200 pays. Qui aurait pu le prédire quand, en 1886, John S. Pemberton, inventa ce breuvage à succès dans une petite pharmacie d’Atlanta ? Aujourd’hui, la multinationale ne se contente pas de vendre une boisson, (...) Lire la suite »

Coca-Cola blanchit ses canettes, pour sauver l’ours polaire ?

Michel Tarrier

Encore un coup de marketing sur le dos du changement climatique avec la toute nouvelle méga manipulation de Coca-Cola qui s’engage pour les ours polaires en modifiant l’image de ses canettes et en faisant un don de 2 millions de dollars au WWF.

Peluches, larmes de crocodiles et autres violonades Lorsqu'on découpe un oignon, les grosses cellules libèrent des enzymes très volatiles qui sont celles du sulfate d'allyle, proche d'un composant des gaz lacrymogènes, très agressif pour la cornée. Et plus l'œil est agressé, plus il se défend. Mais plus il se défend plus il sécrète de larmes... Il n'y a alors qu'une solution : éloigner l'oignon de l'œil. Dans l'art et la manière de faire la quête au profit des espèces, les deux facteurs fondamentaux sont : choisir un animal sympathique pour le grand public et, même si l'on sait pertinemment que sa situation est désespérée, exceller dans le faux espoir en surfant un max sur le « tout n'est pas perdu ! ». Nous sommes très loin de la science et la méconnaissance crasse des gens en matière de zoologie et d'écologie vraie est telle que toute imposture est permise. C'est ainsi que des ONG se sont spécialisées dans l'exploitation très hypocrite des larmes de crocodiles (référence à la légende des fausses aux (...) Lire la suite »

Venezuela : Le vice-ministère du bonheur suprême, Coca-Cola et la « Happy Meal » de McDonald’s (Aporrea)

Luigino Bracci

Pour les chavistes et pour les gens de gauche il est normal de se moquer du nom choisi pour le nouvel vice-ministère pour le bonheur suprême. Il est normal car nous sommes des vénézuéliens, nous sommes des déconneurs, nous critiquons beaucoup, et il était tout simplement inévitable qu’on se moque d’un nom si pittoresque. Maduro lui-même a dû choisir le nom et penser qu’il allait être charrié.

Comment obtenir un certificat que détermine si l’on est suprêmement heureux ? Faudra-t-il payer un gestionnaire ? Faudra-t-il corrompre quelqu’un ? Faudra-t-il regarder du Stand-Up Comedy pendant des heures ? Peut-être pas. J’ai beaucoup d’amis qui sont gagas avec leurs enfants qui viennent de naître ; j’imagine que leurs enfants sont en quelque sorte leurs gestionnaires de ce certificat. Ou encore la petite copine d’un jeune amoureux, ou la maman qui manque à quelqu’un qui ne l’a pas vu pendant des mois. Ou alors des petits gestes, comme aider une personne âgée ou voir que le travail que l’on a fait bénévolement a permis d’améliorer la vie de beaucoup de personnes. Nous sommes tous des « gestionnaires » de ce vice-ministère, dans la mesure où nous contribuons à améliorer cette société… autrement dit, [dans la mesure où nous contribuons] à que nous soyons plus heureux. Mais vous savez ce qu’est vraiment triste ? Voir à un escualido [1] se moquer du nouvel vice-ministère, en disant que le gouvernement à l’air (...) Lire la suite »

Coca-Cola et armes pour la « paix » (Il Manifesto)

Manlio DINUCCI
Le secrétaire d'Etat John Kerry est désormais chez lui au Moyen-Orient, pour prouver l' « engagement Usa pour la paix » dans cette région cruciale. A Istanbul il a demandé au premier ministre turc Erdogan, qui sera reçu par Obama en mai, de renvoyer sa visite à Gaza « pour ne pas gêner la reprise des négociations de paix israélo-palestiniennes ». En même temps, est arrivée à Istanbul une équipe de fonctionnaires israéliens pour le dédommagement des familles des pacifistes turcs tués ou blessés dans l'attaque contre la Freedom Flotilla en route pour Gaza, qui a eu lieu selon Netanyahu à cause d' « erreurs opérationnelles ». Version acceptée par Erdogan, mais pas par les familles des victimes, qui ont refusé le dédommagement (100.000 dollars par famille) en posant comme condition qu'Israël abolisse les restrictions de mouvements des personnes et des marchandises à Gaza. Kerry a entre temps annoncé un plan pour donner une impulsion à l'économie palestinienne, auquel collabore la multinationale Coca-Cola. (...) Lire la suite »