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Thème : Déclin de l’Occident

Le Titanic européen s’écrasera-t-il sur l’iceberg russe ?

Daniel VANHOVE
L’équipage ‘européiste’ qui pilote depuis Bruxelles l’ingouvernable paquebot baptisé “ UE ” ne semble rien voir qui puisse arrêter sa course, convaincu de sa toute-puissance et de son invulnérabilité savamment entretenues par le discours de l’administration américaine et de ses représentants de l’OTAN. Et tout comme certains individus, un piètre équipage aime être flatté. Et pourtant, à bien y regarder, tout indique qu’un iceberg – dont chacun sait qu’environ 1/8è est émergé – se trouve sur sa route. La question, loin d’être subsidiaire, est de savoir s’il existe encore au sein de cet équipage l’un ou l’autre membre sain d’esprit et assez lucide que pour éviter le crash qui semble de plus en plus inéluctable. Alors qu’à bord se trouvent plusieurs millions de passagers entretenus, voire persuadés pour certains, dans l’illusion (comme à l’époque) de l’insubmersibilité de leur puissant vaisseau. En plus de l’approche xénophobe anti-russe que l’on a vu se manifester par d’affligeantes réactions de gouvernements, de (...) Lire la suite »

L’Occident a opprimé le Tiers-Monde pendant si longtemps qu’il est lui-même devenu le Tiers-Monde

Andre VLTCHEK

Beaucoup l’ont déjà remarqué : les États-Unis ne se sentent vraiment, vraiment pas comme le leader mondial, ni même comme un « pays du Premier monde ». Bien sûr, j’écris cela avec sarcasme, car je déteste des expressions comme « Premier monde » et « Tiers monde ». Mais les lecteurs savent ce que je veux dire.

Ponts, métros, centres-villes, tout s’écroule, s’effondre. Lorsque je vivais à New York, il y a plus de vingt ans, revenir du Japon était choquant : les États-Unis se sentaient comme un pays pauvre, dépourvu, plein de problèmes, de misère, de personnes confuses et déprimées, de personnes sans abri ; en bref – des desperados. Aujourd’hui, je ressens la même chose lorsque j’atterris aux États-Unis après avoir passé quelque temps en Chine. Et cela empire encore. Ce dont l’Occident accusait l’Union Soviétique est aujourd’hui clairement détectable aux États-Unis et au Royaume-Uni même : la surveillance est à chaque étape, de nos jours, à New York, Londres, Sydney et même dans les campagnes. Chaque mouvement qu’une personne fait, chaque achat, chaque clic d’ordinateur, est enregistré ; quelque part, d’une manière ou d’une autre. Et cette surveillance n’est, lka plupart du temps, même pas illégale. La parole est contrôlée par le politiquement correct. Quelqu’un dans les coulisses décide ce qui est acceptable et ce qui (...) Lire la suite »