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Thème : Maxime Vivas

Pétard mouillé contre Maxime Vivas

André LACROIX

Le 2 octobre 2024, Maxime Vivas révèle que son livre "Ouïghours, pour en finir avec les fake news" a été critiqué notamment par Pierre-Marie Meunier travaillant pour le portail ENDERI (ENtreprise, DÉfense & Relations internationales). (1) Pour que nous en ayons le cœur net, Maxime Vivas nous donne la référence de ladite note critique (2) qui appelle les commentaires suivants.

Le serpent se mord la queue Cette note critique présente apparemment toutes les caractéristiques d’un travail académique irréprochable : elle est longue de 44 pages et ne comporte pas moins de ... 225 notes de bas de page. Mais quand on creuse un peu, on y trouve une enfilade de propos malveillants, tendancieux ou carrément faux. Meunier commence par s’en prendre à Sonia Bressler, l’éditrice de Maxime Vivas dont la maison La Route de la Soie – ô horreur ! – « contribue (...) à la diffusion, en France, de narrations positives sur la Chine (...) » (p. 3), comme s’il s’agissait là d’un crime rédhibitoire et que seules les narrations négatives contre la Chine méritaient d’être considérées comme sérieuses. Toujours p. 3, dans son souci de critiquer le rapprochement fait par Maxime Vivas entre les fake news sur les Ouïghours et d’autres fake news célèbres, Meunier écrit : « C’est oublié (sic) un peu vite que la plupart des affaires citées par Maxime Vivas [Colin Powell, Timisoara, (…) Lire la suite »

Quand "Blast" diffame Maxime Vivas avec l’encre de Washington

Jacques-Marie BOURGET

Un article publié dans le "Blast" de Denis Robert – un Plenel sans moustaches –, diffame gravement Maxime Vivas en l'assimilant à un agent de Pékin. C'est grotesque. D'autant que les mots de cet article injurieux ont tous, sans exception, été piochés dans les malles à propagande des services étasuniens.

« De son côté, l'essayiste Maxime Vivas, ergonome à la retraite et administrateur du site legrandsoir.info qui précise « ne pas être spécialiste de la Chine », dénonce dans un livre les prétendues « fake news » sur le sort des Ouïghours, dont la répression serait une invention occidentale. Dans les médias chinois, il est présenté comme un « célèbre écrivain français », et est cité par le ministre des Affaires étrangères, Wang Yi, dans une conférence de presse en pleine Assemblée nationale. » (1) Cette citation, extraite d’un article du site Internet « », veut être une fourchée de fumier expédiée à la barbe de Maxime Vivas, administrateur du « Grand Soir ». Elle est signée d’un certain Benjamin Jung, qui, attendu la complexité de sa production, aurait pu être un descendant de Carl, le célèbre alchimiste Suisse. Cette injure ordinaire, lancée par un tâcheron du camp du « bien », est une belle occasion, quasiment un exercice scolaire, de démonter la mécanique d’un publicisme de (…) Lire la suite »
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