Tuez les tous mais vaccinez les avant. Dilemme déontologique médical : Un enfant Palestinien assassiné par un juif israélien avec un explosif étasunien ou français doit il être vacciné polio post mortem ou pas ?. Hé OMS à quand un vaccin anti bombe sioniste pour les enfants Palestiniens ?
« Négocié par 194 États membres de l’OMS depuis 2021 et devant être adopté définitivement le 24 mai 2024, le Traité de l’OMS sur les pandémies menace gravement nos droits et libertés. En effet, sous couvert de nous préparer à une prochaine pandémie, ce traité va confier à l’OMS un pouvoir contraignant sur les pays, pouvoir qui lui permettra lorsqu’il déclarera une pandémie de forcer les États signataires à procéder à des confinements, ainsi qu’à d’autres mesures sanitaires (par exemple le port obligatoire du masque), voire de procéder à une vaccination de masse. Nous ne sommes donc dans la dernière ligne droite et pourtant rien ou presque ne filtre. »
Pour une fois, tout le monde est d’accord. Les systèmes de santé intégrés, équitables et accessibles à tous et toutes représentent le seul moyen pour lutter efficacement contre le Covid 19.
C’est précisément la solution que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) préconisait à ses Etats membres lors de la Conférence internationale sur les soins de santé primaires,[1] organisée en 1978 à Alma Ata, dans l’ex-Union Soviétique.
Rappel avant d’effrayer et de donner des leçons :
Selon, l’Institut Pasteur entre 10 000 et 15 000 personnes meurent chaque année de la grippe en France.
Au mois d’août 2003, la France a subi une canicule qui va faire 15 000 morts. Le président Chirac, en vacances au Canada, tarda à rentrer. Le ministre de la santé, Jean-François Mattéi, en vacances dans le Var, accorda depuis sa résidence à la télévision une interview rassurante « en tenue décontractée » (polo).
Cuba a décidé d’envoyer un contingent de 165 médecins et autres personnels de santé au Sierra Leone, ravagé par le virus ebola
Face à la soumission de l’OMS au dictat de Washington, 58 scientifiques, professionnels de santé et avocats des droits de l’Homme ont écrit à l’OMS et au ministère irakien de la Santé pour leur demander la publication immédiate du rapport. Ils n’ont reçu aucune réponse.