Il s'agit peut-être d'un de ces documents que la classe politique occidentale n'a jamais lu. Dans une interview remarquable, le rapporteur spécial des Nations unies sur la Palestine a déclaré ce qui suit : « Tant que Gaza ne se révoltera pas, tant que Gaza ne sera pas périodiquement bombardée avec les armes les plus sophistiquées au monde, tant que Gaza ne fera pas la une de la presse mondiale, le monde ne fera rien pour changer cette situation ». Ce qu'il a dit en 2019 n'est pas différent de ce que le Hamas a décidé de faire le 7 octobre 2023.
Le fils spirituel de Joshua Oppenheimer se rendra-t-il dans 45 ans filmer les juifs sionistes d' Israël, fils spirituels des nazis et des génocidaires indonésiens, raconter avec fierté comment ils ont génocidé les Palestiniens avec une prédilection pour les femmes et les enfants sur le territoire de la Palestine. Il faut espérer que si ce fils spirituel se rendait en Palestine ce serait en Palestine libérée pour témoigner du courage des résistants Palestiniens contre les occupants sadiques sionistes.
Pour libérer la Palestine de tous les fléaux de l’humanité, le sionisme, le racisme, l’apartheid, l’occupation et les crimes de guerre. Mais pour les Palestiniens, Churchill avait des mots spéciaux. Il rejetait complètement leur lien historique avec leur pays. Dégoulinant de racisme, Churchill a dit ceci du droit des Palestiniens dans leur pays : « Je ne suis pas d’accord pour dire que le chien dans une niche a le droit final à la niche, même s’il y est couché depuis très longtemps. Je n’admets pas ce droit. »
Les professionnels francophones de la santé mentale, du soin et de l'accompagnement psycho-social, interpellent leurs organisations professionnelles, toute autorité compétente et l'opinion publique en général sur la situation catastrophique qui affecte les populations palestiniennes, et plus récemment les populations libanaises, notamment les enfants. Ils s'inquiètent des répercussions à court, moyen et long termes que cette catastrophe risque fortement de provoquer. Pour vous joindre à l'appel de vos collègues vous devez remplir le formulaire qui lui est consacré en suivant le lien https://forms.gle/AtsbueGTFXDmfLW8A
Edgar Morin : les trois visages de la diaspora. Edgar Morin garde un cap clair, et ne cesse lors de ses rares sorties de s’indigner du sort des Palestiniens. À 103 ans, l’auteur de La Rumeur d’Orléans ou de Vidal et les siens, dialogue par mail avec Orient XXI. Morin s’indigne du « silence du monde » face à ce que subissent les Palestiniens à Gaza, et constate « qu’une partie de la diaspora ne se reconnaît pas dans Israël, une autre partie s’identifie à lui et le justifie inconditionnellement et une dernière partie se sent liée à lui et évite de le condamner ». Il n’est pas surpris de ma question sur le silence des Français juifs : « L’amour d’Israël puis l’adhésion inconditionnelle à sa politique ont remplacé l’universalisme et le souci des opprimés chez beaucoup d’intellectuels juifs ». Morin nous renvoie à ce qu’il écrivait en 2006 dans Le monde moderne et la question juive : Le danger, la guerre, la justification d’une domination stimule l’israélisme clos, le judaïsme clos. Le messianisme sioniste s’est résorbé dans un nationalisme intégriste. Un manichéisme s’intensifie avec la justification à tout prix d’Israël (...) Le sentiment que l’attitude critique à l’égard de l’État d’Israël est de nature antijuive et la croyance que la compassion au malheur palestinien trahit l’absence de compassion à l’égard du destin juif n’ont fait que s’aiguiser. Morin a également analysé l’évolution de nombreux Français juifs sur Israël-Palestine. « C’est l’antisémitisme qui provoqua le retour au judaïsme et dynamisa le sionisme, lequel régénéra et renforça l’identité juive des judéo-gentils », écrit Morin, qui ajoute : « Le nouveau sens du terme juif retrouve en Israël un sens antique – à la fois nation, peuple et religion – et se répand dans diaspora ».
Mise au point d’ISM-Palestine réfutant les informations propagées par les médias mainstream, 7 septembre 2024. Après l’annonce de l’assassinat de notre camarade Aysenur, des médias se sont empressés de répercuter la version israélienne de l’incident ayant entraîné sa mort : les militants de l’ISM auraient jeté des pierres sur les soldats d’occupation pendant la manifestation pacifique à Beita. Tous les témoignages oculaires réfutent cette affirmation. Aysenur était à plus de 200 mètres de l’endroit où se trouvaient les soldats israéliens, et il n’y a eu aucune confrontation là-bas pendant les minutes qui ont précédé le tir qui l’a tuée. Quoi qu’il en soit, à une telle distance, ni elle, ni personne d’autre n’aurait pu être perçu comme constituant une menace. Elle a été tuée de sang froid.
Cet article explore la complexité du conflit israélo-palestinien à travers sept points, chacun révélant des vérités clés. Il aborde la dépendance stratégique d'Israël vis-à-vis des États-Unis, ainsi que les violations des normes internationales et leurs conséquences humanitaires. L'impérialisme américain est présenté, soulignant Israël comme pion dans un jeu géopolitique plus vaste. L’absence de soutien des pays arabes à la case palestinienne et l'inefficacité du système de gouvernance mondial sont également examinées, tout comme l'hypocrisie des puissances occidentales. Enfin, il examine le silence de la Chine sur cette question, appelant à une action collective pour un avenir de paix et de justice pour le peuple palestinien.