auteur Patricio MONTESINOS

Le début de la fin du cycle de droite en Amérique Latine. (Rebelion)

Patricio MONTESINOS

Il est bon parfois d'être optimiste. En serrant les rangs pour dénoncer les coups et les mensonges. Voir ici. (NdT)

C'est parti pour le début de la fin du cycle de droite en Amérique Latine. Au Brésil, Argentine et Vénézuela, principaux objectifs des Etats unis et de l'oligarchie régionale qui, depuis 2015, a pu regagner du terrain dans ces pays et ailleurs. Mais en conséquence de ses attitudes de violence, des mesures grossières et antipopulaires, la droite commence à reculer. L'arrestation de Lula avec de gros moyens policiers dans sa propre maison, les interrogatoires arbitraires perpétrés contre ce leader brésilien et latino-américain ont déclenché partout l'alarme au sein des gouvernements progressistes et des mouvements révolutionnaires du sud du Rio Bravo à la Patagonie. Les secteurs conservateurs du géant sudaméricain s’enhardissent et leurs gesticulations pour prendre le pouvoir leur ont fait commettre une grave erreur : ils ont voulu faire peur à l'ancien président Lula, admiré et reconnu par son peuple et par tous les peuples du continent. L'agression du dirigeant historique du (…)

CUBA / ÉTATS-UNIS : L’Armée Pacifique des blouses blanches cubaines dans le collimateur des États-Unis

Patricio MONTESINOS
La prestigieuse Armée Pacifique des Blouses Blanches, comme l'appellent dans de nombreux coins du monde, ceux qui admirent les travailleurs cubains de la santé, est la cible permanente d'attaques incessantes de la part de Washington, pour tenter de saper l'une des plus grandes réalisations de la Grande "petite île des Caraïbes". Dès le triomphe de la Révolution, le 1er Janvier 1959, les Etats-Unis ont volé à Cuba la moitié de ses médecins, forçant la nation des Caraïbes à créer ce qui est maintenant des écoles de médecine (ELAM) reconnues par toute l'Amérique Latine et par le monde entier, et où d'ailleurs viennent étudier de jeunes nord-américains. La formation des professionnels de la santé sur l'île repose sur des principes d'humanisme fondamental et sur la solidarité. Outre sa qualification scientifique de niveau très élevé devenue célèbre, et totalement gratuite, elle est confrontée au mercantilisme qui prévaut actuellement dans le monde avec la détresse et les souffrances (…)

Les Etats Unis usent de méthodes éculées et inefficaces à l’encontre de la Bolivie. (Cubadebate)

Patricio MONTESINOS

21 Novembre 2012 - Dans la mesure où se rapprochent les élections générales prévues en 2014 en Bolivie, les Etats-Unis accélèrent la mise en oeuvre de méthodes de subversion éculées et inefficaces, très bien connues de plusieurs pays d’Amérique Latine, et qui ont été expérimentées contre Cuba depuis les premières années de sa Révolution, dans la décennie des années 60 au siècle dernier.

Réellement Washington fait la preuve qu'il manque d'initiatives dans sa façon d'agir pour faire la guerre aux processus révolutionnaires ! Cela se voit facilement si on fait juste un peu de recherche dans l'histoire de ses aventures perverses et illégales pour arriver à faire tomber les gouvernements d'Amérique Latine qui sont considérés comme des « adversaires ». Parmi les moyens principaux que comprennent les plans de subversion des régimes nord-américains et de leurs services secrets, comme la CIA (Agence Centrale de Renseignements), se détachent le fait de dénigrer continuellement les plus grands leaders des processus révolutionnaires, le fait de créer de fausses contradictions entre leurs principaux dirigeants, le fait d'alimenter et d'exacerber les conflits locaux et avec les pays voisins, et le fait de fabriquer des « opposants », financés sans aucun scrupule par le Pentagone. C'est aujourd'hui la Bolivie qui est la cible de ces façons d'agir, caduques et peu soignées, (…)

« Reporters sans vergogne » attaque maintenant la Bolivie (Rebelion)

Patricio MONTESINOS

« N’importe quoi, sauf la vérité. Il n’y a que ça qui ne se vend pas ». - Boris Vian

L'organisation autoproclamée Reporters Sans Frontières (RSF), qui dit défendre la presse dans le monde, attaque maintenant la Bolivie comme elle a coutume de le faire s'agissant des pays catalogués « adversaires » des États-Unis, en ourdissant une nouvelle agression envers cette nation des Andes, déjà la cible, tous ces temps derniers, de campagnes médiatiques incessantes et d'actions subversives. « Reporters Sans Vergogne » ainsi qu'on appelle communément cette organisation (subventionnée par Washington et ses alliés européens) en raison de ses sempiternelles accusations sans fondement, met en cause la décision du gouvernement du président Evo Morales de porter plainte contre trois organes de presse boliviens accusés d'avoir déformé ses déclarations. Depuis Paris, les représentants de RSF ont en outre injurié Evo Morales en déclarant que les médias de cette nation d'Amérique du Sud ont le droit de réfuter « l'aspect équivoque et maladroit » des déclarations du président élu. (…)