Suite à un événement qui a eu lieu en Allemagne, à Cologne précisément, Kamel Daoud a intervenu avec une opinion publiée le 31 janvier 2016 dans le quotidien français Le Monde, opinion intitulée « Cologne, lieu de fantasmes ». Avant de commencer à analyser le texte de Daoud, il faut rappeler ce qui s’est passé à Cologne le 31 décembre 2O15.
L’opération Serval peut aussi s’expliquer par la nécessité militaire de donner du service à des éléments qui ont fait l’Afghanistan. Un service que les États-Unis rendent en faisant avancer le pion français au Mali, d’autant que les marines et autres GI’s ont encore quelques affaires à régler en Afghanistan.
Sous le prétexte d’une « responsabilité de protéger », les Français sont intervenu au Mali sans mandat de l’ONU. Les puissances occidentales les soutiennent pour une mise sous tutelle programmée de l’Afrique.
Al Jazeera, propagande, mensonges, désinformations, trucages, faux- témoignages, mises en scènes et reportages bidons filmés dans ses studios ?
Cette chaîne des dictateurs du Qatar est ici rudement mise en cause par un journaliste algérien.
Verra-t-on les médias français investiguer sur Al Jazeera dont les émissions arrosent les pays arabes et influence les pouvoirs politiques occidentaux ?
Notre presse, si prompte à transformer en « caudillo » un président Chavez, qui a soumis son pouvoir à plus de 15 élections, qui récupère pour son peuple l’argent du pétrole, nous dira-t-elle que l’émir du Qatar est un dictateur moyenâgeux ? Que c’est une honte pour la France de voir tant des ses journalistes, intellectuels, artistes, sportifs, hommes politiques accepter les cadeaux sonnants et trébuchants de ces despotes ?
Voir : http://www.legrandsoir.info/le-jour-ou-jean-daniel-entre-autres-palpa-10-000-euros-de-la-dictature-du-qatar.html
www.legrandsoir.info/Quant-Plantu-recoit-une-dotation-d-une-dictature.html
La base militaire états-unienne d’Al Aydid, qui a servi dans la guerre contre l’Irak, protège les tyrans d’un Qatar (où le sort des femmes, des enfants jockeys de 6 ans (jusqu’en l’an 2005 !) et des travailleurs étrangers compte moins que des dattes). Le Qatar, lui, veille à ce que le printemps arabe ne se trompe pas de pays. Pas touche aux émirats, au Bahreïn, à l’Arabie saoudite...
Le Grand Soir