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Auteur : Laurent BRAYARD

Diana, torturée et battue à l’âge de 74 ans pendant trois heures par le Service de sécurité d’Ukraine (SBU)

Laurent BRAYARD
Dans la triste litanie des martyrs du Donbass, voici l’histoire de Diana Prokofevna Nikiforova, une habitante de la région de Liman, née en 1941. Comme l’immense majorité des populations des environs, elle avait participé au référendum de mai 2014, qui organisé dans tout le Donbass avait rencontré une immense ferveur populaire. La question était simple, la proclamation de la République Populaire de Donetsk et la séparation de l’Ukraine devenue folle après la révolution étasunienne du Maïdan. Elle n’aurait jamais pensé que les choses allaient prendre la tournure que l’on connaît, l’envoi par Kiev de troupes et de bataillons de représailles, les assassinats, les massacres et la guerre. Née durant la Seconde Guerre mondiale en pleine occupation de l’Allemagne nazie, cette enfant du Donbass revivait plus de 70 ans après les mêmes événements. Sa détermination à vouloir être Russe, elle qui avait connu l’âge d’or de l’URSS ne fut toutefois pas entamée, même pas après qu’elle fut arrêtée par la police politique du (...) Lire la suite »

Le Bataillon néonazi Aïdar n’a pas encore payé pour ses crimes...

Laurent BRAYARD

Ils étaient plusieurs ces journalistes russes qui laissèrent leur vie en voulant informer le public des événements durant la guerre du Donbass. En Occident, prompt à montrer du doigt le moindre des cas réels ou manipulés, de répressions ou de meurtres de journalistes, aucun média n’osa pourtant faire son travail et parler de ces hommes. C’est qu’en Occident, le Russe est redevenu « le sous-homme », dont la vie ne compte pour rien, l’untermenschen cher à Himmler et à la SS.

En Occident, les chefs d’orchestres et les musiciens russes n’ont pas le droit de se produire, comme les Juifs dans l’Allemagne nazie des années 30. Les sportifs russes sont disqualifiés, eux aussi, on interdit des lettres de l’alphabet, car elles symbolisent l’opération militaire russe, et dans divers pays, des monuments de commémoration de l’armée rouge ou de la victoire de l’armée soviétique contre l’Allemagne nazie sont détruits. L’interdiction va dans certains pays jusqu’au ruban de Saint-Georges, symbole russe de la victoire sur le nazisme, et même l’interdiction de fêter la victoire sur l’Allemagne nazie, le 9 mai. C’est au contraire leurs meurtriers qui sont désormais magnifiés par la presse occidentale et française bien sûr. La France le pays des Droits de l’Homme, et de la fameuse déclaration de 1789. Cette France qui a refusé par ailleurs de condamner le nazisme à l’ONU dans une session de la fin de l’année 2021... Alors ignorer ces assassinats de journalistes russes, une pacotille en quelque (...) Lire la suite »
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Le bataillon néonazi Tornado, un plongeon dans l’horreur brute

Laurent BRAYARD
Comme je l’écris déjà depuis plusieurs semaines, en Occident, le mensonge visant à cacher et protéger la présence de nombreux nazis en Ukraine sera difficile à tenir... Selon une rhétorique absurde et même ridicule tellement ces nazis sont visibles depuis 8 ans qu’ils agissent en Ukraine, il n’y aurait selon des « analystes » de journaux comme Le Monde, à peine un régiment de néonazis, en la personne d’Azov, et encore les 3 000 hommes de l’unité ne seraient pas tous des nazis... Fièrement, Le Monde lançait même un 3 % de l’armée ukrainienne. Oui mais... depuis 2014, nous autres qui combattons fermement cette propagande, nous avons pu les voir et les observer ces néonazis d’Ukraine et d’ailleurs ! Plus de 10 bataillons, au bas mot, sans parler d’unités indépendantes de partis ultranationalistes et néonazis, comme le Pravy Sektor, ça laisse des traces très visibles sur les réseaux sociaux. La quantité de massacres, tueries, viols et exactions dans le printemps et l’été 2014, fut remarquée, il ne pouvait en être (...) Lire la suite »
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Ukraine : soldats ukrainiens et SBU sèment la terreur à l’arrière du front

Laurent BRAYARD
En France vous n’aurez pas la possibilité de voir ces images, mais vous pourriez tout de même en trouver sur les médias sociaux et notamment sur Twitter. Depuis une dizaine de jours, des groupes armés de civils ukrainiens s’improvisant “gestapo volante”, de soldats ukrainiens de l’armée régulière, de bataillons spéciaux ou encore d’agents du SBU, terrorisent les populations civiles sur les arrières du front. Ces hommes se sont arrogés tous les pouvoirs, la justice a volé en éclats, ils forment des commandos qui traquent le moindre courage défaillant, le civil qui attendrait avec impatience l’armée russe, les hommes qui tenteraient d’éviter d’être envoyés à la boucherie contre l’armée russe, les jeunes filles qui avaient un copain russe ou suite à des dénonciations de toutes les personnes suspectes à la Grande Ukraine. Scènes d’horreur similaires à l’ambiance de Berlin en 1945. Les images défilent devant nos yeux depuis quelques jours. Ce qui était au départ un cas isolé, qui m’avait révolté, devient dès lors (...) Lire la suite »