Ils étaient plusieurs ces journalistes russes qui laissèrent leur vie en voulant informer le public des événements durant la guerre du Donbass. En Occident, prompt à montrer du doigt le moindre des cas réels ou manipulés, de répressions ou de meurtres de journalistes, aucun média n’osa pourtant faire son travail et parler de ces hommes. C’est qu’en Occident, le Russe est redevenu « le sous-homme », dont la vie ne compte pour rien, l’untermenschen cher à Himmler et à la SS.