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Auteur : Ramon CHAO

Guide du Paris rebelle

Ignacio RAMONET, Ramon CHAO
Mot de l'éditeur Organisé par arrondissement - chacun d'eux précédé d'un plan -, ce guide est une invitation à la découverte de personnages célèbres ou anonymes, français ou étrangers, que l'on peut qualifier de rebelles, tant par leur art, leur engagement social ou encore leur choix de vie. Depuis la Révolution française, Paris est la scène des manifestations populaires, des insurrections et des émeutes collectives. Toutes ayant eu un écho universel : la révolution de 1830, celle de 1848, la Commune, les émeutes de février 1934, les grandes grèves du Front populaire de 1936, la Libération de 1944, les protestations étudiantes de Mai 68, jusqu'aux émeutes des banlieues en 2005. De Louise Michel à Rosa Luxemburg, de Marx à Bakounine, de Hô Chi Minh à Che Guevara, un grand nombre de révolutionnaires ou de rebelles ont imprégné cette ville à la recherche d'inspiration politique ou d'esprit protestataire. Paris est aussi le berceau des révolutions artistiques, la ville où tous les « enfants terribles » de la (...) Lire la suite »
A l’occasion de la parution du livre "Cuba Miracles" (Wozniak, Antoine Chao et Ramon Chao) chez Flammarion

Cuba Miracles

Ramon CHAO
(précipitez-vous pour acheter Cuba Miracles, cet "objet -livre", merveille de couleurs, d'odeurs et de musiques) Le « dictateur » cubain Fidel Castro vient de passer les rênes de l'Etat à son frère Raúl. C'est bien la première fois qu'un chef d'État abandonne ses fonctions motu proprio. Un certain nombre d'hommes politiques n'ont pas, eux, daigné se démettre de leur fonction avant de mourir. Souvenons-nous par exemple des longues agonies des entubés Georges Pompidou, François Mitterrand, ou Jean-Paul II, lesquels à la fin de leur vie n'avaient plus que deux ou trois heures de lucidité par jour. Ces hommes-là étaient des « démocrates ». Mais ce fut aussi la façon de faire des moins fréquentables Franco, Salazar ou Brejnev. Comme de ce côté-là , Castro est inattaquable, on le critique ailleurs. Et on l'accuse de népotisme : « certes, il a abandonné le pouvoir, mais il l'a passé à … son frère ! » Pour moi, sa démarche n'est pas déplacée. Puisque Raúl Castro a la trajectoire, plus le mérite - lié à son (...) Lire la suite »