Président ultra-libéral et allié inconditionnel des Etats-Unis, Mauricio Macri, en poste depuis le 10 décembre 2015 vient de subir une cuisante défaite, porteuse d’espoir pour tous ceux ayant souffert de sa politique depuis son élection. A l’occasion des primaires, obligatoires pour ceux et celles souhaitant être candidats aux élections générales, dont le premier tour aura lieu le 27 octobre prochain, et qui constituent un réel sondage grandeur nature, le président argentin est arrivé loin derrière le Frente de Todos.
Alors que le Nicaragua s’apprête à célébrer les 40 ans de la Révolution sandiniste, qui chassa la dynastie dictatoriale des Somoza du pouvoir, il m’a paru important de revenir sur une affaire qui a beaucoup fait parler dans les années 80′. D’autant plus parce qu’aujourd’hui encore le gouvernement américain souhaite le renversement de Daniel Ortega ancien guérillero du Front sandiniste de libération nationale, réélu démocratiquement en 2016 à la tête du Nicaragua.
Les élections législatives grecques ont rendu leur verdict ce dimanche 7 juillet. Au terme du scrutin le parti Nouvelle-Démocratie (droite conservatrice) l’emporte largement avec 39,85% des suffrages, confirmant ainsi sa victoire aux élections européennes de mai dernier.
La lecture est un outil indispensable pour se former, s'éduquer, s'émanciper et s'épanouir. Une arme d'autant plus importante aujourd'hui à l'heure où il est souvent difficile d'avoir accès à certaines vérités, notamment historiques. Au travers de cette nouvelle série d'articles je vais essayer de présenter certains ouvrages qui m'ont semblé importants. Le livre que je vais présenter aujourd'hui traite d'événements qui se sont déroulés au début des années 70', mais qui peuvent se transposer à la situation actuelle.
L’Histoire nous permet d’apprendre ce qui nous a précédé. En son temps, Karl Marx avait averti que « celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre », démontrant ainsi la nécessité pour chacun de connaître les événements passés qui, bien souvent, fournissent une source d’explication pour les événements présents et futurs. Mais connaître l’histoire c’est aussi raconter ce qui est passé sous silence, ou volontairement oublié par certains. Au travers de cette série d’articles, je vais m’efforcer de mettre à jour des faits ignorés aujourd’hui mais ô combien importants. Après la première partie, consacrée aux années 30′, et à la seconde qui revenait sur les Accords de Munich et le pacte germano-soviétique, je vais m’attarder, dans cette troisième partie, sur conflit à proprement parler, ainsi que sur la libération de l’Europe pour essayer de démontrer que toute l’Europe de l’Est, et donc une majorité de pays, fut libérée des nazis grâce à l’Union soviétique
Le 11 avril dernier Julian Assange, fondateur du site Wikileaks, était arrêté par la police du Royaume-Uni alors qu’il était réfugié dans l’ambassade de l’Equateur à Londres depuis août 2012. Plus récemment le gouvernement anglais a ratifié l’ordonnance autorisant l’extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis. L’audience qui sera consacrée à l’examen de celle-ci a été fixée au 24 février prochain.
L’Histoire nous permet d’apprendre ce qui nous a précédé. En son temps, Karl Marx avait averti que « celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre », démontrant ainsi la nécessité pour chacun de connaître les événements passés qui, bien souvent, fournissent une source d’explication pour les événements présents et futurs. Mais connaître l’histoire c’est aussi raconter ce qui est passé sous silence, ou volontairement oublié par certains. Au travers de cette série d’articles, je vais m’efforcer de mettre à jour des faits ignorés aujourd’hui mais ô combien importants. Après la première partie, qui traitait des années 30 avant les Accords de Munich, lorsque l’URSS tenta d’obtenir une alliance avec la France et la Grande-Bretagne, cette seconde partie parlera à la fois des Accords de Munich, et de leurs conséquences, de l’obstination de la Pologne à réfuter l’accès à son territoire à l’Armée rouge, mais aussi du refus des occidentaux à établir une alliance militaire avec les Soviétiques. Refus qui aura pour conséquence directe le pacte germano-soviétique abordé à la fin de cet article.
L’Histoire nous permet d’apprendre ce qui nous a précédé. En son temps, Karl Marx avait averti que « celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre », démontrant ainsi la nécessité pour chacun de connaître les événements passés qui, bien souvent, fournissent une source d’explication pour les événements présents et futurs. Mais connaître l’histoire c’est aussi raconter ce qui est passé sous silence, ou volontairement oublié par certains. Au travers de cette série d’articles, je vais m’efforcer de mettre à jour des faits ignorés aujourd’hui mais ô combien importants. Pour ce cinquième épisode de cette série historique il me semblait important de mettre l’accent sur le rôle joué par l’Union soviétique durant la Seconde Guerre mondiale. En effet depuis plusieurs années en France, et plus généralement dans les pays de l’Europe de l’Ouest, il y a une tendance qui vise à minimiser, voire à oublier la lutte déterminante de l’Armée rouge et le rôle de celle-ci dans la chute du IIIe Reich.
En un mandat européen beaucoup de choses peuvent changer, et parfois pour le pire. En 2014 le groupe européen de la Gauche unitaire européenne / Gauche verte nordique (GUE/NGL) comptait 52 députés. Cinq ans plus tard ce nombre s’est bien réduit. J’ai essayé de recenser, pays par pays, les résultats des partis siégeant dans ce groupe, susceptibles de le faire ou aux idées similaires. Pour certains pays, notamment en Europe de l’Est il est très difficile de collecter de tels résultats, bien souvent car des listes proches idéologiquement de la GUE/NGL sont inexistantes ou très faibles électoralement.
Mardi 30 avril dernier l’opposant Juan Guaido, autoproclamé président du Venezuela depuis le 23 janvier, donnait le coup d’envoi de son opération « liberté ». Une opération destinée à renverser le gouvernement, légitime et démocratiquement élu. Cet événement aurait été qualifié par tous, et selon le droit, de coup d’état dans n’importe quel autre pays du monde, mais pas au Venezuela.