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BDS : la firme de sécurité G4S perd un nouveau contrat en Equateur

Le Centre International d’Etudes en Communication pour L’Amérique Latine (CIESPAL) a décidé de ne pas renouveler son contrat avec la firme de sécurité britannique G4S en raison de sa collaboration avec les violations des droits de l’homme par Israel.

Basé à Quito, la capitale équatorienne, cet important institut de recherche, a coupé les liens avec le N° 1 mondial de la "sécurité", en apprenant qu’il avait participé à la gestion des checkpoints, des prisons et des colonies de l’occupant.

G4S qui a perdu de nombreux contrats depuis le début de la campagne BDS, a annoncé, en 2016, qu’il se débarrassait de la plupart de ses investissements en Israel. Mais il a encore un contrat de formation avec la police israélienne et continue à être impliqué dans des activités de construction de colonies illégales sur des terres volées aux Palestiniens.

Il reste donc la cible de la campagne international de Boycott, désinvestissement, Sanctions (BDS) lancée par les Palestiniens.

(Traduit par CAPJPO-EuroPalestine)

Source : https://bdsmovement.net/news/bds-activists-score-first-victory-ecuador

CAPJPO-EuroPalestine

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Depuis 1974 en France, à l’époque du serpent monétaire européen, l’État - et c’est pareil dans les autres pays européens - s’est interdit à lui-même d’emprunter auprès de sa banque centrale et il s’est donc lui-même privé de la création monétaire. Donc, l’État (c’est-à -dire nous tous !) s’oblige à emprunter auprès d’acteurs privés, à qui il doit donc payer des intérêts, et cela rend évidemment tout beaucoup plus cher.

On ne l’a dit pas clairement : on a dit qu’il y avait désormais interdiction d’emprunter à la Banque centrale, ce qui n’est pas honnête, pas clair, et ne permet pas aux gens de comprendre. Si l’article 104, disait « Les États ne peuvent plus créer la monnaie, maintenant ils doivent l’emprunter auprès des acteurs privés en leur payant un intérêt ruineux qui rend tous les investissements publics hors de prix mais qui fait aussi le grand bonheur des riches rentiers », il y aurait eu une révolution.

Ce hold-up scandaleux coûte à la France environ 80 milliards par an et nous ruine année après année. Ce sujet devrait être au coeur de tout. Au lieu de cela, personne n’en parle.

Etienne Chouard

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