L’imaginaire des esclaves dans les champs de coton appartient aux Étasuniens, c’est celui des noirs dans les plantations. C’est typiquement une projection mentale purement américaine. Ça vient d’eux ! C’est signé !
Aujourd’hui, tous les champs de coton du monde sont cultivés avec des machines agricoles. L’esclavage moderne, on peut le trouver même à Paris contre des sans-papiers qu’ont exploite, comme domestiques, femmes de ménage, maçons du BTP, manutentionnaires, livreurs Uber, hommes toute main en restaurants. Ou dans les exploitations agricoles françaises, espagnoles, grecques, italiennes.
Merci à Maxime Vivas pour tous les renseignements sur le Xinjiang dans sa vidéo.