Pris de panique à son tour en raison de l’immensité du mal qu’il fait, le pouvoir actuel se révèle sous son véritable aspect : bête et méchant.
Constatant que toutes les « fractures » entretenues depuis longtemps, dans le peuple de France, pour l’asservir, se cicatrisent progressivement dans le génie d’une République unanime retrouvée, celle-ci n’ayant plus rien à perdre que sa liberté, le pouvoir plus malveillant que jamais, mais aussi plus débile que jamais, ordonne à ses derniers larbins médiatiques encore sur le trottoir de tirer leurs derniers coup, signés qui plus est, « ARMAGEDDON » : « l’astéroïde 2018VP pourrait s’écraser sur terre », véritable Nanar DTV et encore...
La seule chose dont on soit sur, c’est que l’hémorroïde MACRON et sa bande vont s’écraser en 2022, au plus tard, et en France.
En attendant, petit interlude sur l’évolution des astres (Désolé si c’est chiant) :
La vie d’un corps céleste peut se diviser en trois âges.
Pendant le premier il forme lentement son noyau inorganique aux dépens de la matière cosmique.
Pendant le second ce noyau primitif se recouvre de couches nouvelles qui s’organisent : nous y voyons régner l’eau et la vie.
Le troisième âge d’un astre est l’état d’incandescence.
L’apparition de la matière organisée à la surface d’un monde est le prélude de l’incandescence, le premier mot de l’ignition.
La matière organisée est le « combustible » qui s’enflammera un jour et brûlera aux dépens de l’oxygène qui enveloppe la planète.
Tant que cet incendie n’a pas commencé, le corps céleste est un astre obscur. Le jour où il commence à brûler, il devient un soleil.
C’est au moyen de la matière organisée enfouie dans les couches terrestres que nous alimentons nos foyers de combustion. Mais si ces immenses dépôts venaient un jour à s’enflammer spontanément, sans notre concours, l’incendie se propageant tout autour du globe, nous n’aurions aucun moyen de l’arrêter.
Et, de ce moment, la terre passerait à l’état de soleil. Elle rayonnerait dans l’espace, en repoussant, au loin, tout ce qui se trouverait sur le chemin de ses radiations.
Alors, les matériaux dont sont faits les corps vivants, remis en liberté dans la décomposition, s’en iraient, sous la forme atomique, c’est-à-dire radiante, porter la vie à d’autres astres plus jeunes que le nôtre. La terre féconderait la lune et, peut-être, d’autres corps célestes en voie de formation, tels que les astéroïdes.
Il ne faut pas considérer cette fin d’un astre obscur comme l’anéantissement du monde organisé, mais plutôt, comme la renaissance d’une vie nouvelle, car, les astres ne meurent que pour revivre. Il ne faut donc pas se laisser surprendre par ce sentiment de tristesse et d’épouvante qui accompagne toujours l’idée du néant. Il faut, au contraire, voir dans cette fin, la cause de la fécondation d’une infinité d’autres mondes, dispersés dans l’espace, et vivifiés par les radiations bienfaisantes des éléments qui sont mis en liberté à la surface des astres qui s’enflamment.
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