RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher


La presse en deuil après l’annonce de la mort du culte de la personnalité à Cuba depuis 1959.

"Il n’y aura aucun monument ou édifice au nom de Fidel Castro, selon une de ses dernières volontés" - Raul Castro, 3/12/2016

On lit aussi dans le Figaro : "Ségolène Royal fait l’éloge de Fidel Castro, tollé dans la classe politique".

Il s’agit probablement d’une coquille car le titre aurait du être : "Le monde entier rend hommage à Fidel Castro, sauf une certaine classe politique"

Théophraste R.
"que c’est bon d’avoir toujours eu raison"

URL de cette brève 5260
https://www.legrandsoir.info/la-presse-en-deuil-apres-l-annonce-de-la-mort-du-culte-de-la-personnalite-a-cuba-depuis-1959.html
Imprimer version PDF
pas de commentaires
no comment
reagir
Commentaires
09/12/2016 à 11:43 par aldamir

Le CRIF pèse de tout son poids en France, c’est d’ une évidence notoire, à laquelle les français doivent dorénavant bien s’en accommoder et accepter.

#130328 
09/12/2016 à 12:14 par banal

On attend toujours de la classe politique française qu’elle donne son avis sur le fait qu’environ 500000 personnes (effet de l’embargo compris) ont été rayées de la planète en 10 ans avec les 2 guerres du pétrole en Irak.
On attend aussi qu’elle s’exprime sur les massacres plus ou moins annuels de plusieurs milliers de gazaouis par l’armée israëlienne, autrement qu’en nous expliquant qu’Israël est "une grande démocratie".
Donc la classe politique française (et occidentale) et les médias français parlent des droits de l’homme en pataugeant dans des cadavres et le peuple, qui n’a pas droit à la parole, se rit d’eux.
Ils font semblant de découvrir que les révolutions sont toujours sanglantes et que, comme disait l’autre, ce "n’est pas un dîner de gala". Ils ont d’ailleurs la même vision de la grande révolution française pour la plupart.
Quelle découverte ! Comme le monde aurait été mieux si le dictateur Batista les intérêts Etats Uniens ainsi que les casinos et les bordels mafieux étaient partis d’eux mêmes : il n’y aurait pas eu Fidel Castro
Et quel dommage que la noblesse française (ce qu’est la classe politique et les médias aujourd’hui) n’ait pas abandonné ses biens toute seule : il n’y aurait pas eu Robespierre.
C’est l’histoire de toutes les révolutions et ceux qui insinuent qu’elles n’ont servi à rien ou pire doivent considérer 2 choses : est ce que le Cuba de Batista était "mieux" (malnutrition, espérance de vie, santé, éducation ) que celui de la révolution de Castro ? La réponse est non, et de très loin. Ensuite après une révolution ceux qui ont toutes les formes de pouvoir ne sont pas les mêmes qu’avant.
Et donc cela suffit à les justifier.
Engels a très bien expliqué à propos de la révolution Française , mais c’est valable pour toutes les révolutions, que les menaces extérieures pour revenir à l’ordre ancien font qu’elles oscillent entre le vagus et le sympathicus suivant l’intensité de la menace et cela explique tout ce qu’il se passe y compris leur violence :

Toute la Révolution française est dominée par la guerre de coalition ; toutes ses pulsations en dépendent. L’armée de la coalition pénètre-t-elle en France ? – prédominance du vagus, battements de cœur violents, crise révolutionnaire. Est-elle contrainte de déguerpir ? Alors le sympathicus prend le dessus, les battements du cœur se ralentissent, les éléments réactionnaires se poussent de nouveau au premier plan, les gens de la plèbe, l’embryon de ce qui sera plus tard le prolétariat et dont l’énergie a seule sauvé la Révolution, sont mis à la raison et rangés à l’ordre.

A Cuba il en était de même avec les agressions extérieures en tous genres.

#130330 
RSS RSS Commentaires
   

Circus politicus
Christophe Deloire, Christophe Dubois
A quelques mois de l’élection présidentielle de 2012, les Français sont saisis d’angoisse à l’idée que la fête électorale débouchera sur une gueule de bois. La crise aidant, la politique se révèle un théâtre d’ombres où les signes du pouvoir servent surtout à masquer l’impuissance. Qui gouverne ? Qui décide ? Circus politicus révèle les dessous d’un véritable « putsch démocratique », une tentative de neutralisation du suffrage universel par une superclasse qui oriente la décision publique. Il montre comment le (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

Depuis 1974 en France, à l’époque du serpent monétaire européen, l’État - et c’est pareil dans les autres pays européens - s’est interdit à lui-même d’emprunter auprès de sa banque centrale et il s’est donc lui-même privé de la création monétaire. Donc, l’État (c’est-à -dire nous tous !) s’oblige à emprunter auprès d’acteurs privés, à qui il doit donc payer des intérêts, et cela rend évidemment tout beaucoup plus cher.

On ne l’a dit pas clairement : on a dit qu’il y avait désormais interdiction d’emprunter à la Banque centrale, ce qui n’est pas honnête, pas clair, et ne permet pas aux gens de comprendre. Si l’article 104, disait « Les États ne peuvent plus créer la monnaie, maintenant ils doivent l’emprunter auprès des acteurs privés en leur payant un intérêt ruineux qui rend tous les investissements publics hors de prix mais qui fait aussi le grand bonheur des riches rentiers », il y aurait eu une révolution.

Ce hold-up scandaleux coûte à la France environ 80 milliards par an et nous ruine année après année. Ce sujet devrait être au coeur de tout. Au lieu de cela, personne n’en parle.

Etienne Chouard

Lorsque les psychopathes prennent le contrôle de la société
NdT - Quelques extraits (en vrac) traitant des psychopathes et de leur emprise sur les sociétés modernes où ils s’épanouissent à merveille jusqu’au point de devenir une minorité dirigeante. Des passages paraîtront étrangement familiers et feront probablement penser à des situations et/ou des personnages existants ou ayant existé. Tu me dis "psychopathe" et soudain je pense à pas mal d’hommes et de femmes politiques. (attention : ce texte comporte une traduction non professionnelle d’un jargon (...)
Comment Cuba révèle toute la médiocrité de l’Occident
Il y a des sujets qui sont aux journalistes ce que les récifs sont aux marins : à éviter. Une fois repérés et cartographiés, les routes de l’information les contourneront systématiquement et sans se poser de questions. Et si d’aventure un voyageur imprudent se décidait à entrer dans une de ces zones en ignorant les panneaux avec des têtes de mort, et en revenait indemne, on dira qu’il a simplement eu de la chance ou qu’il est fou - ou les deux à la fois. Pour ce voyageur-là, il n’y aura pas de défilé (...)
Hier, j’ai surpris France Télécom semant des graines de suicide.
Didier Lombard, ex-PDG de FT, a été mis en examen pour harcèlement moral dans l’enquête sur la vague de suicides dans son entreprise. C’est le moment de republier sur le sujet un article du Grand Soir datant de 2009 et toujours d’actualité. Les suicides à France Télécom ne sont pas une mode qui déferle, mais une éclosion de graines empoisonnées, semées depuis des décennies. Dans les années 80/90, j’étais ergonome dans une grande direction de France Télécom délocalisée de Paris à Blagnac, près de Toulouse. (...)
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.