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Le gouvernement français et ses média contents d’envoyer des soldats français contre la Russie

Les média français, au lieu, de promouvoir des voyages touristiques dans les très jolis pays baltes, pour faire découvrir aux Français ces pays reculés tout en haut de l’Europe en guise d’introduction pour aussi découvrir la Russie, afin de protéger et cultiver la paix entre les peuples, annoncent fièrement que, « dans les pays baltes, l’armée française et ses alliés s’entraînent à la guerre face à la Russie ».

La présidence française du Conseil de l’UE se fait, clairement, sous la menace française et des autres membres de l’Otan envers la Russie, un pays, qui pourtant, ne fait que tout organiser pour préserver la paix et colmater les fuites et éteindre les incendies allumés un peu partout à travers le monde par les Etats-Unis et ses vassaux.

Description froide et dangereuse pour parler de la guerre. Le journaliste du Figaro plante un décor froid et dangereux dans son récit pour parler de la présence militaire française. On ne vient pas pour admirer le paysage ni pour apprendre la langue mais pour faire la guerre dans une nature hostile : « (...) le véhicule blindé léger (VBL) arpente les alentours rapidement et discrètement pour repérer, sur un terrain où se mêlent la neige et la terre, des conifères et les bouleaux squelettiques, des étendues d’eau glacées traîtresses et des routes forestières, les prochaines positions à prendre. Dehors, la température navigue sous zéro et le ciel est clair. La veille, les gifles des rafales de... ». Il faut mettre dans la tête du lecteur français que cette zone, qui est proche de la Russie, est mauvaise, hostile. Pourtant, à la vérité, les pays baltes, en hiver ou en été sont de très jolis pays et les bouleaux ne sont pas squelettiques, mais resplendissants. Il se peut que sur cette zone d’entraînement militaire des forces occupantes de l’Otan, à force d’employer des obus et de tirer des munitions et de faire passer des chars, et d’employer des produit nocifs à la nature, ils, pour cette raison, soient squelettiques.

Mot-clef. Le Figaro, en date du 21 janvier 2022, utilise des mots-clefs pour définir la stratégie militaire française dans le territoire balte : « mobilité » ; « rapidement ». Comme Observateur Continental le rapportait, citant le site officiel de l’Alliance de l’Atlantique Nord, la France dirige depuis le 1er janvier 2022 les forces de haute alerte de l’Otan pour une durée d’un an, avec les six mois de sa présidence du Conseil de l’UE. Cette formation, officiellement connue sous le nom de Force opérationnelle interarmées à très haut niveau de préparation (VJTF) de l’Otan, a été créée « en 2014 en réponse aux crises survenues au Moyen-Orient et à l’agression perpétrée par la Russie contre l’Ukraine », écrit l’Otan. Cette formation militaire, la VJTF, disponible en permanence et capable de se déployer en quelques jours afin de défendre tout pays de l’Alliance, est l’élément au plus haut niveau de disponibilité opérationnelle de la Force de réaction de l’Otan, qui compte 40 000 soldats », a précisé le communiqué de l’Otan.

Observateur Continental expliquait qu’en 2022, la VJTF se composera d’une force multinationale de plusieurs milliers de soldats. S’appuyant sur le 1er régiment d’infanterie et le 3ème régiment de hussards, la Brigade franco-allemande, forte de 3 500 soldats, constituera le noyau de cette force. Dirigée par le Corps de réaction rapide, basé à Lille, la Brigade franco-allemande est une unité binationale, qui témoigne du lien solide unissant les deux membres de l’Alliance que sont l’Allemagne et la France, indique l’Otan, et confirme que d’autres pays de l’Otan, dont l’Espagne, le Portugal et la Pologne, fourniront également des forces. Des éléments des forces françaises intégrés dans la VTJF crapahutent, donc, entre des bouleaux squelettiques et dans la neige, tout cela sous la présidence française du Conseil de l’UE, au moment où l’Otan accentue l’envoi de troupes et d’armes sur ce qu’il convient d’appeler le front.

L’Otan cherche un nouveau conflit pour élargir son emprise sur des Etats souverains. Emmanuel Macron, qui a déclaré : « Ce que nous vivons actuellement, c’est la mort cérébrale de l’Otan », est étonnant. Au lieu de dire stop à la volonté guerrière de cette organisation politique et militaire qui entraîne la France, mais aussi l’UE, dans un nouveau conflit qui sert les intérêts de Washington, la France s’est déclarée prête à envoyer des troupes en Roumanie sous le commandement de l’Otan. La machine médiatique occidentale, en outre, s’emballe pour parler avec frénésie d’une guerre imminente avec la Russie alors que la Russie ne bouge pas de ses frontières et que les forces de l’Otan envoient massivement les soldats de ses pays membres et ses armes (aussi discrètement) sur la frontière avec la Russie. Dès le mois de septembre 2021, Emmanuel Macron qui adore utiliser le mot « guerre », alors que les Français souhaitent vivre en paix et pacifiquement, surtout avec la terrible épreuve qu’ils sont en train de traverser avec la gestion de la Covid-19, évoquait préparer un « Blitzkrieg » pour la présidence française de l’UE.

La Russie, elle, montre toujours de la bienveillance et cherche à préserver la paix en utilisant encore et toujours la diplomatie afin de faire revenir à la raison une élite occidentale qui est en train de refaire les erreurs historiques commises dans le passé en acculant à la guerre une nation souveraine. La France manque de s’inscrire dans les livres d’Histoire en ne prenant pas une position neutre ou antiguerre. Le service de presse de l’Otan annonce ce lundi 24 janvier 2022, précisant que le Danemark envoie des F-16 en Lituanie, que les Pays Bas envoient des F-35 en Bulgarie et l’Espagne une frégate vers la mer Noire : « Les Alliés envoient davantage de navires et d’avions à réaction pour renforcer les déploiements défensifs de l’Otan en Europe de l’Est. Un signe fort de solidarité alliée ». Plus qu’une guerre, l’Otan joue de la pression pour faire rentrer l’Ukraine officiellement dans l’Otan.

Le 17 janvier 2022, Observateur Continental, informait que l’Otan et l’Ukraine avaient signé un rapprochement. La question est de savoir combien de temps la Russie, ce pays pacifiste, va supporter l’agression de l’Otan ?

source

 https://reseauinternational.net/le-gouvernement-francais-et-ses-media-contents-denvoyer-des-soldats-francais-contre-la-r
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COMMENTAIRES  

28/01/2022 09:14 par mourad

Je souhaite une guerre Rien que pour le plaisir de voir cette armée de chiens de gardes des USA ce faire laminé à coup de missiles hypersonique russes , cette guéguerre seras finis en une semaine pas plus , et je ne parle pas de l’option nucléaire car peu probable , des missiles enrichie peut être ,mais une ou plusieurs grosses bombes a la "Tzar Bomba" et l’Europe risque de ne plus existé sur la World Map, c’est pas cool pour les peuples , mais ce sont vos gouvernements qui ne cessent d’agresser la Russie et ça territorialité , et je souhaite aussi que le conflit s’exporte vers les côtes américaine , avec des sous-marins nucléaires russes qui bombarde et rase au moins une ou deux villes majeur américaine , il en faut pour tout le monde , et je crois que c scénario est très plausible, la fin de l’empire de l’ouest et le renouveau a l’est , une Amérique écrasé est la seul option pour une paix mondiale durable.

28/01/2022 09:37 par J.J.

Et oui, Pichrocole n’est pas mort !
Ce qui serait intéressant à voir, c’est le joli freluquet de l’Élysée, allant en personne crapahuter sous les bouleaux squelettiques, lui qui n’a même pas fait de service militaire. Dispensé pour quelle raison ?

28/01/2022 17:55 par Claude

Ne pas oublier que les russes ont une capacité électronique pour neutraliser tous les centre névralgiques de commandement de l’OTAN
D’autre part avec la précision de leur armement balistique les connards qui nous gouvernent ne seront pas épargnés.
Les tigres de papier doivent le savoir d’où leur gesticulation sans limite.
Quant a notre Jupiter de mes deux il ferait mieux de fermer sa grande gueule.

29/01/2022 10:44 par Auguste Vannier

Tous ces parasites jouant avec la guerre et qui nous coûtent un "pognon de dingue" , il faudrait les mettre immédiatement en première ligne à la première "escarmouche", face à une armée Russe motivée pour défendre ses voisins russophones qui ne veulent pas être assimilés aux "nazis" de Kiev...
C’est risible tant que Poutine assure une diplomatie patiente et de sang-froid, mais à force de gesticuler les pantins pourraient finir par énerver l’Ours.
La réalité, une fois de plus, présentée sérieusement par B.Guigue :
https://francais.rt.com/opinions/95226-qui-menace-paix-ukraine-bruno-guigue

29/01/2022 13:32 par CAZA

Bonjour J.J.
C’est compliqué et alambiqué les explications à Libé !
Il semble que Macron n’aurait pas insisté pour porter le bel uniforme !!
Comme je n’ai pas tout bien compris D’autres y arriveront peut être ?
https://www.liberation.fr/checknews/2018/06/28/emmanuel-macron-a-t-il-effectue-son-service-national-de-quelle-maniere_1662508/

29/01/2022 15:43 par Fald

On oublie trop que la Russie n’a attaqué vers l’ouest que lorsqu’on est allé la chercher : les Polonais au 17ème siècle, à l’époque elle aussi oubliée où ce pays était la grande puissance d’Europe centrale, les Français avec Napoléon et les Allemands avec Hitler.
Ce que les Russes appellent leur trois grandes guerres de libération.
Hélène Carrère d’Encausse a dit l’autre jour à la TV que Poutine n’est pas fou et n’a aucune envie de se lancer dans des guerres de conquêtes.
Si même elle s’en est aperçue, ça indique le niveau des autres.
Mais le capitalisme a trop concentré les richesses, il risque le blocage, et les fois précédentes, il s’en tirait avec des guerre pour relancer la machine. Les dépenses en matériel militaire et la reconstruction ensuite sont d’excellentes sources de profit.
Depuis 1945, le fait qu’une grande guerre serait nucléaire a fait peur, et on s’est contenté, si on peut dire, de guerres contre des peuples non équipés de bombes A.
Il semble que ce genre d’expéditions ne suffise plus.
On va donc prendre le risque d’une déflagration généralisée, et le méchant est déjà désigné.

29/01/2022 17:21 par Geb

@ Auguste Vannier...

C’est bien vrai.

Mais cette fois-ci il n’y aura pas de "première ligne".

Sauf si c’est juste une escarmouche en bois déclenchée pour stigmatiser malgré leur volonté les méchants Russes.

Zelensky a déjà commencé à faire machine arrière quand il a compris que la chair à canon des USA et de ses potes européens c’était lui.

"Fou" mais "pas trop con" quand même.

https://reseauinternational.net/le-president-ukrainien-appelle-loccident-a-ne-pas-semer-la-panique-face-a-la-russie/

La vraie première ligne si on veut être autre chose que des acteurs passifs et ballotés, elle se passe, ou se passera ICI.

NOUS contre EUX.

De toute façon d’ici 2023 on sera fixés sur les modalités du combat.

29/01/2022 19:41 par Danael

Le constat de la politique américaine d’encerclement de la Russie et de la Chine n’est pas nouveau mais l’article de Moon of Alabama du 28 janvier souligne aussi que l’Europe, ayant fait le choix de l’OTAN pour sa protection, se retrouve prise dans la toile d’une multitude de bases américaines et d’exigences géopolitiques extérieures qui réduit énormément sa marge de manœuvre et d’ autonomie par rapport aux intérêts américains dans la région et la met en danger.
Jake Sullivan conseiller à la sécurité nationale des États-Unis auprès du président Joe Biden a déclaré clairement : « Nous voulons que les termes du système [international] soient favorables aux valeurs et aux intérêts américains : Il s’agit plutôt d’une disposition favorable dans laquelle les États-Unis et leurs alliés peuvent façonner les règles internationales pour les sujets qui vont fondamentalement compter pour le peuple [étasunien]… ». Il est donc urgent pour la France de sortir de l’OTAN et de cesser ses postures incohérentes : manières fortes puis téléphone personnel à Poutine soi-disant pour mieux comprendre alors que les Russes disent la même chose depuis des années. Parlons plutôt de clownerie électoraliste.
En attendant ce martèlement américain d’une attaque imminente russe en Ukraine créé un vent de panique contreproductif que le gouvernement de Kiev voudrait bien arrêter dans son pays. Même les pires imbéciles ont un brin de réalisme.

30/01/2022 12:23 par Assimbonanga

Faut-il un commentaire ? Voici le portrait de notre président, à afficher dans les mairies.

30/01/2022 14:15 par Fald

Une chose me gonfle depuis 1989, c’est la géométrie variable à l’infini et dramatiquement meurtrière de nos dirigeants en matière de droit des peuples à disposer d’eux mêmes.
Il y a eu la Yougoslavie.
Les restaurateurs du capitalisme ont-ils eu peur que ce pays leur résiste ? Lui qui avait foutu Hitler à la porte sans attendre un débarquement allié, et qui s’était ensuite permis de dire « merde » à Staline ?
Je ne sais pas. Ce qu’on a vu, c’est des gouvernants occidentaux monter les ethnies yougoslaves les une contre les autres, en désignant d’entrée des méchants, les Serbes, et des gentils, les autres. En ne donnant surtout pas la parole à ceux qu’on pourrait appeler les « vrais » Yougoslaves, issus de mariages serbo-croates, slovéno-bosniaques, etc., plus fréquents il y a 40 ans que ne le seront chez nous, dans 50 ans, les mariages blanc-beur ou beur-black. Il fallait que la Yougoslavie éclate et elle a éclaté.
Et c’est là que nos éclateurs en chefs, dans leur éminente géométrie variable, ont décrété que l’intégrité territoriale des anciennes républiques fédérées était sacrée. Les régions serbes, donc méchantes, de Croatie et de Bosnie ne devaient en aucun cas se rattacher à la Serbie.
Et on applaudissait en France au spectacle de soldats serbes chassés des casernes ex-fédérales, pas à poil mais presque, sous les quolibets de la foule. Si certains en sont devenus des bêtes féroces par la suite, c’était évidemment parce qu’ils l’étaient de naissance, de par leur ethnie.
On n’est pas raciste, mais on tient compte des réalités...
Summum criminel de l’absurde : sacraliser l’intégrité territoriale de la Bosnie-Herzégovine. C’était une Yougoslavie miniature, composée de territoires de toutes les ethnies yougoslaves. On savait que la guerre y serait plus terrible encore qu’ailleurs. Eh bien, on l’a fait ! On aurait dû dire qu’elle n’existait plus, ou alors réduite à un minimum, autour peut-être de Sarajevo, et encore. Mais non ! On voulait que les Yougoslaves se foutent sur la gueule pour qu’ensuite ils se tiennent peinards, et ça a marché.
Il en est allé de même avec l’URSS, et donc avec l’Ukraine.
Il fallait que l’empire éclate. Combien ai-je été d’ailleurs à réfléchir à cette dénomination d’empire ? Un empire où la métropole fournissait des matières premières et achetait des produits finis. Pour s’exprimer façon foire aux cancres : c’était exactement comme un empire sauf que c’était exactement le contraire.
Mais bon ! L’empire a éclaté, puisqu’il le fallait. Mais attention ! Les pays issus de cet éclatement devaient conserver, là aussi, leur intégrité territoriale. Tous ont des régions russes, dites russophones, mais pas question qu’elles se rattachent à la Russie. Ces Russes sont priés d’accepter leur statut de sous-citoyens dans les nouveaux pays indépendants. Et on s’étonne que, de temps en temps, ça pète !
En Ukraine, les choses ne se passaient pas trop mal jusqu’à ce qu’un gouvernement néo-nazi décide que le russe ne pouvait plus être la deuxième langue officielle du pays.
La Crimée a réagi en organisant un référendum.
Il est intéressant, puisque je parle de géométrie variable, de comparer les réactions de nos politiciens à deux référendums : celui de Crimée et celui de 2005, en Espagne, sur la constitution Giscard.
Une vraie majorité de Criméens se sont prononcés pour un retour à une Russie qu’ils n’avaient quittée que quelques décennies plus tôt sur une décision un peu saugrenue de Khrouchtchev.
Pour nos politiciens, une vraie majorité, c’est « nul et non avenu », pour citer notre président. Et bien sûr, un résultat qui déplaît est forcément dû à de la fraude.
En Espagne, le peuple n’avait été informé, à la va vite, que du préambule de la constitution, 15 % du texte. 40 % des électeurs avaient voté, et le « oui » avait fait 80 % des votants. Rapporté au peuple espagnol, 32 % avaient voté « oui » à 15 % du texte.
Pour nos politiciens, ce vote était valable, et le « oui » à toute la constitution était massif.
Dans le Donbass, les choses ont tourné à l’affrontement. On nous parle toujours de « rebelles pro-russes ».
Mais ils sont russes ! Appartenir à l’Ukraine ne leur faisait rien tant que leurs deux pays étaient unis. Etre citoyen d’une Ukraine indépendante ne leur a pas déplu outre mesure tant qu’il avaient le droit d’être officiellement russophones. Mais du moment que le nationalisme ukrainien nie leur particularité, ils se révoltent.
Pour nos politiciens à géométrie variable, l’URSS devait exploser, mais l’Ukraine doit garder ses provinces non-ukrainiennes.
Et on n’est toujours pas raciste, mais les Russes sont comme les Serbes : forcément les méchants.
La géométrie variable et la connerie crasse de nos dirigeants va-t-elle nous entraîner dans une guerre ? Une vraie, potentiellement nucléaire ?
D’après Hélène de Jefaiscarrière et Jencause, Poutine serait assez intelligent pour éviter ça. Comptons donc sur lui, même si c’est risqué.
Car de notre côté, les Américains ne seraient pas contre de faire avec notre peau une guerre qui n’atteindrait pas leur territoire. Et les dirigeants européens leur sont trop inféodés pour les contredire, quitte à en crever eux-mêmes.

31/01/2022 19:28 par Chris

L’OTAN est le verso militaire d’une même pièce dont le recto économique est l’UE.
Une pièce dans la main des USA, of course.

04/02/2022 13:43 par Fald

à Chris :
L’UE n’est pas que la face économique de la médaille (militaire).
La première tentative prétendument européenne était la CED, Communauté Européenne de Défense (car tous les pays, même les plus belliqueux, ont un ministère de la défense, jamais un ministère de l’attaque, tout au plus, autrefois, un ministère de la guerre.)
La soi-disant Europe à été conçue tout de suite comme une hiérarchisation des armées de l’OTAN.
Ce n’est qu’après la mise en échec de la CED par la France (les communistes y étaient encore influents, et les Gaullistes étaient encore patriotes, leur seule qualité, perdue depuis) que les "pères" de "l’Europe" ont fait quelque chose d’apparemment plus présentable. Le but réel, atteint depuis, était la reprivatisation généralisée de l’économie, mais cela ne se voyait pas trop au début.
Et le but final reste une "Défense Européenne", bien sûr intégrée à l’OTAN, sous commandement américain.

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