Vous avez remarqué ce phénomène étrange : un présentateur télé, un leader politique, un politologue, des gens connus, omniprésents, peuvent disparaitre du paysage (licenciement, perte du mandat électoral, maladie, âge…) sans qu’on le remarque. Quelques années plus tard, certains reviennent et on dit : « Hé, regarde, Machin-là, Truc, c’est vrai qu’on ne le voyait plus ! ». Un autre meurt et : « Ah ? Je le croyais déjà mort. ».
Qu’ils partent et d’autres les remplacent dont la notoriété sera pareillement fabriquée. Que les médias se taisent et la lumière s’éteint, leur trou dans l’eau se referme aussitôt.
Ah, le niveau d’un nullard nommé Naulleau ! Sans Zemmour, il ne serait rien. Le voici pâle faire-valoir, charismatique comme la fille qui garde le sac de sa copine qui danse toute la nuit. Content de sa moindre fade parole, s’il vous dit « Il fait beau » il arbore en suivant un sourire fat, comme s’il était le soleil et s’il avait chassé la pluie.
Rien n’est aussi déprimant que sa niaiserie orgueilleuse d’elle-même. Il dit : « Nabilla, potins et popotin » et « Mélenchon n’est pas la fureur, mais le Führer » et ces traits d’esprit de cours de récréation l’enivrent de contentement de soi. Il les tweete à tout va. Il est mal dégrossi. Ni fait ni à faire, il est l’ours dont La Fontaine a dit qu’on ne l’a qu’ébauché.
Quand il quittera les feux de la rampe et il ne manquera à personne, pas même à Zemmour. Le PAF en sera meilleur.
L’anagramme de Naulleau donne : « nulle », « anale » et « ce sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit » (à vérifier).
Théophraste R. « Tant va la cruche à Naulleau qu’à la fin je me fâche » (proverbe idiot pour me mettre à son niveau).