Mexique, DF. (proceso.com.mx).- "« Il est plus dangereux d’être une femme au Mexique qu’un soldat à Gaza ou dans un autre pays qui fait face à un conflit armé », a déclaré au journal La Jornada Maràa José Gómez González, chargée des affaires de genre, violence et droits de l’homme aux Fond des Nations Unies pour les Populations (UNFPA).
La fonctionnaire a aussi souligné que le Mexique occupe les premières positions au niveau mondial au niveau de la commission de délits de violence sexuelle et de traite de personnes.
D’après Maràa José Gómez González, des rapports de l’ONU placent le Mexique comme un pays « avec une haute incidence » dans cette catégorie de délits, au même niveau que l’Ukraine et la Thaïlande.
« Les informations de l’ONU signalent que plus de 800 mille femmes et enfants (de sexe féminin) filles sont victimes d’exploitation sexuelle au Mexique, et que 38 mille (jeunes, adultes et enfants de sexe féminin) ont été assassinées durant ces dernières années ».
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La rédaction, Proceso (Mexique). Source : http://www.proceso.com.mx/?p=336299
Traduction pour Le Grand Soir : Luis Alberto Reygada