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Hollande amnésique, Montebourg humilié, Ayraud berné, patron arrogant...

Pourquoi il faut nationaliser le site de Florange 

Le 24 février 2012, en pleine campagne présidentielle, le candidat François Hollande effectuait une visite surprise à Florange et déclarait être "prêt à déposer une proposition de loi" obligeant à céder des unités de production à des repreneurs.

"Quand une grande firme ne veut plus d’une unité de production et ne veut pas non plus la céder", il faut qu’elle en ait "l’obligation pour que les repreneurs viennent et puissent donner de l’activité supplémentaire", a-t-il déclaré.

Aujourd’hui, les salariés et leurs familles attendent la nationalisation du site de Florange afin de pouvoir maintenir leurs emplois.

Ils ont besoin de votre aide ! Signez cette pétition en cliquant sur ce lien, et diffusez-la le plus largement possible :
 
http://sauvonsflorange.wesign.it/fr

"Je viens devant vous prendre des engagements (...) Je ne veux pas me retrouver dans la situation d’être élu un jour sur une promesse et ensuite de ne pas revenir parce qu’elle n’aurait pas été tenue" a déclaré François Hollande.

Or, neuf mois plus tard, la promesse n’est pas encore honorée. De plus, le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault, alors conseiller spécial de François Hollande, s’est engagé mardi 24 avril 2012 à faire voter par "la future majorité parlementaire de gauche" une loi obligeant les groupes industriels à céder les usines "rentables" qu’elles voudraient fermer en France sans pour autant accepter de les vendre.

Il y a urgence. Après 18 mois de lutte nous attendons que Monsieur le Président tienne sa promesse et qu’il nationalise le site afin de permettre à un repreneur d’investir. Nous appelons tous les citoyens à soutenir notre démarche en signant cette pétition.
 
Parlez-en autour de vous ! Faites connaître notre combat !

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La Colombie [sans Ingrid ni Pablo] – Un récit de voyage
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On ne peut pas évoquer la Colombie sans penser à Ingrid Betancourt ou à Pablo Escobar. Pourtant, les interlocuteurs rencontrés par Cédric Rutter au cours de son voyage n’ont jamais parlé d’eux. Ce pays ne se limite pas au trafic de drogue et à la guérilla des Farc. Cette zone stratégique et magnifique, porte de l’Amérique du sud entre deux océans, abrite des communautés et des individus en demande de paix dans une démocratie fragile. Ils ont tant à enseigner et à dire. L’auteur les a écoutés (…)
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Croire que la révolution sociale soit concevable... sans explosions révolutionnaires d’une partie de la petite bourgeoisie avec tous ses préjugés, sans mouvement des masses prolétariennes et semi-prolétariennes politiquement inconscientes contre le joug seigneurial, clérical, monarchique, national, etc., c’est répudier la révolution sociale. C’est s’imaginer qu’une armée prendra position en un lieu donné et dira "Nous sommes pour le socialisme", et qu’une autre, en un autre lieu, dira "Nous sommes pour l’impérialisme", et que ce sera alors la révolution sociale !

Quiconque attend une révolution sociale “pure” ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution.

Lénine
dans "Bilan d’une discussion sur le droit des nations", 1916,
Oeuvres tome 22

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