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Qui veut ternir l’image de Nelson Mandela ?

Mandela, une icône de la résistance. ( D. R.)

La fondation Nelson-Mandela a démenti, aujourd’hui mardi, des informations relayées par certains médias internationaux disant que le légendaire leader sud-africain aurait reçu une instruction militaire par le Mossad israélien en 1962, en Éthiopie, affirmant que tous les documents en sa possession, dont des notes écrites de la main même de Mandela, n’en portent aucune mention.

Dans un communiqué rendu public, la fondation précise que dans ses carnets, authentifiés par les autorités compétentes en Afrique du Sud, le leader disparu a mentionné avoir reçu, en effet, une instruction militaire en cette année de 1962, mais par les combattants algériens sur le territoire marocain, à quelques mois de la proclamation du cessez-le-feu.

D’ailleurs, des photographies montrant Nelson Mandela aux côtés d’officiers de l’ALN et de dirigeants de la Révolution algérienne, largement reprises par la presse à l’annonce de la mort du leader africain, attestent de cette réalité que certains médias occidentaux veulent aujourd’hui escamoter.

La fondation ajoute que le défunt a, en effet, reçu une autre instruction en 1964 près d’Addis Abeba, en Éthiopie, mais par une milice révolutionnaire qui n’a aucun lien avec Israël, comme le prétend la presse israélienne qui a été la première à répandre ces allégations.

Celle-ci avait un but : essayer d’absoudre l’entité israélienne de ses accointances criminelles avec le régime apartheid de l’Afrique du Sud que Nelson Mandela et son mouvement ont réussi à vaincre.

Voyant l’immense estime dont jouit le leader africain de par le monde, tous les porte-voix du néocolonialisme ont essayé de s’en approprier le symbole, à défaut de s’en reconnaître, en chantant hypocritement – on l’a vu lors de la cérémonie d’adieu – les louanges d’un homme qui a voué sa vie pour l’émancipation de son peuple.

R. Mahmoudi

»» Algeriepatriotique.com
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Putain d’usine, de Jean Pierre Levaray.
« Tous les jours pareils. J’arrive au boulot et ça me tombe dessus, comme une vague de désespoir, comme un suicide, comme une petite mort, comme la brûlure de la balle sur la tempe. Un travail trop connu, une salle de contrôle écrasée sous les néons - et des collègues que, certains jours, on n’a pas envie de retrouver. On fait avec, mais on ne s’habitue pas. On en arrive même à souhaiter que la boîte ferme. Oui, qu’elle délocalise, qu’elle restructure, qu’elle augmente sa productivité, (…)
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« Citoyens,

Ne perdez pas de vue que les hommes qui vous serviront le mieux sont ceux que vous choisirez parmi vous, vivant votre vie, souffrant des mêmes maux. Défiez-vous autant des ambitieux que des parvenus ; les uns comme les autres ne consultent que leur propre intérêt et finissent toujours par se considérer comme indispensables. Défiez-vous également des parleurs, incapables de passer à l’action ; ils sacrifieront tout à un beau discours, à un effet oratoire ou à mot spirituel. Evitez également ceux que la fortune a trop favorisés, car trop rarement celui qui possède la fortune est disposé à regarder le travailleur comme un frère. Enfin, cherchez des hommes aux convictions sincères, des hommes du peuple, résolus, actifs, ayant un sens droit et une honnêteté reconnue. Portez vos préférences sur ceux qui ne brigueront pas vos suffrages ; le véritable mérite est modeste, et c’est aux électeurs à choisir leurs hommes, et non à ceux-ci de se présenter. Citoyens, Nous sommes convaincus que si vous tenez compte de ces observations, vous aurez enfin inauguré la véritable représentation populaire, vous aurez trouvé des mandataires qui ne se considèrent jamais comme vos maîtres.

Le Comité Central de la Garde Nationale »

Texte de l’affiche apposée avant l’élection de la Commune de Paris, 25 mars 1871.

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