Les iraniens ne manquent pas d’humour. Cet article relevé sur le site de l’agence iranienne irna m’a bien amusée, malgré la sombre gravité du sujet, et je me fais donc un devoir de le partager avec vous, chères soeurs et chers frères du GS.
Adresse de l’article : http://www2.irna.ir/fr/news/view/line-96/1202157623183923.htm
Téhéran. Irna.15 Février 2012.
Le ministre des Affaires étrangères Ali Akbar Salehi, dans des messages séparés, adressés aux responsables d’organisations régionales et internationales, a mis en garde contre les conséquences des interventions militaires étrangères contre les civils de Bahreïn.
Selon le ministère iranien des Affaires étrangères, M. Salehi a envoyé mercredi des messages aux responsables de l’Organisation des Nations Unies, du Conseil de sécurité des Nations unies, de l’Organisation de la coopération islamique, de l’Union européenne, de la Ligue arabe et des pays membres du mouvement des non-alignés.
Dans ses messages respectifs, M. Salehi s’est dit préoccupé par la situation que subit le peuple de Bahreïn.
Il a également mis en garde contre les lourdes conséquences des interventions militaires étrangères dans le pays et a souligné la responsabilité du gouvernement de Bahreïn et des pays alliés.
Il a également condamné la répression violente du mouvement pacifique de la nation musulmane de Bahreïn qui souhaite recouvrer leurs légitimes droits civils et proteste contre les politiques discriminatoires et les violations des droits de l’Homme.
Le chef de la diplomatie iranienne a également déclaré que la poursuite de la répression à Bahreïn ne constitue pas seulement une violation des droits fondamentaux de la nation mais qu’elle menace également la paix et la stabilité dans la région.
Le ministre iranien des Affaires étrangères dans son message a également souligné l’engagement de l’Iran à la Charte des Nations Unies et aux lois internationales soulignant qu’il est urgent de trouver une solution à la situation du peuple bahreïni et de restaurer la confiance entre la nation et le gouvernement pour permettre en particulier la tenue d’un dialogue équitable, seule façon de résoudre le crise dans le pays.