Enfin, la vérité de La Palice sort de bouche de António Guterres. Ne possédant aucune force d’action pour sanctionner les criminels de guerre, il plaide pour un cessez-le-feu urgent. En faisant ainsi, son rôle se limite à un rabbin lamentateur, un imam inopérant ou un prêtre impuissant qui implore Dieu durant ses prières pour arrêter ce génocide. Monsieur António Guterres, il est temps de fermer votre club de complaisances. Mes respect Monsieur Guerres ! Je m’excuse ce n’est pas lapsus ou une faute de frappe ! Vous avez perdu votre (T) à Gaza. Nous remarquons que dans votre club la voix des plus forts se tait quand les crimes au Rwanda, en ex-Yougoslavie et à Gaza sont mentionnés. Par contre, cette voix crie tout haut et condamne quand le génocide d’Auschwitz est à peine murmuré.
A l’issue des élections de dimanche dernier, le Premier ministre sortant Benjamin Netanyahou a déclaré que le succès de son parti Likoud était une victoire pour son peuple : « ... nous venons de remporter une grande victoire pour le Likoud, le camp national et pour notre peuple... ».
Beaucoup avaient espéré que Benjamin Netanyahu serait battu aux élections israéliennes d’hier. Je n’étais pas de ceux-là.
L’adhésion palestinienne à la Cour Pénale Internationale (CPI) a mis en branle une série d’événements aux conséquences d’une grande ampleur potentielle, tant pour Israël que pour les Palestiniens.
Les funérailles de Nelson Mandela ont été marquées notamment par l’absence remarquée de deux personnalités, celle du Premier ministre israélien et celle du dalaï-lama.
Benjamin Netanyahu a invoqué le coût du voyage en Afrique du Sud pour sécher les obsèques de Mandela. Quant au dalaï-lama, son porte-parole a déclaré : « logistically it’is impossible at this time ».
Les raisons alléguées (économiques ou logistiques) ne sont évidemment que des prétextes.