Certes, on pourra commenter à loisir ces vidéos, chercher la faille, la mise en scène, « mais quand même, quand même, merde ! » comme ajoute Manuel Valls (quand il dit qu’il aime sa femme et donc Israël).
Dans l’une, se déplace le président de la « patrie des droits de l’homme », entouré de tant de gardes du corps qu’on ne peut l’apercevoir, tandis que la foule le hue, le conspue, le siffle, l’insulte en réclamant sa démission.
ici
Dans l’autre, Raul Castro, entouré de trois personnes (dont son petit-fils, qui est son garde du corps), arpente une rue d’une grande ville cubaine. Il est reconnu, acclamé, la foule grossit, il discute avec elle. Plus loin, on aperçoit des hommes en uniformes. L’armée ! Ce sont des combattants de la campagne contre le virus Zika.
Ne montrez pas ces vidéos à vos amis lecteurs de la presse libre (sic) française s’ils sont solfériniens et cardiaques.
Théophraste R. (Bacardi n’est pas un rhum cubain, mais étatsunien. Faites suivre).