Bien écrit et joué, cher Vincent : JJ Rousseau a décrit des processus, malheureusement, universels et éternels. Le peuple croit, effectivement, être libre, et, en fait, au lendemain, des élections, il devient, avant tout, esclave : du choix des autres ou de ses propres choix (ou non-choix). De même, cette définition d’un gouvernement démocratique, totalement illusoire et jamais vérifiée. C’est un gouvernement du peuple, élu par le peuple et pour le peuple : quelle foutaise !