Fethi GHARBI,
Aucun besoin d’un article de bas étage pour démystifier la résistance. Depuis les années 60-70 avec notamment l’historien américain Robert Paxton, les films français "Lacombe Lucien" et "Le Chagrin et la pitié" qui n’a pas été banni en France contrairement à ce que Nabila Ramdani prétend, la résistance française a été disséquée et analysée. Aujourd’hui il y a toute une production d’ouvrages historiques qui répond à ce mythe.
En résumé, et toujours en contradiction à ce que la menteuse professionnelle qui a rédigé cet article aimerait que la réalité soit, les Français ne nient plus leur rôle (misérable) dans la seconde guerre mondiale, Ils vont plus loin en l’apprenant dés le collège dans les cours d’histoire et de géographie, petit détail que Ramdani n’osera jamais écrire.
Nabila Ramdani,
Toujours avoir une pique à lancer sur l’actuel résident de l’Élysée semble être sa devise. Tous ses articles (hormis un qui ô miracle n’évoquait pas la France et ses musulmans) au Guardian laisse l’impression évidente d’une petite aigreur amère envers le petit de Neuilly ?
Certes, il existe une multiplicité croissante de raisons de ne pas l’estimer (je le méprise moi-même), mais il serait intéressant de connaître ses motivations à ce sujet qui la pousse jusqu’à déformer la réalité (ce qui est plutôt malvenu et grossier de la part de quelqu’un qui exerce le métier de journaliste).
D’ailleurs en quoi Sarkozy est-il responsable des actes de son père pendant la seconde guerre mondiale ou même devrait en partager la honte s’il y en a une, au fait son père n’avait que 16 ans à la fin de la guerre, autre détail oublié par Ramdani.
Pourquoi ne pas poser une autre question, qu’a fait la famille de Ramdani pendant la seconde guerre mondiale ? Quoi ils n’ont pas aidé le monde à se débarrasser du fascisme et du nazisme !!! C’est intolérable !!! Honte sur vous !!!
Nous noterons aussi son courage exceptionnel qui la pousse à écrire ses articles pour des journaux britanniques (et non en France évidement) dans le but évident de dépeindre de manière avantageuse son sujet de prédilection (la France et en deuxième la communauté musulmane française) auprès d’un public gavé jusqu’à indigestion de tabloïds digne du plus nauséabond des caniveaux.