Le Polisario est un mouvement crée et inventé par l’Algérie pour s’opposer à la libération du Sahara par le Maroc, toute comme l’autre enfant des services secrets de la DRS algérien pour déstabiliser les pays du sahel et du Sahara l’AQMI qui regroupe les terroristes algériens exportés par l’Algérie vers les frontières de ses voisins du sud pour brouiller les cartes et enlever les ressortissants occidentaux pour vendre une image de "l’Algérie qui combat le terrorisme" un terrorisme créer par elle même pour le marchandage et le chantage politique et mettre à genoux les pays voisins qui n’ont aucune relation "culturelle" avec la culture de l’extrémisme islamiste algérien !! et aussi pour conserver le pouvoir le plus longtemps que la rente pétrolière le permet avant son épuisement dans 16ans ! Le conflit n’est qu’une face de la guerre entre le Maroc et l’Algérie !
Jusqu’à quand l’Algérie va continuer dans la ligne de l’hypocrisie par l’ignorance et le refus du droit d’autodétermination du peuple Kabyle Amazigh ? S’il existe un peuple qui mérite légalement d’exercer son droit à l’autodétermination c’est bel et bien le peuple Kabyle qui n’a aucun lien avec l’État algérien (qui n’existe pas elle même dans l’histoire que comme une province ottomane), car le peuple Kabyle remplit tout les critères préconisés par le droit international à savoir, une histoire, une langue et une civilisation et identité et territoire propre une population qui compte 7.500.000 habitants c.ad. 42fois la population du Sahara chère au généraux (avec richesse vu l’existence des chrétiens et juifs en Kabylie) différente la majorité arabo - islamique algérien. Vive Le peuple Kabyle sous la direction de son gouvernement provisoire en exil.
Soyons réalistes. Tout le monde connait la génèse du Front Polisario et le contexte dans lequel il a vu le jour en 1973 et le soutien qu’il a eu de la Lybie et de l’Algérie. Le Front Polisario a été le bras armé du bloc de l’Est pour renverser la monarchie marocaine avec l’aide des gauchistes dissidents marocains de l’époque (années 70, 80 et début des années 90). Comme vous devez le savoir, le Maroc était dans le bloc américain alors que tous les pays arabes étaient dans le bloc soviétique. Hassan II était l’homme à abattre pour bon nombre de leaders arabes. Souvenez-vous du mouvement des nasseristes qui a eu son effet dans plusieurs pays dont l’Algérie. Le Front Polisario a été financé et armé par l’Algérie pour mener une guerre terrible contre le Maroc. La solution pour le Maroc a été d’ériger le mur de sable qui a protégé les sahraouis unionistes des attaques du Polisario. La guerre s’est terminée (comme par hasard) en 1991 lorsque le bloc soviétique a été démantelé. Le référendum devait prendre place mais le Maroc et l’Algérie ne se sont jamais entendus sur les listes des votants. Le Maroc avait accepté le plan backer 1 alors que l’Algérie l’avait refusé. Ensuite, le Maroc avait refusé le plan backer 2 alors que l’Algérie l’avait avalisé. Grâce au projet d’autonomie proposé par le Maroc et conçu par les sahraouis unionistes du CORCAS, les négociations ont repris entre le Maroc et le Front Polisario dirigé par l’Algérie. Ce dirigisme est malheureusement néfaste à la région tout entière. Il y a eu un changement de leader et de politique au Maroc mais pas en Algérie. Ce point bloque malheureusement le processus de réconciliation des sahraouis qui n’attendent qu’une chose c’est de partir des camps de Tindouf en Algérie pour retourner au Maroc rejoindre leurs proches. Pour plus d’informations sur la question du Sahara Occidental, visitez les sites web des sahraouis unionistes : http://www.corcas.com http://www.sahara-online.net http://www.sahara-villes.com http://www.sahara-culture.com http://www.sahara-developpement.com http://www.sahara-social.com Web TV : http://www.corcas.tv
Les fins connaisseurs des tenants et aboutissants de ce conflit, vieux de 35 ans, affirment que les événements de Laâyoune procèdent d’un "agenda bien étudié" établi par les séparatistes et leur donneur d’ordre l’Algérie, avec pour objectif de "créer un élément de déstabilisation et saboter les négociations, tout en faisant porter au Maroc la responsabilité de tout échec".
Une contestation purement sociale transformée en acte de "sédition"
l’histoire du camp est "d’une telle complexité que les communiqués contradictoires brouillent la réalité", surtout pour un observateur non averti basé à Madrid, Rome ou Londres.
Des tentes dressées par des personnes qui décident de se regrouper le temps d’obtenir satisfaction de leurs revendications ayant trait à l’emploi et à l’accès aux aides sociales, cela offre une occasion idoine pour le polisario et derrière lui l’Algérie pour instrumentaliser cette action à des fins politiques, estime le journaliste, auteur du livre "Guerre secrète au Sahara occidental" qui vient de paraitre chez "Encre d’Orient", à Paris. Les initiateurs du camp, qui « n’adhèrent ni à la violence ni aux thèses du polisario », sont ensuite rejoints par "des éléments pro-polisario » qui mettent à profit le climat de libertés d’expression et de circulation que leur garantit le Maroc, pour faire de la subversion", ajoute-t-il.
Ces éléments subversifs refusent le dialogue et procèdent à la séquestration systématique de toute personne qui voulait démonter sa tente et quitter le camp après satisfaction de ses revendications.
Face à cette situation illégale, le Maroc a été obligé de démanteler le camp au nom de la justice et de la loi et surtout pour protéger les populations sahraouies retenues contre leur gré.
Les forces de l’ordre, qui sont intervenues, avaient pour strict consigne de mener l’opération sans armes et d’une manière pacifique, pointant du doigt une radicalisation de groupuscules pro-polisario (il y’a lieu à signaler l’arrestation des éléments algériens portant passeports et documents officiels algériens !!) qui semaient le désordre, s’infiltrant au sein de la population locale pour inciter à la sédition.
Une affaire instrumentalisée pour stopper l’hémorragie du polisario
Les événements de Laâyoune illustrent de manière claire une opération d’instrumentalisation montée par les services secrets algériens, une réalité qui devient de plus en plus évidente, estiment plusieurs observateurs.
La raison qui incitait ces semeurs de désordre dans le camp, est de permettre une fuite en avant des dirigeants séparatistes pour contrer la désaffection que suscite le polisario au sein même de son fief, les camps de Tindouf, dans le sud algérien.
Ce phénomène prend une ampleur alarmante pour les séparatistes surtout après le retour massif au Maroc de sahraouis séquestrées dans les camps, le dernier retour en date n’étant que celui de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, inspecteur général de "la police du polisario".
Convaincu de la probité de la démarche du Maroc, qui a proposé un plan d’autonomie pour cette région du sud du Royaume, cet ancien cadre du polisario annonce publiquement sa décision de retourner aux camps de Tindouf pour défendre la proposition marocaine, mais il a été enlevé à son entrée sur le territoire algérien et mis en détention dans un endroit tenu secret.
Malgré une fausse annonce de sa libération, il n’y a toujours aucune nouvelle de lui et ses proches craignent le pire pour lui, déplore Charles Saint Prot, membre du Comité de soutien des juristes français à Ould Sidi Mouloud.
Il est maintenant dans un état de santé précaire et, selon ses proches, "sa vie serait en danger suite à des blessures dont il aurait été victime de la part de ses geôliers", précise le Pr. Saint Prot qui dénonce "l’expulsion par l’Algérie du père du disparu qui voulait se rendre à Tindouf pour rencontrer la femme et les enfants de son fils et avoir des informations sur son sort".
Silence total sur la situation alarmante dans les camps de Tindouf
Le géo-politologue français a saisi cette occasion pour évoquer la situation alarmante des sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf auxquels l’Algérie persiste à empêcher l’entrée du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), en violation flagrante des accords internationaux.
Il a, à cet égard, fustigé les deux poids deux mesures de certains médias espagnols qui, d’un côté, passent sous silence total la situation des droits de l’Homme à Tindouf, mais, de l’autre, s’emballent d’une manière apocalyptique pour tout ce qui est anti-marocain, en violation des règles d’éthique et de neutralité journalistiques.
Pour lui, "l’implication politique et financière de l’Algérie explique beaucoup de choses". Alger, qui subventionne le polisario, persiste à "déformer la réalité de manière à bloquer la dynamique insufflée par la proposition marocaine d’autonomie, une initiative considérée comme crédible et sérieuse par la communauté internationale qui a convenu de l’inapplicabilité du référendum.
Les observateurs européens ont bien noté avec satisfaction l’annonce de la reprise des pourparlers informels sous l’égide de l’ONU, conformément au voeu du secrétaire général de l’ONU et de son émissaire Christopher Ross pour institutionnaliser le processus, tout en soulignant l’adhésion pleine du Maroc à ce processus.
Le Maroc, adhère pleinement aux négociations, en respectant les trois règles : « le réalisme, la volonté de faciliter le travail de l’ONU et la disposition à accélérer le processus » pour peu que les adversaires changent leurs positions et s’inscrivent réellement dans la dynamique onusienne que la communauté internationale soutient de plus en plus fort.