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Thème : Radio France/France Inter

Ne m’appelez plus Radio France…

Maurice LEMOINE
Courrier au médiateur auditeurs.inter@radiofrance.com http://mediateur.radiofrance.fr/mediateur/ Le service public de radiodiffusion et de télévision français a-t-il pour vocation d’informer les citoyens ou d’être le porte-parole de l’opposition vénézuélienne ? La question est posée tant le lynchage mené par ses différentes chaînes – avec, en tête de gondole, France Inter et France culture – contre la République bolivarienne du Venezuela a redoublé de violence (s’il était possible) à l’occasion de l’élection présidentielle du 20 mai, laquelle a vu la réélection du président Nicolás Maduro. La critique du gouvernement dit « bolivarien » est légitime, dans le cadre, démocratique, de tout média d’information ou d’analyse digne de ce nom. Néanmoins, et sans entrer dans un débat sur le Venezuela qui nécessiterait de longs développements, comment la quasi totalité de vos propagandistes à microphone peut-elle affirmer que ce denier scrutin s’est déroulé sans opposition ? Jusqu’à preuve du contraire, il n’a été boycotté que (...) Lire la suite »
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La maison vraiment ronde

VILA

Bientôt un mois de grève à radio France, c’est tout simplement historique. Il est évident qu’avec une coupe budgétaire de 50 millions, ce sont bien les salariés qui vont en faire les frais. Un plan de licenciement de 300 emplois est déjà dans les tuyaux selon les syndicats. Il aurait été même demandé à divers petits chefs de fournir discrètement des listes d’employés superflus. Et c’est bien ça le drame.

Mathieu Gallet (PDG du groupe) cherche par tous les moyens à déguiser son plan de licenciement en départ volontaire. Pourtant à priori, ce n’était pas compliqué, il suffisait d’attendre l’adoption définitive de la loi Macron. Loi scélérate, par excellence, qui a pour but d’officialiser le licenciement sans motif. Après les échecs de Villepin en 2005 (avec le CPE) et après la rupture conventionnelle de Xavier Bertrand en 2008 (qui est une rupture de gré à gré, donc inégale), il fallait bien que le parti socialiste finisse le travail proprement. Mais à cette attaque du service public s’ajoute un gâchis pharaonique. En effet le chantier de reconstruction de la maison lancé depuis plus de dix ans pour 176 millions d’euros dépasse les 584 millions aujourd’hui. À cela s’ajoute une bombe qui éclate à la veille de la grève. Le Canard enchaîné révélait que le PDG a fait refaire son bureau pour une petite facture de 105 000 euros alors qu’il avait été refait à neuf il y a peu. Visiblement, il n’est pas le premier à faire (...) Lire la suite »

France-Culture saute sur le Donbass

ARIS et FLORÉAL

Une forme de Kulturkampf règne sur les ondes de France "Culture". La matinale de cette chaîne où chaque jour une propagande grossière, insistance, univoque, répugnante se déploie pour "l’économie de marché", comprendre la capitalisme, et son cortège de misère et de guerres, de destruction des hommes et de leur planète, est en passe de franchir une nouvelle étape de dangerosité dans l’abjection de son message idéologique. Désormais sur tous les fronts c’est l’appel à la guerre impérialiste. Des invités triés sur le volet répètent comme des robots : "guerre, guerre, guerre" !

Sur Cuba ou sur le Venezuela, sur Gaza ou sur l’Ukraine, sur la Libye ou sur la Syrie, l’Irak, le Mali, l’Afrique orientale (Soudan, Somalie...) ou le Tibet un véritable tapis de bombes s’abat déjà sur les ondes et les malheureux auditeurs de cette chaîne, laquelle refuse d’ailleurs tout espace interactif à ses auditeurs. Tout résistant à l’ordre capitaliste est traité d’ennemi, de nouvel Hitler, et surtout, surtout, on utilise la menace et l’appel à la guerre. Qu’importe que l’une des « cibles » soit la Russie, seconde puissance nucléaire mondiale, avec toutes les conséquences exterminatrices qu’aurait une guerre nucléaire entre ce pays, encerclé par les USA et l’OTAN de la Baltique à l’Asie Centrale en passant par Kiev et par le Caucase, et l’alliance euro-atlantique en plein vertige expansionniste. Ce jeudi matin 4 septembre, les va-t-en-guerre de France-« culture », ont battu des records, mais il est vrai que chaque jour est pire que le précédent, la clique à l’œuvre, invités et journalistes (...) Lire la suite »

Pas de promo pour Assange sur France Inter

David Medioni

Julian Assange en interview sur France Inter. La direction décide de ne pas en faire la promotion. Daniel Mermet, l’auteur de l’interview, râle. Nouvelle manifestation de l’inimitié entre l’animateur et Philippe Val, le directeur de la station.

Depuis hier, Daniel Mermet, animateur de "Là -bas si j'y suis" sur France Inter, diffuse dans son émission une interview au long cours de Julian Assange, le fondateur de Wikileaks. L'homme est assez rare. Sauf en ce moment puisqu'il est en pleine promotion de son livre Menace sur nos libertés, comment Internet nous espionne, comment résister. Il a ainsi reçu Le Point, L'Express, Sud-Ouest, Europe 1 et de nombreux autres médias. France Inter et Mermet font partie de cette tournée, mais c'est tout de même un évènement que d'avoir deux heures d'interview d'Assange. Vendredi 15 mars, Mermet et l'équipe de "Là -bas" réalisent donc un spot d'autopromo pour diffusion sur l'antenne d'Inter, afin d'appâter l'auditeur. Le responsable de la programmation de ces spots, Eric Oswald, donne son accord pour cinq passages à l'antenne à partir de lundi 18 jusqu'au mercredi 20 mars, jour de diffusion de la première partie de l'interview. Seulement, voilà , nous sommes le jeudi 21 mars et ces spots d'autopromo ne (...) Lire la suite »
Philippe Val à la tête de France Inter

Bienvenue Philippe !

reprise d’article
Chers Auditeurs Modestes et Géniaux, « Comment cela est-il possible !? Dites nous qu'il s'agit d'un cauchemar ! Si c'est une blague, elle n'est pas drôle… » Depuis des semaines, vous avez été nombreux à nous poser de questions sur l'arrivée de Philippe Val à la direction de France Inter. Soyez sans inquiétude, Philippe est un vieil ami de Là -bas si j'y suis et c'est dans la joie que toute l'équipe accueille celui que l'historien Alexandre Adler compare à Emile Zola. Et pourquoi pas à Voltaire, Spinoza, Albert Londres ou Albert Einstein ? Car Philippe c'est tout ça à la fois ; une conscience, un visionnaire, et un penseur engagé face aux grands défis de notre temps. Et ceci à la différence de ses anciens camarades qui persistent à végéter dans un gauchisme moisi, souvent entaché d'antisémitisme et d'islamo fascisme. En dénonçant avec courage des figures nauséabondes comme celle du dessinateur Siné ou du journaliste Denis Robert, du dessinateur Lefred-Thouron ou du négationniste américain Noam Chomsky, Val (...) Lire la suite »

Inculpés de TARNAC : Tripatouillage sur «  l’ultra-gauche », en direct de France Inter

reprise d’article
Tripatouillage sur « l'ultra-gauche », en direct de France Inter Publié le 24 novembre 2008 par Olivier Poche Après les sabotages des lignes TGV, le 8 novembre dernier, neuf personnes, présentées comme membres d'une « mouvance anarcho-autonome » et « d'ultragauche » par la ministre de l'Intérieur ont été mises en garde à vue. Les médias, par l'odeur alléchés, se sont jetés sur cette affaire, en relayant en général la version officielle. Dernier épisode de cette chasse aux coups médiatiques sur un sujet « croustillant », au moins aux yeux de ceux qui le couvrent : l'annonce tonitruante sur France Inter d'un « scoop » sur cette ultragauche qui prend les armes, scoop qui se dégonfle aussitôt promis, comme le reconnaît, à contrecoeur et à mots couverts, le journaliste pris la main dans le pot de confiture. Samedi 22 novembre, dans « Eclectik », l'émission de Rébecca Manzonni sur France Inter, Thomas Chauvineau consacre son « journal de bord » à ceux qu'on présente comme des « militants d'ultragauche », et qu'il (...) Lire la suite »

Miguel Benasayag, viré de France Culture - Par Evelyne Sire-Marin, Syndicat de la Magistrature

DIVERS
Ceux qui appréciaient les chroniques quotidiennes de Miguel Benasayag dans les "matins de France Culture", à 8h30, s'appercevront lundi prochain qu'elles sont supprimées. En effet, Miguel Benasayag a été licencié par Laure Adler, la directrice des programmes de France Culture, jeudi 18 mars et a fait sa dernière chronique ce vendredi 19 mars. La chronique de jeudi s'appuyait sur le texte ci dessous, comparant le programme sécuritaire du Front National et les réalisations de N Sarkozy ; cette chronique finissait par un soutien à Albert Levy, dont le procès commençait jeudi matin. La directrice des programmes de France culture a estimé que les chroniques de Miguel étaient trop orientées politiquement, et mentionnaient trop souvent les combats du DAL (droit au logement) ou du Syndicat de la Magistrature( comme ce fut le cas jeudi). Il faut savoir que l'une des chroniques précédant celle de Miguel Benasayag dans les "matins de France Culture"est celle d'Alain Gérard Slama, à 7h45, journaliste au (...) Lire la suite »