Il y a 78 ans, le 21 février 1944, 22 membres de la FTP-MOI étaient fusillés par les nazis au Mont Valérien.
Trois avaient 18 ans, quatre avaient 19 ans.
La seule femme du groupe, Olga Bancic, 32 ans, sera transférée en Allemagne et décapitée dans la prison de Stuttgart le 10 mai 1944.
« À ce moment précis [août 1945], le Japon cherchait le moyen de capituler en sauvant un peu la face. (…) Il n’était pas nécessaire de frapper avec cette chose horrible » Eisenhower « Les Japonais étaient déjà vaincus et prêts à se rendre. (…) L’utilisation à Hiroshima et à Nagasaki de cette arme barbare ne nous a pas aidés à remporter la guerre. (…) En étant le premier pays à utiliser la bombe atomique, nous avons adopté (…) la règle éthique des barbares » Amiral Leahy, chef d’État-Major particulier des présidents Roosevelt puis Truman
Le président russe offre une évaluation complète de l’héritage de la Seconde Guerre mondiale, en affirmant que "Aujourd’hui, les politiciens européens, et les dirigeants polonais en particulier, souhaitent balayer la trahison de Munich sous le tapis. La trahison de Munich a montré à l’Union soviétique que les pays occidentaux allaient traiter les questions de sécurité sans tenir compte de ses intérêts".
Comme chaque année le 8 mai est l’occasion, en France, en Europe, et dans le monde, de fêter la victoire sur l’Axe lors de la Seconde Guerre mondiale et de commémorer les morts de ce conflit. Si aujourd’hui les phases successives de la guerre sont assez connues, et leurs horreurs largement prouvées et démontrées, d’autres aspects de cette sombre période demeurent méconnus. C’est le cas des camps de « relocalisations » étasuniens, qui servirent à enfermer plus de 120 000 personnes, ressortissants Japonais et Étasuniens d’origine japonaises de 1942 à 1945.
L’Histoire nous permet d’apprendre ce qui nous a précédé. En son temps, Karl Marx avait averti que « celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre », démontrant ainsi la nécessité pour chacun de connaître les événements passés qui, bien souvent, fournissent une source d’explication pour les événements présents et futurs. Mais connaître l’histoire c’est aussi raconter ce qui est passé sous silence, ou volontairement oublié par certains. Au travers de cette série d’articles, je vais m’efforcer de mettre à jour des faits ignorés aujourd’hui mais ô combien importants. Après la première partie, consacrée aux années 30′, et à la seconde qui revenait sur les Accords de Munich et le pacte germano-soviétique, je vais m’attarder, dans cette troisième partie, sur conflit à proprement parler, ainsi que sur la libération de l’Europe pour essayer de démontrer que toute l’Europe de l’Est, et donc une majorité de pays, fut libérée des nazis grâce à l’Union soviétique
L’Histoire nous permet d’apprendre ce qui nous a précédé. En son temps, Karl Marx avait averti que « celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre », démontrant ainsi la nécessité pour chacun de connaître les événements passés qui, bien souvent, fournissent une source d’explication pour les événements présents et futurs. Mais connaître l’histoire c’est aussi raconter ce qui est passé sous silence, ou volontairement oublié par certains. Au travers de cette série d’articles, je vais m’efforcer de mettre à jour des faits ignorés aujourd’hui mais ô combien importants. Après la première partie, qui traitait des années 30 avant les Accords de Munich, lorsque l’URSS tenta d’obtenir une alliance avec la France et la Grande-Bretagne, cette seconde partie parlera à la fois des Accords de Munich, et de leurs conséquences, de l’obstination de la Pologne à réfuter l’accès à son territoire à l’Armée rouge, mais aussi du refus des occidentaux à établir une alliance militaire avec les Soviétiques. Refus qui aura pour conséquence directe le pacte germano-soviétique abordé à la fin de cet article.