L'ancien président a déclaré que les États-Unis pourraient renoncer à défendre Taïwan contre une invasion chinoise. Derrière cette option, médiatisée par le retrait de Joe Biden, il y aurait un accord tacite avec Pékin pour maintenir le dollar comme monnaie dominante, affaiblissant les “ big tech ” et les grandes fortunes et favorisant ainsi les “ alliés ” de l'ancien président, Elon Musk en tête.
[TIM est l'opérateur historique de réseaux de télécommunications en Italie. Comme France Télécom, il a été privatisé dans les années 1990 et est aujourd'hui une société cotée en bourse dans laquelle l'État italien détient une participation. Cassa depositi e prestiti est le correspondant italien de la Caisse des dépôts et consignations.] L'acquisition du réseau de télécommunications italien de TIM par le fonds étasunien KKR et le fait de confier les activités d'intelligence économique de la Cassa Depositi e Prestiti à Globintech, une société de cybersécurité dirigée par d'anciens cadres de la CIA, soulèvent des questions préoccupantes quant à la souveraineté technologique et à la sécurité nationale de l'Italie. Ces deux événements mettent en lumière une tendance inquiétante : l'influence croissante d'entités étrangères, liées aux services de renseignement et militaires étasuniens, sur les secteurs stratégiques italiens.
<< C' est moi le plus sioniste et génocidaire .>> << Faux . C'est moi >>
Le 12 juin, la Chambre des représentants des États-Unis a voté un projet de loi appelé « Resolve Tibet Act ». Une délégation étasunienne, dirigée par Nancy Pelosi et le président de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis, le Républicain Michael McCaul, s’est ensuite rendue en Inde pour remettre une copie du texte au dalaï-lama. Après Hong Kong, le Xinjiang, Taïwan et la Mer de Chine du Sud, les États-Unis viennent donc de ressortir la « question du Tibet » de leur boîte à outils de propagande contre la Chine, et ils vont plus loin que jamais dans la provocation.
On évalue entre 6 à 8 millions les ukrainiens, des jeunes pour la plupart, qui ont quitté leur pays depuis le début des hostilités avec la Russie. Beaucoup ont voulu profiter au départ de l'aubaine des conditions d'accueil exceptionnelles faites par les pays occidentaux, en solidarité politique avec le pouvoir ukrainien contre la Russie, et avec une population dont le pays s'était effondré économiquement après la séparation de l'URSS et le pillage des oligarques. Mais surtout, on peut estimer sans grand risque de se tromper, qu'ils ont voté avec leurs pieds contre la guerre.
Il y a deux ans et demi, après le début de l'invasion russe de l'Ukraine, nos journaux dressaient la liste des prétendus poutiniens et expliquaient comment les sanctions internationales allaient rapidement déchirer la Fédération de Russie. Dans le même temps, on donnait à l'Ukraine les armes dont elle avait besoin pour se défendre : il n'y avait rien d'autre à faire, les Russes n'avaient pas réussi à occuper Kiev (on peut douter que c'était l'intention, mais peu importe, c'était l'air), ils allaient être vaincus. Ceux qui quittaient le droit chemin étaient soit de mauvaise foi (Poutinistes), soit ne comprenaient pas, soit les deux : souvenez-vous de la tentative malencontreuse de Mario Draghi de nous culpabiliser avec la question angoissante "Voulez-vous des climatiseurs ou la liberté ?".