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Thème : Mariano RAJOY

Elections en Catalogne : quelle claque pour Rajoy et l’ultra-droite !

Jean ORTIZ

Le néo-franquiste Mariano Rajoy, chef du gouvernement de Madrid, ultra-conservateur et « plus pourri que les égouts de la ville », selon un syndicaliste ami, a reçu une belle claque aux élections catalanes du 21 décembre 2017, imposées précisément par lui.

Savourons donc notre plaisir... Les trois formations « indépendantistes » obtiennent la majorité absolue : 70 sièges sur 135. Mais l’avenir d’une « République catalane » sociale, progressiste, non inféodée à Bruxelles, n’est pas assuré pour autant. La stratégie du rejeton franquiste Rajoy tenait en quelques mots ? Jeter de l’huile sur le feu de la crise aiguisée par lui et « le système », depuis des mois, refuser tout dialogue, toute remise en cause d’une « transition » obsolète... afin de ramasser la mise politicienne. Son parti, le « parti populaire », vomi par les Catalans, arrive en dernier, tout à fait en queue. C’est que « Marianito », ce triste personnage, et ses acolytes, ont réprimé, sans aucune retenue, le référendum du premier octobre 2017, et la déclaration unilatérale le 27 octobre 2017, d’une brumeuse « République catalane »... cognant sur femmes, enfants, vieillards... Tout fait matraque ! Tous des « rouges » ! M. Rajoy a fait en réalité un coup d’État qui ne dit pas son nom, et mis la Catalogne sous (...) Lire la suite »

Puigdemont contre Rajoy

Christian RODRIGUEZ
Contrairement à ce qu'on peut lire ou entendre ici et là, Carles Puigdemont et ses quatre conseillers ne fuient pas la justice. Ils ont choisi de s'en remettre à la justice belge qu'ils considèrent comme impartiale dans le conflit entre la Catalogne et le pouvoir central espagnol. Pendant que les médias ne se préoccupent que du dénouement de ce conflit institutionnel et politique, ils mettent sous silence les multiples cas de corruption dont est soupçonné le Partido Popular de Rajoy. Tous les démocrates respectueux de la loi et de la justice, indépendamment de leur opinion sur le processus indépendantiste catalan, doivent s'insurger contre les manoeuvres de Rajoy visant à impliquer les responsables catalans, démocratiquement élus, dans des détournements de fonds publics qui demandent une enquête financière approfondie qui ne peut être menée en quelques jours. De fait, avec la complicité de l'UE, Rajoy détourne l'attention sur la réalité des faits en employant des méthodes dignes de l'ancien régime (...) Lire la suite »

Catalogne : des prisonniers politiques à nos frontières

Christian RODRIGUEZ
Les relents franquistes de la politique de Rajoy se confirment aujourd’hui avec l’arrestation de 8 ministres du gouvernement catalan et le mandat d’arrêt européen lancé à l’encontre de Carles Puigdemont, Président de la Generalitat . Ces mesures font suite à l’arrestation du président de l’ANC (Assemblée Nationale Catalane), Jordi Sánchez et du président de l’OC (Òmnium Cultural), Jordi Cuixart. La juge Carmen Lamela a décidé de les emprisonner de manière préventive et sans caution pour avoir promu les manifestations de Barcelone les 20 et 21 septembre derniers et avoir appelé « à la résistance » afin « d’empêcher l’application de la loi ». Ils risquent de 10 à 15 ans de prison pour sédition. Aujourd’hui, Carles Puigdemont risque 30 ans de prison pour sédition, rebellion et détournement de fonds, comme s’il fallait trouver une excuse financière à son arrestation alors que les raisons sont purement politiques. Il est évident que toute déclaration d’indépendance unilatérale est nécessairement hors la loi de l’Etat (...) Lire la suite »
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