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Auteur : Akram BELKAÏD

Et si la Chine boycottait Apple ?

Akram BELKAÏD
Le bras de fer continue et ne semble pas vouloir s’arrêter... Lundi 20 mai, le ministère du Commerce des Étatsunis a levé une partie des restrictions imposées au géant chinois des télécoms Huwaei. Ce dernier peut conserver ses réseaux existants et fournir des mises à jour logicielles pour les possesseurs de ses appareils. Mais, dans le même temps, cette levée n’est que temporaire et doit s’achever le 19 août prochain. Il faut, aussi, rappeler que l’administration Trump a placé, jeudi 16 mai, Huawei sur liste noire. Concrètement, cela veut dire que la multinationale chinoise ne peut, pratiquement, plus opérer sur le territoire chinois et qu’elle ne peut pas non plus acheter des composants fabriqués aux Etats-Unis. Mesures de rétorsion Il est certain que cette mise au ban est liée aux négociations commerciales qui se déroulent actuellement entre Washington et Pékin. Des discussions qui semblent bloquées et qui poussent le locataire de la Maison-Blanche à utiliser tous les moyens possibles pour faire (...) Lire la suite »

Uberisation

Akram BELKAÏD

L’actualité française a été marquée par une nouvelle grève des chauffeurs de taxi. La raison est liée à la concurrence des voitures avec chauffeurs, dont une grande partie travaille avec la société Uber.

Pour celles et ceux qui ne connaissent pas (encore) cette entreprise, rappelons qu’elle est basée en Californie et qu’elle propose de mettre en relation des clients potentiels et des conducteurs de voiture via une application informatique (smartphone, tablette ou même ordinateur). Nouveau modèle économique L’affaire est tout sauf anecdotique. Ce n’est pas d’une énième grève qu’il s’agit mais d’une tentative désespérée d’une profession – qui n’est pas exempte de reproches – pour préserver son existence alors qu’elle est menacée par l’émergence d’un nouveau modèle économique. En effet, Uber ne peut exister que parce qu’il propose des services que les taxis habituels ne sont pas capables d’offrir. Un clic sur un téléphone portable et voilà une voiture qui vous attend en bas de chez vous, sans que vous n’ayez rien à payer (le débit est automatique sur votre compte). Nul besoin donc de chercher du liquide à un distributeur bancaire (malgré leurs promesses, nombre de taxis parisiens continuent de refuser la carte (...) Lire la suite »
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