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Auteur : Hernando CALVO OSPINA

Mercenaires et haineux contre Cuba

Hernando CALVO OSPINA

https://www.youtube.com/watch?v=hmh7l2why-0

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Colombie : Quelques défis du président colombien Gustavo Petro

Hernando CALVO OSPINA

Entretien avec Hernando Calvo Ospina, réalisé par Marleen Bosmans et Marc Vandepitte.

DeWereldMorgen : Comment expliquez-vous que Gustavo Petro, un homme politique de gauche, ait été élu président l'année dernière dans un pays comme la Colombie, gouverné par la droite depuis plus de 200 ans ? Hernando Calvo Ospina : La victoire électorale de Gustavo Petro n'est pas un événement isolé, ni le résultat de sa seule personne, ni de son organisation politique, mais le résultat de plusieurs processus, le principal étant les manifestations populaires fortes et massives qui ont eu lieu dans plusieurs villes du pays au cours des trois années précédant les élections. De telles manifestations n'avaient pas eu lieu en Colombie depuis 1971 et ont été générées spontanément par la pauvreté et la marginalisation sociale. Malheureusement, sans direction politique. La Colombie est un pays de grandes villes et ces mobilisations ont réveillé la majorité des Colombiens, y compris une partie de la classe moyenne. Auparavant, la lutte se déroulait dans les campagnes, menée par la guérilla. Sans ces (...) Lire la suite »

64 ans plus tard... Cuba et la colère du dieu de l’enclos.

Hernando CALVO OSPINA
Pourquoi l’État cubain n’accepte-t-il pas ce que les États-Unis lui demandent pour qu’ils laissent l’île tranquille et lèvent le blocus ? Pourquoi cette révolution persiste-t-elle à aller à contre-courant de l’empire le plus puissant qui ait jamais existé sur terre, si cela lui a valu tant de problèmes économiques et sociaux en punition, et qui s’aggravent chaque jour ? Cela vaut-il la peine de s’obstiner autant ? La grande majorité des pays du monde ne veut pas d’impositions américaines. Alors ? Oui, parfois j’y ai pensé. Mais en réalité ces réflexions ne sont pas de mon fait, bien qu’elles m’aient aidé à imaginer les situations possibles. Plusieurs personnes m’ont posé ces questions aussi naturellement et innocemment que des millions d’autres dans ce monde le font face au « cas » cubain. Les transnationales reviendraient sûrement sur l’Ile et commenceraient par reconstruire et remettre en fonction beaucoup d’industries obsolètes ou fermées. Cuba se remplirait de touristes gringos qui laisseraient des (...) Lire la suite »

Femmes françaises : Pessimistes mais optimistes.

Hernando CALVO OSPINA
Voici six interviews de femmes françaises. Elles parlent de la France et de sa société, de la situation sociale et économique de l’une des grandes puissances mondiales, des luttes sociales et de la réponse de l’Etat. Ecoutons-les, et réfléchissons à ce qui se passe à côté de nous et que nous ne voyons pas. Leurs paroles nous aideront certainement à ouvrir un peu plus les yeux. Et puissent-elles, espérons-le, contribuer à l’éveil de nombreuses consciences. https://www.youtube.com/watch?v=6ZCoGJtGHDA Lire la suite »
Depuis que la Colombie se nomme Colombie, elle n’a jamais connu de dignité, de souveraineté et encore moins de paix.

La Colombie, vieil allié stratégique de Washington-OTAN

Hernando CALVO OSPINA

Une fois adoptés, les statuts de l'OEA et du TIAR furent imposés par les Etats-Unis et formèrent le cadre idéologique et opérationnel de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, l'OTAN, créée le 4 avril 1949...

Les armes s’étaient à peine tues dans l'Europe ravagée par la Seconde Guerre mondiale ; l'Armée Rouge soviétique commençait tout juste son retour au pays après avoir affronté, poursuivi et écrasé les troupes hitlériennes à Berlin même ; et déjà un autre terrible danger pour l'humanité se profilait depuis Washington. Son armée n'était entrée en guerre que lorsque le drapeau rouge, au marteau et à la faucille, commençait à flotter sur les camps de concentration libérés. Washington avait été témoin du courage et de la détermination soviétiques dans la guerre, et voyait maintenant cet ennemi idéologique ressurgir d’entre les décombres. Les États-Unis n’avaient donc pas de temps à perdre pour prendre possession de ce monde meurtri. L'une de leurs priorités fut d’établir leur domination sur ce qu'ils appelaient leur "arrière-cour", c’est-à-dire toute l'Amérique latine et la Caraïbe, une région qui n'avait pas souffert directement de l'horreur de la guerre. À cette fin, le président Harry Truman promulgua la "Loi sur la (...) Lire la suite »
Le général profitait de son pouvoir pour avoir des femmes, consentantes ou pas

Quand une femme se décide, aucune force ne peut la faire renoncer.

Hernando CALVO OSPINA

Elle, Nora Astorga, était avocate et chef du personnel dans une entreprise de bâtiment, une des plus importantes au Nicaragua.

Nora était une bourgeoise, qui depuis 1969 était militante du Front Sandiniste de Libération Nationale, FSLN, une guérilla née en 1961 au Nicaragua pour combattre la dictature de la dynastie Somoza, et inspirée des luttes du général Augusto Sandino (1895-1934). Son père, militaire somoziste ne pouvait même pas l’imaginer. Pas plus que n’aurait pu le croire son grand-père, ancien ministre de la Défense du régime. Sa profession lui offrait une couverture idéale pour naviguer dans les cercles du pouvoir, privés et étatiques. C’est ainsi qu’elle connut le général Reinaldo Perez Vega qui voulait faire construire sur ses vastes propriétés. Après Anastasio Somoza, ce militaire était le second personnage du pouvoir, l’un des hommes sanguinaires du régime, ainsi que l’homme de la CIA au Nicaragua. Perez Vega profitait de son pouvoir pour avoir la femme qui lui plaisait, qu’elle soit consentante ou non. « Alors je devais absolument faire attention à mon comportement chaque fois que j’allais à son bureau. Je devais (...) Lire la suite »

Pour une poignée de dollars

Hernando CALVO OSPINA

Les États-Unis se donnent le droit de déstabiliser les gouvernements qui ne leur obéissent pas, comme Cuba, le Venezuela, le Nicaragua et la Bolivie. Avec l’aide des "opposants "...

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Cuba : Opposants ? Terroristes ?

Hernando CALVO OSPINA
Hernanco Calvo Ospina nous montre comment il y a deux poids et mesures selon l'adversaire politique. Il nous parle de l'attentat terroriste contre l'ambassade de Cuba en France, il y a quelques jours, en espérant qu'il ne reste pas dans l'impunité... Lire la suite »
L’installation de la bombe nécessitait la collaboration des services de renseignement de France et de Belgique

La vérité sur l’énigme du bateau français « La Coubre »

Hernando CALVO OSPINA

Le 4 Mars 1960. Une double explosion dans le port de la capitale cubaine entraîne la mort de soixante-dix personnes. Accident, sabotage ou attentat ? Les révolutionnaires cubains qui ont renversé la dictature de Fulgencio Batista un an plus tôt mènent l’enquête. Des documents récemment déclassifiés jettent une lumière nouvelle sur cette affaire.

Ce vendredi 4 mars 1960 vers 9 h 30, le cargo français La Coubre accoste le quai de La Havane. À son bord, des marchandises chargées dans les ports de Hambourg, d’Anvers et du Havre à destination des États-Unis, du Mexique et d’Haïti. Jean Le Fèvre est second capitaine. Il témoigne : une fois le personnel extérieur au navire autorisé à monter à bord, une vingtaine de soldats en armes pénètrent immédiatement sur le navire (1). Puis c’est au tour des dockers, dûment identifiés. À 11 heures débute le déchargement des marchandises situées à l’avant. Au même moment, un membre d’équipage ouvre les cadenas qui ferment exceptionnellement la cale VI, tout à l’arrière. Neuf-cent-soixante-sept caisses en bois contenant 1,5 million de munitions sont placées dans des filets et débarquées sur le quai à l’aide des grues du bateau. Cette opération dure jusqu’à 14 h 45. Le Fèvre ordonne ensuite l’ouverture d’un autre compartiment de cette cale et l’on procède au transbordement de 525 caisses renfermant 25 000 grenades. Cet armement (...) Lire la suite »

Fidel Castro, révolutionnaire et gastronome.

Hernando CALVO OSPINA
Dans ce numéro de « Cuisine et politique avec HCO », je veux rendre hommage au commandant Fidel Castro, qui nous a quitté physiquement le 25 novembre 2016. J'y montre une facette de sa vie qui n'est pas très connue, et c'est pourquoi j'ai appelé cette émission « Fidel Castro, révolutionnaire et gastronome ». Video : Lire la suite »
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